Semestre d'études ou double-diplôme à l'étranger - Polytech Angers

Universitat Politècnica de Catalunya · Barcelona Tech - Terrassa - Espagne

S9 2022-2023 - QIF- Leslie HABYARIMANA

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

Je n’étais encore jamais allé à Barcelone, ville pourtant proche et qui m’attirait pour sa culture et sa multiculturalité, sa dynamique et ses paysages et bien d’autres points. Lorsque j’ai appris que j’avais la possibilité d’étudier à l’université polytechnique de catalogne (UPC), j’ai voulu saisir cette opportunité de découvrir le district de Barcelone et d’y prendre des cours pour ma dernière année d’études.

1 - Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Les relations internationales de l’ESEIAAT (principale école d’ingénieur.e.s de l’UPC) prennent énormément de temps à répondre. Il m’a fallu plusieurs mois pour compléter mon Learning agreement. J’ai finalement pu le conclure sur place lorsque les cours avaient déjà commencé. 

Concernant la restauration, je n’ai jamais mangé dans l’enceinte de l’université, mais l’école se trouve à proximité de restaurants peu chers où je mangeais de temps en temps. Autrement, je mangeais chez moi, avant les cours puisque mon emploi du temps me le permettait.

L’école (ESEIAAT) à Terrassa possède une bibliothèque universitaire mais je n’y suis jamais allé. J’allais plutôt à la bibliothèque universitaire de l’université Pompeu Fabra à Barcelone « CRAI UPF Biblioteca de la Ciutadella » qui est immense et impressionnante. 

Le wifi universitaire est facilement accessible sur tout le campus et fonctionne correctement, même dans d'autres universités.

Au sein de l'université, il est possible de faire du sport à des créneaux imposés comme au SUAPS ou alors de réserver des terrains pour jouer avec des amis. Mais dans les deux cas, ce sont des services payants. Cependant, ce n’est pas très cher. Autrement, en dehors de l’université, il y a beaucoup de sports facilement accessibles. Terrassa est une ville avec beaucoup d’endroits dédiés au sport.

2 - Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J’ai trouvé mon logement en recherchant sur des sites type Leboncoin mais spécialisés dans le logement : www.idealista.com ou encore facebook dans des groupes d’étudiants Erasmus. Je souhaitais vivre dans une colocation avec des personnes hispanophones qui connaissent l’endroit afin d’améliorer mon espagnol. J’ai pu trouver exactement ce que je recherchais. J’ai d’abord vécu à Terrassa de septembre à décembre. Pour un loyer mensuel de 350€, je vivais dans un logement de 80m² avec deux autres personnes, j’avais une grande chambre et j’étais situé à 15 minutes de l’école en transports en commun. Mais il n’y avait pas de chauffage dans le logement, bien que je n’en ai pas souvent senti le besoin.

Ensuite, à cause de changement de propriétaire, j’ai dû déménager pour le mois de janvier où j’ai vécu à Barcelone dans un hôtel. Fort heureusement, je n’ai eu besoin d’être en Espagne qu’une semaine en janvier.

Globalement, le loyer est la principale dépense. Il vaut mieux rechercher un logement auprès d’un particulier ce qui est souvent moins cher et plus rentable qu’un logement universitaire. A Barcelone, les loyers sont élevés, entre 600€ et 1000€ par mois pour une chambre en colocation, parfois bien plus. Pour un studio, les prix commencent souvent à 850€ pour les plus petits. A Terrassa, les prix sont bien plus abordables, on peut trouver une chambre dans une bonne colocation dès 300€ par mois mais parfois également jusqu’à 900€ par mois.

3 - Le coût de la vie

En dehors du loyer, le prix de la vie est raisonnable. Lorsque j’y étais, il y avait une promotion en cours qui réduisait le prix des transports en commun pour trois zones (voyages illimités dans tous les transports en commun de Barcelone jusqu’à Terrassa) à 74€ pour trois mois au lieu d’environ 150€.

La nourriture est légèrement moins chère qu’en France, à l’exception des boissons alcoolisées qui sont souvent deux fois moins chères.

4 -Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Si vous décidez de vivre à Barcelone pour profiter des avantages de la grande ville, vous aurez environ une heure de trajet pour aller à l’ESEIAAT, école située à Terrassa. L’idéal est de vivre près d’une ligne du train « ferrocarril » S1, très ponctuel, les horaires de Google Maps sont très fiables. Vous pouvez aussi y aller avec le train «Rodalíes»  R4, train du réseau de tout le district de Barcelone, mais celui-ci est beaucoup moins ponctuel (déconseillé). Globalement, les « ferrocarrils » (FGC) sont bien plus ponctuels que les « Rodalíes » ou « Cercanías » ().

Si vous décidez de vivre à Terrassa, l’idéal est de se déplacer à pied pour aller à l’école et si vous vivez loin un peu plus loin de l’école, être à proximité de la ligne du train S1 est un réel avantage.

5 - Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Le campus de Terrassa est très proche d’un arrêt du S1. L’école est à l’opposé du centre de la ville, il y a une bibliothèque à proximité, des restaurants peu chers, une cafétéria.

6 - La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les professeurs parlent bien anglais, avec un accent plus ou moins prononcé parfois, mais je n’ai eu aucun problème de communication.

7 - Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui, les matières que j’ai choisies correspondent à mes attentes, mais par difficulté de communication avec les relations internationales de l’école de Terrassa, je n’ai pas eu tous les cours que je souhaitais.

8 - Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Elles sont suffisamment abordées.

9 - La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Je n’ai eu aucun problème à ce propos.

10 - Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Je dirais qu’elles sont complémentaires. Je n’y ai pas étudié la fiabilité, mais j’y ai appris bien des notions très importantes qui fortifient mes connaissances globales et me rendent bien plus « employable ».

11 - Remarques ou suggestions personnelles

Je conseille à tout le monde qui en a l’occasion d’effectuer un semestre d’études dans une université étrangère, c’est une expérience unique et très enrichissante.

S6 2021-2022 - QIF - DEBUIRE Victor

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Terrassa (ville où se situe le campus et l'école) est très proche de Barcelone, une ville où j'étais déjà parti en vacances quelques jours. Connaissant un peu le lieu, je savais que j'allais apprécier le cadre de vie. J'ai choisi l'Espagne car c'est un pays proche de la France, avec une culture que j'apprécie, et qui allait me permettre de développer à la fois mon niveau en anglais mais aussi en espagnol.

1 - Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Pour ce qui est de l'accueil dans l'université, il n'y en a pas vraiment eu. Aucune réunion sur place n'est prévue pour accueillir les Erasmus (elles ont lieu à distance quelques semaines avant le début de la mobilité) . En revanche, les Erasmus se soutiennent entre eux et de nombreux groupe de discussions sont créées, où l'on n'a pas de mal à obtenir des informations. WhatsApp est le réseau social privilégié dans ce cas-là.

Le bureau des relations internationales de l'école est assez souvent fermé, il faut donc prévoir à l'avance lorsque l'on a besoin de certains documents ou informations. En revanche, si la situation est urgente (changement de la liste de cours, besoin immédiat d'un papier), il est possible d'aller voir en dehors des heures d'ouvertures, et ils vous inviteront tout de même à entrer pour vous aider. 

Pour ce qui est de la restauration, il n'y a pas de cantine universitaire. Les étudiants apportent leurs propres plats et mangent dans des salles prévues à cet effet, où alors vont dans une boulangerie/un restaurant à côté. À titre personnel, mon emploi du temps me permettait de n'avoir à manger à la boulangerie qu'une fois par semaine, et d'emporter un plat une fois aussi. Cela est dû aux horaires des cours et à l'heure décalée des repas en Espagne.

Je ne me suis jamais rendu à la BU, mais je sais que celle du campus est proche de l'école. Il est possible si vous logez sur Barcelone d'aller à d'autres BU beaucoup plus grandes, sur les autres campus (un peu comme entre Saint-Serge et Belle-Beille).

Les salles informatiques sont disponibles quand vous le souhaitez, en fonction de s'il y a un cours ou non, comme à Polytech Angers. L'accès est libre pour toute salle/tout amphi sans besoin de réserver ou quoi que ce soit.

Le wifi est le même qu'à l'université d'Angers (eduoram), donc normalement il n'y a même pas besoin de s'y connecter, c'est automatique. C'est d'ailleurs le cas dans nombre d'universités en Europe, car le réseau est commun.

Malheureusement, les sports ne sont pas vraiment accessibles aux étudiants Erasmus. Étant donné que l'on a que des cours optionnels, les créneaux de sports proposés chevauchent souvent nos edt. Il y a une salle de musculation sur le campus, qui est payante. Il y a aussi des tournois sportifs organisés, mais encore une fois souvent accesible seulement aux étudiants espagnols.

Mon conseil, concernant l'accueil, est de ne pas hésiter à poser beaucoup de questions, car les informations ne sont pas toutes données directement.

2 - Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J'ai choisi de loger sur Barcelone et non Terrassa (la ville où se trouve l'école), car c'est là que se trouve en réalité toute la vie étudiante (Terrassa est juste une ville industrielle avec le campus). En effet, malgré les 45 minutes de train qui séparent ces deux villes, on se rend compte que ça vaut le coup, car beaucoup d'étudiants font la même chose et on croise souvent des amis dans le train. De pus, comme en tant qu'Erasmus les cours n'ont pas forcément lieu tous les jours de la semaine, le trajet n'est pas si pesant que ça, du moins pour quelques mois. Les deux étudiants de Polytech Angers qui ont fait cette mobilité avec moi avaient pris un logement sur Terrassa et l'on regretté tout le semestre. À chaque sortie, il fallait qu'ils fassent attention aux horaires des trains pour rentrer le soir, et cela les coupaient dans leurs soirées étudiantes.

Mon logement était donc une colocation dans le centre de Barcelone avec une étudiante Turque en fin de master, une Allemande en stage et une Espagnole qui travaillait. Cette diversité m'a permis de développer mes langues, mais aussi ma culture. J'ai trouvé cette chambre sur le site spotahome, et il vaut mieux s'y prendre plusieurs mois à l'avance afin de ne pas tomber sur les appartements mal localisés ou très cher. Prendre un logement près de la Plaza Catalunya dans Barcelone est pour moi le meilleur choix.

3 - Le coût de la vie

(Pour Barcelone, où je logeais)

Les logements sont assez chers, mais plutôt classiques pour une grande ville.

Pour les courses dans les supermarchés, les prix sont les mêmes qu'en France. Attention par contre aux "Supermercat", qui sont des minis magasins ouvert 24h/24, mais où les prix flambent. Les restaurants, fast-foods, magasins de nourriture à emporter sont eux bien moins chers, avec pour les fast-foods, les boissons qui sont à volonté. Dans les restaurants, l'eau n'est pas gratuite en carafe, tout comme en Belgique. Il faut acheter des bouteilles de 50 cL à 2€50, ce qui pour le coup est un budget.

Pour ce qui est des soirées, l'alcool est bien moins cher qu'en France dans les bars (pinte à 2-3€), mais par contre, ce sont souvent seulement les bières locales (Estrella, Saint Miguel). Les alcools forts sont eux aussi beaucoup moins chers en bar. Les clubs/boîtes de nuit sont eux très souvent gratuits si vous dites que vous venez de la part des grands organisateurs de soirées Erasmus (Ashi, Shaz, Isaac). Elles deviennent chères si vous essayez d'entrer sans rien dire, ou après 1h-2h du matin.

Les transports en communs sont vraiment chers. Un abonnement pour trajets illimités dans la zone Barcelone-Terrassa est à environ 70€ par mois, et 150€ pour 3 mois. Cela donne accès aux bus, métros, téléphériques, trains.

4 -Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Pour faire les trajets entre Barcelone et Terrassa, la meilleure solution est de loin de prendre le train. Pour ce qui est de l'intérieur de la ville, les bus et métros se valent. Il n'y a jamais eu pour moi de retard, d'annulation ou quelques problèmes que ce soit lors de l'utilisation des transports en communs à Barcelone. Tous ces transports circulent en partie la nuit, et s'interrompent en général entre 1h et 5h, en fonction du jour.

Je ne suis pas amateur de vélo, mais il y a énormément de pistes cyclables à Barcelone, et des vélos de la ville à disposition (idem trottinettes électriques).

Toute la ville et les alentours sont très bien désservis.

5 - Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Comme je l'ai dit précédemment, la ville dans laquelle se situe le campus n'a vraiment aucun intérêt, et c'est pour cela que je recommande de rester à Barcelone en dehors des cours. Le trajet est de 45 minutes en train. Il y a en revanche pas mal de boulangeries, de restaurants et d'espaces verts pour manger le midi.

6 - La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Durant les heures de cours, la langue utilisée est l'anglais. Attention par contre, car il est possible que vous vous retrouviez dans un cours en Espagnol ou en Catalan si ce sont les seuls encore disponibles, ou si vous vous y êtes pris trop tard pour choisir. Les Erasmus parlent tous très bien anglais, en revanche ce n'est pas le cas des étudiants espagnols, qui n'en font parfois qu'à leur tête et présentent leurs projets en espagnol ou en catalan même dans un cours en anglais (ça n'a aucun impact sur vous par contre). Si jamais vous avez peur de ne pas réussir à suivre, de ne pas comprendre le vocabulaire technique, aucune inquiétude à avoir, car vous allez vous rendre compte que le niveau en anglais des profs espagnols est le même ou est moins bon que le vôtre. De plus, l'adaptation se fait très rapidement, et on s'y habitue très vite.

Pour ce qui est de la vie courante, contrairement aux préjugés que j'avais pu entendre, les Espagnols sont très conciliants avec vous quand vous leur parlez en anglais ou en espagnol (et pas en catalan), et prennent le temps de vous comprendre et de vous réexpliquer les choses. Dites vous que même si vous considérez votre niveau en espagnol assez mauvais, vous allez vous améliorer très vite, car la pratique quotidienne et le vocabulaire de la vie de tous les jours viennent facilement.

Si jamais vous souhaitez ne parler qu'en anglais, ça ira pour la plupart du temps, car Barcelone étant très touristique, les échanges de base en anglais se font sans aucun problème.

Durant les échanges avec d'autres étudiants Eramsus, vous aurez aussi l'occasion de découvrir les différents accents anglais à travers le monde, et cela aide énormément dans la compréhension orale générale de l'anglais.

7 - Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Pour ma part, les matières définies tout au début ne sont pas celles que j'ai eu en réalité. Cela est dû notament à la publication très tardive des créneaux de chaque cours. En effet, la liste de matières que vous allez créer ne prend pas en compte les horaires de cours, et donc vous allez vous retrouver à coup sûr avec des matières qui se chevauchent, ou alors un cours de 8h à 10h, puis de 16h à 20h, sans rien entre les deux. De plus, certains sujets peuvent changer de langue en cours de temps par choix du professeur, et l'on est prévenu que très peu de temps avant le début du semestre. C'est quelque chose par contre qui est vraiment commun à beaucoup d'universités partenaires Erasmus.

Je recommande donc de faire une liste de préférence de vos cours, et d'avoir des sujets de secours si jamais vous devez changer. Ce travail est laborieux et compliqué à faire, mais malheureusement, vous n'aurez pas d'aide de l'université, il faut donc prévoir à l'avance.

Gardez en tête que les cours ne représentent pas du tout l'expérience Erasmus en général, et que vous n'aurez pas de mal à suivre normalement.

Pour ce qui est des attentes que j'avais par rapport à ma formation, je n'ai pas vraiment développé mes connaissances dans ma spécialité (QIF), mais encore une fois, ce n'était pas le but principal. Et puis j'ai découvert par contre plein d'autres sujets très variés de l'ingénierie, et cela représente un bon savoir en soi.

8 - Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Les pré-requis des matières sont bien indiqués sur le site de l'école, sous forme de PDF descriptifs. Il faut y faire attention certes, mais si vous choisissez bien il n'y a normalement aucun problème par la suite pour suivre les cours. Si vous souhaitez faire comme moi une mobilité au S6, comme c'est le début du cycle ingénieur, les matières sont souvent nouvelles, et non pas des suites d'anciennes matières abordées précédemment.

Le peu de connaissances de base dont vous aurez besoin est normalement déjà largement acquis après la prépa Polytech.

Faites tout de même attention concernant les matières en lien avec la programmation, où vous aurez peut-être du mal à apprendre sur le tas le langage informatique utilisé en cours.

9 - La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Je n'ai pas eu besoin de contacter les enseignants des matières que j'ai eues, mais je sais qu'ils se mettent à disposition pour répondre à nos questions en général. Pour les travaux de groupes, comme partout, il peut s'avérer très compliqué de travailler, car les matières n'ont pas la même importance pour tout le monde. Ce que je veux dire, c'est que par exemple, un Espagnol qui est dans votre classe aura toujours choisi la matière en option, et donc il peut décider de ne pas travailler du tout, car les notes ne sont pas importantes pour lui. De même pour certains étudiants Erasmus, qui n'ont pas besoin de notes minimales comme nous pour valider leur semestre. Je dis ça par expérience d'avoir vécu la situation, donc il faut essayer de bien choisir ses partenaires, pour éviter ces complications.

Les dossiers à rendre sont souvent des projets qui durent tout le semestre, donc avec beaucoup de temps, ou alors des présentations, qui ont lieu chaque semaine. Comme les professeurs évaluent avant tout les compétences en anglais et non les connaissances dans la matière, soyez prêt à faire au moins 2 présentations à l'oral en groupe par semaine, durant toute la durée su séjour.

À part au milieu et à la fin du semestre (mid-term et final exams), la charge de travail n'est pas abondante, et vous n'aurez pas à travailler ou à réviser pendant des heures en rentrant chez vous. Aussi, les examens sur tables sont très rares, tout ou presque se fait en contrôle continu par des exercices rendus en classe, des présentations orales ou des devoirs maisons.

Le niveau général est en dessous de ce dont on peut avoir l'habitude à Polytech, donc l'adaptation se fait normalement très facilement.

Les professeurs, qui savent que vous êtes en Erasmus, ne chercheront pas à vous faire aller aux rattrapages, et même si généralement ils donnent des moins bonnes notes aux étudiants Erasmus, ce ne sera jamais au point de vous empêcher de valider leur matière.

10 - Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les compétences acquises à l'étranger sont assez différentes de celles qui sont au programme à Polytech Angers. Pour ma part, j'ai suivi les cours à Polytech du S6 en attendant de partir à l'étranger, car certaines matières peuvent demander que vous les revoyiez à la prochaine rentrée si vous ne les aviez pas suivies. En revanche, c'est un choix personnel et pas du tout une norme, ou une obligation.

Il ne faut pas oublier qu'au pire, le semestre contrairement au stage permet d'avoir les mois de Juillet/Août libres si le besoin de rattraper certains cours se fait ressentir.

11 - Remarques ou suggestions personnelles

Je recommande fortement de faire le semestre d'études à l'étranger, surtout au S6, car c'était pour moi une expérience très enrichissante. J'ai dévellopé à la fois mes connaissances en langue, mais aussi dans des sujets variés de l'ingénierie.
Barcelone est une très belle ville, vous allez rencontrer un nombre inombrable d'autres étudiants en Erasmus comme vous, découvrir des cultures de tous les horizons.
Les moments que vous allez passer sont inoubliables, n'hésitez plus !

Pour toute question, interrogation, conseil ou autres, n'hésitez pas à me contacter :

Sur Instagram : victor_dbr
Par mail : vicde@etud.univ-angers.fr 

S6 2021-2022 - QIF - BEAUSSE Thomas

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

        J’avais à cœur d’avoir une expérience qui pourrait m’enrichir sur les plans culturels et linguistiques, et la région catalane de l’Espagne me paraissait une bonne idée de part la proximité avec la France et le décalage de mode de vie et de climat.

1. Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Pour ce qui est des cours l’accueil des étudiants internationaux dans l’Université d’accueil (ESEIAAT UPC Terrassa) a été négligé à mon avis car nous avons dû nous repérer seuls lors de notre arrivée. Les RI étaient plutôt à l’écoute de nos besoins et répondaient à nos questions lorsque nous en avions. Malheureusement, il n’y avait pas de RU et nous n’avons pas utilisé le BU, mais il est tout à fait possible de travailler dans des salles libres et informatiques. L’accès au sport est compliqué car il est payant et très limité en nombre de places à Terrassa, tandis qu’à Barcelone c’est bien plus accessible avec des structures adaptées. Sinon, L’ESN (Erasmus Student Network) est une bonne structure qui organise des activités Ice Breaker entre étudiants pour créer des liens avec d’autres étudiants dès l’arrivée.

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J’ai trouvé un logement à Terrassa avec des difficultés sur Air BNB, où j’ai habité 4.5 mois chez l’habitant, peu privé mais évite les problèmes de connexion Wifi et cela offre une possibilité de poser des questions sur le fonctionnement de la ville.

3. Le coût de la vie

La vie en catalogne n’est pas plus chère qu’en France, et est moins chère selon les secteurs d’activité et certains produits.

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Le réseau de transport est très bien à Barcelone et ses alentours, avec des bus et métros réguliers dans la ville et aussi un grand réseau de trains et RER qui sont à destination des villes proches telles que Terrassa. Il y avait 47min de trajet en train entre Barcelone et Terrassa et en journée, les trains étaient espacés de 10 à 12 minutes et tôt le matin et tard le soir entre 20 et 30min.

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

L’université d’accueil étant à Terrassa, nous étions éloignés de Barcelone et des activités, donc pour toutes les activités entre étudiants et soirées organisées, le trajet en train était nécessaire. Terrassa est une ville industrielle avec peu d’activités proposées. Il y a cependant ce qu’il faut pour y vivre avec un mall, des supermarchés et un petit centre-ville malgré la taille de la ville (220 000 habitants).

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les cours étant en anglais, le plus dur était de se faire à l’accent espagnol. La communication avec les étudiants Erasmus s’est très bien faite. Je parlais espagnol avec les propriétaires de l’appartement et les commerçants. Je pense m’être bien amélioré en anglais et un peu en espagnol.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient-elles aux attentes ?

Les matières auxquelles j’ai pu assister lors de cette expérience étaient Air Pollution, Reverse Engineering, Critical Thinking for 3D Printing, Advanced Fluid Mechanics, UAV fundamentals and legislation, Optimization (AMPL), Metallic Alloys Charactezisation et Decision Criteria for the Entrepreuneur. La plupart de ces matières avaient été sélectionnées pour que l’emploi du temps soit faisable et n’étaient donc pas optimales pour ma formation actuelle à Polytech Angers. Les matières en lien avec ma formation ont cependant été utiles et intéressantes.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Certaines matières avaient un niveau de difficulté trop élevé pour être abordées sereinement lors du semestre. Une matière ne figurant pas dans mon Learning Agreement avait été sélectionnée puis remplacée car le premier cours avait montré un niveau très élevé, en plus de ne pas avoir de lien avec ma formation.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail se fait plutôt bien, malgré le fait qu’il y a une vraie différence entre l’accompagnement dans l’université d’accueil et celle de Polytech Angers. Aussi, on retrouve des étudiants très différents, certains travaillent déjà et complètent leurs études pour évoluer en entreprise, donc les objectifs sont variés entre étudiants, ce qui peut mener à des différends. Globalement l’entente entre étudiants Erasmus, étudiants locaux et professeurs se fait très bien.

10. Remarques ou suggestions personnelles

Cette expérience a été pour moi très enrichissante et je la recommande à tout étudiant en quête de découvertes et d’expérience de vie.

S6-2021-2022- QIF- TAGHBALOUT Mohamed Anass

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J'ai choisi Barcelone comme destination pour plusieurs raisons 

-j'avais l'envie d'avoir une expérience en Espagne depuis mon enfance surtout à Barcelone- Découvrir la culture espagnole- Enrichir et améliorer mon niveau de langues étrangères- Proximité de la France et du Maroc (Mon pays d'origine).

1. Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Par rapport à l'accueil dans l'université, il n'avait aucun accueil pour les étudiant Erasmus sauf un regroupement organisé par l'université (UPC) pour les étudiants qui arrivent pour donner des informations utiles pour le séjour et pour les cours et les services d'administration. Sauf cela on a obtenu toutes les informations par des étudiants avec nous. bureau international: il était souvent fermé, il était ouvert que pour  quelque créneaux pendant la semaine, mais ils étaient à l'écoute et  répondaient à nos questions. Il n'avait pas de RU. Pour la BU, On l'a jamais utilisé mais il avait des salles informatique à disposition pour travailler. On avait accès au réseau wifi (eduroam), c'est le même réseau qui se trouve à l'université d'Angers et  presque toutes les universités en Europe. Accès au sports était très limité surtout à Terrassa.

 

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J'ai trouvé mon logement sur Airbnb, j'ai loué une chambre à Terrassa chez un habitant. 

3. Le coût de la vie

Le cout de vie en catalogne est moins chère qu’en France.

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

La région de Barcelone est bien desservi par les transports en commun. il y avait des bus, métro, Sorte de RER/transilien. 

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

L'université se situe à Terrassa, environ 5 min de Barcelone. Terrassa étant une ville industrielle, toute activité se situe à Barcelone. Donc on était obligé de se déplacer à Barcelone. Je vous conseillé d'habiter à Barcelone te de faire le trajet.

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

On avait les cours en anglais, on trouvait quelques fois des difficultés de comprendre les profs à cause de leurs accent espagnol, mais la communication avec les étudiants était bien. On parlait anglais et Français avec les étudiants Français et belges.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient elles aux attentes ?

Au début, on a sélectionné des matières pour constituer notre Learning agreement, mais à l'arriver, on a eu de  problème d'Overlap entre des matières. Alors on a du changer notre Learning agreement plusieurs fois pour avoir un emploie de temps faisable.
Les matieres qu'on a choisi:Air Pollution, Reverse Engineering, Critical Thinking for 3D Printing, PROFESSIONAL COMMUNICATION FOR ENGINEERS THROUGH VIRTUAL REALITY, UAV fundamentals and legislation, Optimization (AMPL), Metallic Alloys Charactezisation et ALTERNATIVE PROPULSION VEHICLES.

8. Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Les prérequis des matières sont indiqués sur le site de l'école, Vérifiez bien avant de choisir vos matières parce qu'il y a des matières qui nécessite des prérequis spécifique. Mais en général, le niveau des 3A est suffisant.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail personnel était bien , la plupart des travaux était en groupe. Mais en général les enseignants était à l'écoute et les étudiants erasmus se soutiennent entre eux.

10. Remarques ou suggestions personnelles

Je vous encourage fortement  à effectuer un semestre à Barcelone. Ca va vous permettre de découvrir plusieurs cultures et rencontrer beaucoup d'étudiants erasmus comme vous.

Une expérience inoubliable.

Si vous avez des questions à propos du semestre à Barcelone, n'hesitez pas de me contacter sur instagram (anas_taghbalout)

S6 2019-2020 - SAGI - Léa Terrasson

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

J’ai choisi cette destination car les cursus et matières proposées par l’école m'intéressaient vraiment bien. Je l’ai aussi choisi car c’est en Espagne et dans une région qui me plaisait beaucoup. 

1. Les conditions d'accueil

• Relations internationales :

Le bureau des relations international est ouvert tous les jours et est présent pour répondre à toutes les questions des étudiants.

Un système de Buddy est proposé par l’école (s'inscrire sur le site web de l’ESEIAAT (Salsa’m) avant en remplissant un formulaire). Il met en relation un étudiant étranger avec un étudiant local.

Il y a aussi une semaine d'accueil “Orientation Week” dédiée (s'inscrire avant sur le site de l’UPC (ESN), plusieurs créneaux de dates disponibles avant la rentrée officielle), qui permet de visiter et se repérer sur les différents campus (elle se déroule à Barcelone). Cette semaine permet aussi de rencontrer tous les autres étudiants internationaux des différentes facultés de l’UPC. 

• restauration

Il y a beaucoup de points de restaurations types café/petits restaurants/commerces autour de l’ESEIAAT à Terrassa avec des prix inférieurs ou équivalents à ceux en France. Il y a aussi une cafétéria dans l’école mais qui n’est pas ouverte tout le temps (le prix est plus élevé qu’un menu au RU en France).

• BU

Une bibliothèque universitaire est présente sur le campus de Terrassa. Elle est ouverte toute la journée et  jusqu’à très tard le soir. Il y a aussi un espace de travail ouvert la nuit juste à côté. On a accès à d’autres BU à Barcelone qui se situent sur les autre campus de l’UPC.

• Accès aux salles informatiques et wifi

Un accès wifi est présent sur tout le campus, et fonctionne très bien. Il y a aussi des salles informatiques en accès libres (dans les locaux de l’école ou à la BU).

• Sports

L'école partenaire fait partie de l’UPC qui propose énormément de sports et de créneaux différents (comme le SUAPS). Les salles de sports et gymnases se situent sur les différents campus (Campus Nord/Sud à Barcelone, Campus de Terrassa…) et sont accessibles à tous les étudiants de l’université.

Dans la ville il y a plusieurs piscines (municipales couvert et non couvert ou complexes sportifs), nombreuses salles de musculation et mur d’escalade.

Dans le centre de Terrassa, il y a un très grand parc arboré et éclairé la nuit où beaucoup de monde vont courir. La ville se situe tout près de montagnes et parcs nationaux (accessibles en 30 min en train ou bus) où il y a beaucoup de chemins balisés de randonnée, trail...

2. Le logement (universitaire ?, colocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

Il y a deux résidences universitaires reliées à l’ESEIAAT (site RESA.es) qui sont en face des bâtiments de l'école et de la BU. Il y a aussi beaucoup de chambre ou colocation d’étudiants qui sont proposées dans les logements privés (site badi équivalent à leboncoin). Les prix sont les mêmes qu’à Angers et il est très difficile de trouver une logement entier pour soi tout seul qui on veut rester sur un prix de location raisonnable.

La majorité des étudiants espagnols qui vont à l’ESEIAAT habitent à Terrassa, mais il y en a aussi qui habitent à Barcelone (environ 45 min en train pour ~30€ les 10 tickets).

J’ai choisi une chambre en colocation dans une résidence étudiante sur le campus de Terrassa pour être bien située la semaine pour suivre tous mes cours sans perdre du temps dans les transports, et bouger sur Barcelone ou dans la Catalogne le week-end. 

3. Le coût de la vie

Le coût de la vie est environ le même qu’en France. 

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

L’école se situe en centre ville dans un campus universitaire donc le déplacement se fait généralement à pied. La ville étant assez grande, un vélo peut être utile pour aller se promener dans les parcs/montagnes autour. Pour aller à Barcelone, le plus rapide et moins cher est le train, il y a deux lignes différentes qui relient Terrassa à Barcelone. Puis à Barcelone, avoir un vélo pour aller jusqu’à la mer ou les différents quartiers de la ville est très pratique. Sinon il y a le métro ou les bus comme à Paris. 

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Le campus est très agréable et est tout près du centre, il y a tous les équipements de proximité nécessaires.

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les cours sont dispensés soit en catalan, soit en espagnol, soit en anglais (indiqué sur le module d'inscription) donc suivre les cours en langue étrangère est plus ou moins difficile en fonction de son niveau dans chacune des langues.  

7. Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Attention, le mieux est de venir en Espagne avec plusieurs choix de matières définies avant car une fois arrivé sur place pour l’inscription, il y a beaucoup de changement de Learning Agreement. Les matières que j’avais choisi au départ et que j’ai pu garder correspondaient totalement à mes attentes. Certaines n'étaient plus/pas disponibles aux étudiants internationaux donc il faut s’adapter et en trouver des nouvelles assez rapidement qui concordent avec l’emploi du temps.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Les cours suivi en cycle préparatoire et 1er semestre SAGI à Polytech permettent de bien s’adapter aux matières suivi à l’ESEIAAT. 

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontres avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail personnel ne pose aucun problème si on est organisé. Le professeurs sont disponibles par mail ou en vrai (sans le COVID évidemment...), ils répondent aux questions des étudiants rapidement. Il y a une plateforme comme Moodle (ATENEA) où l’on peut rendre des dossiers ou travaux de groupes.

10. Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Oui, il y a une bonne adéquation entre les compétences acquises en Espagne et celles acquises à Polytech au S6 SAGI. Il faut choisir les matières qui correspondent au mieux, il y a toujours des différences et des nouveautés, mais cela fait partie de l’ouverture d’esprit d’un semestre à l’étranger.

Université de Saragosse - Espagne

S9 2021-2022 - GBS - Emelyne Bouchet

Ce qui a motivé mon choix pour cette destination : 

En période de covid, il était difficile de partir hors Europe, j'ai donc cherché une destination proche. Je cherchais aussi un pays où les cours pourraient être donnés en anglais, mais où je pourrai apprendre une nouvelle langue : j'ai fait allemand mais je voulais apprendre l'espagnol. J'ai toujours entendu du bien de la vie étudiante en Espagne, et les étudiantes y étant allées juste avant (Pauline et Daloba) m'ont conseillé Saragosse. En plus, je partais avec mon copain en QIF et nous voulions trouver un endroit où nous avions tous les deux des cours: c'était le cas à Saragosse. 

1/ Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

a/ Relations internationales : 

Le partenariat de Polytech avec Saragosse se fait via l'école EINA, qui est l'école d'architecture, dans laquelle il n'y a pratiquement aucun cours pour GBS. Malgré cela, nous sommes pris en charge très facilement et il est possible d'aller voir le bureau RI dans la journée entre 12h et 14h sans souci au moindre problème : ils sont très à l'écoute, aidants, et parlent anglais si besoin. 

b/ Restauration : 

Il existe des services de restauration (cafèt) dans le campus (payable en liquide uniquement, environ 5 euros le repas, ou alors des sandwichs et autres tapas à environ 2 euros). Sinon, il existe des supérettes proches, et il y a des espaces pour manger et faire réchauffer ses plats. 

c/ BU : 

Il y en a dans tous les campus de Saragosse, accessibles facilement. Il y a aussi des salles de travail hors BU. 

d/ Accès aux salles informatiques 

Il existe plusieurs salles informatiques réservables. Sinon, les salles de classe sont très bien équipées. 

c/ Sports : 

Il y a possibilité de suivre des cours de sport avec l'université, qui peuvent même compter pour des ECTS pour certains. Je n'en ai pas fait dans ce cadre, mais de nombreuses activités sportives sont proposées par l'association d'Erasmus sur place, l'ISA. Il est aussi facile de faire du sport dehors à Saragosse, notamment si vous faites de la course à pied (parcs, chemins qui sortent de la ville, etc.) 

d/ Réseau WiFi 

Il y a un réseau WiFi disponible sur tous les campus avec vos codes étudiants 

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

Pour trouver un logements (à 2), nous avons pris un AirBnb la première semaine de notre arrivée à Saragosse pour pouvoir ensuite visiter des appartements sur place (il était difficile de trouver sans être sur place car les propriétaires ne nous voyaient pas). Nous avons eu du mal à trouver une location pour seulement 6 mois, puisque les appartements sont souvent pour 1 an. Au final, nous avons fait appel à une agence (CAP) qui nous a aidé à trouver dans la semaine. Nous n'avons pas trouvé de coloc dans laquelle être à deux (couple). 

Nous avons eu un logement dans le centre (Calle Urrea) à 500€ par mois pour deux. Nous avons eu quelques soucis pour avoir l'électricité au départ (changement de contrat), mais le plus difficile à été d'avoir le chauffage et l'eau chaude : nous les avons eu fin décembre ... (4 mois sans chauffage et eau chaude). Il était très compliqué de faire toute la partie administrative rapidement et nous avons été obligés de créer un compte espagnol pour les virements (loyer et charges). Les propriétaires n'étant pas agréables, nous avons eu beaucoup de mal à avoir les papiers nécessaires pour commencer les contrats. 

Je conseille donc de trouver un logement étudiant ou une coloc/un proprio qui a l'habitude des Erasmus, c'est beaucou plus simple !

Niveau localidation, je vous conseille de loger dans le centre : c'est facile de se rendre dans les campus en transport ou à vélo, et c'est plus confortable pour les sorties.  

3/ Le coût de la vie 

La vie est moins chère en Espagne, surtout quand vous voulez sortir, et sauf si vous vous nourrissez de beaucoup de fromage (ça coûte très cher là-bas). À Saragosse, les logements sont moins chers qu'à Angers. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Il est facile de se déplacer à Saragosse. Je conseille de trouver un logement proche du tram, qui permet d'aller à tous les campus mais aussi en centre ville facilement (si vous n'y habitez pas déjà !). Les billets de tram/bus unitaires sont assez chers, je vous conseille de vous faire une carte Lazo, qui réduit largement les coûts : il suffit de vous rendre dans les points qui la distribuent (par exemple les bars tabacs) et c'est réglé. 

Sinon, vous pouvez trouver un vélo d'occasion (c'est ce que j'ai fait) facilement sur les groupes d'Erasmus ou bien sur le site Wallapop : vous le revendrez facilement et il est très facile de se déplacer en vélo dans Saragosse, il y a des postes cyclables partout !

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

J'étais au campus Rio Ebro, donc pas de le centre ville. Il se situe sur la ligne de tram et à 15/20 minutes en vélo du centre ville, donc ce n'est pas dérangeant. Il n'y a pas beaucoup de choses à faire directement sur le campus, mais il y a des équipements de proximité si besoin. 

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Je ne connaissais pas un mot d'espagnol en partant (j'ai fait allemand LV2) et j'avais un très bon niveai d'anglais. Tous mes cours étaient en anglais, mais je regrette de ne pas en avpir pris un en espagnol avec le recul : j'aurais mieux progressé. Les erasmus parlent beaucoup en anglais entre eux, mais vous entendrez surtout beaucoup d'espagnol en cours avec des personnes locales. Dans la vie courante, on se débrouille rapidement, mais ne comptez pas sur l'anglais : c'est très peu parlé par les personnes (hors étudiants) là-bas ;) Globalament, les gens sont très gentils et font des efforts pour communiquer lentement. 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

J'ai dû changer de matières en arrivant sur place à cause de changements d'emploi du temps. Le 1er semestre du master principal que j'ai suivi (Biophysics and quantitative biotechnology) était assez complexe et très tourné maths-physique théorique (peu d'applicatif comme on peut être habitué en ingénieur). 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La plupart des matières que j'ai suivies ne correspondaient pas à 100% aux sujets abordés à Polytech, mais il est quand même possible de bien se débrouiller ! On revoir surtout des choses vues en prépa, mais en beaucoup plus approfondies. 

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Les enseignants sont très disponibles même en dehors des cours, pour répondre aux questions. Les étudiants sont aussi tès accueillants et les travaux de groupe se passent très bien. Il faut travailler régulièrement car il peut y avoir beaucoup de dossiers à rendre en même temps, et les partiels arrivent rapidement aussi. Mais vous êtes bien accompagnés et les consignes des travaux et des examens sont très clairs, pas de surprise. 

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Pas vraiment (avec le master que j'ai suivi), mais vous pouvez acquérir plus de compétences scientifiques et aussi des notions de code et de modélisation en biologie, qui ne sont pas enseignées à Angers. 

11/Autres remarques ou suggestions :

Foncez ! Saragosse est une super ville, et les paysages autour sont dépaysants. Il y a de nombreuses activités sur place, plusieurs fois par semaine, et c'est très facile de rencontrer des gens ;) Le centre ville est top et les soirées espagnoles sont aussi bien que ce qu'on peut imaginer. Les personnes sont accueillantes, et il y a une trèèès grande communauté Erasmus là-bas. 
Vous pouvez aussi aller visiter le reste de l'Espagne facilement. 

S7 2020-2021 - GBS - Pauline Gadou

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J’ai choisi de réaliser un Erasmus à Saragosse car avant tout j’adore l’Espagne et sa culture c’est donc tout naturellement que j’ai souhaité partir là-bas, de plus Saragosse a les avantages d’être une grande ville très dynamique avec beaucoup d’étudiants et idéalement situé car proche de Madrid et Barcelone.

1/ Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

a/Relations internationales : 

Le partenariat établi avec l’Universidad de Zaragoza dépend de l’EINA qui est l’école d’ingénierie et d’architecture. Malgré le peu de cours que nous avons eu dans cette fac, ils ont été très compréhensifs et aidant pour réaliser toutes les démarches administratives (inscription aux cours, learning agreement, attestations), il a seulement fallu s’habituer aux horaires espagnoles puisque le bureau n’était ouvert qu’entre 12h et 14h !

b/Restauration : 

Il y a des cafets sur tous les campus mais elles étaient fermées à cause de la pandémie.

c / BU  : 

Toutes les facs disposent de BU ou salles de travail accessibles par tous les étudiants.

d/Accès aux salles informatiques : 

Je n'ai pas eu d'informations concernant les salles informatiques.

e / Sports  : 

Je n’ai pas participé aux cours de sport proposés par l’université car ils ont été annulés (covid), en revanche j’étais inscrite à une salle de sport, la ville en compte énormément pour des prix plutôt bas.

f/Réseau wifi : 

Le réseau WIFI est disponible sur tous les campus.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J’ai trouvé une colocation environ trois semaines avant d’arrivée en Espagne sur Idealista (site internet), mais j’avais également regardé sur les groupes Facebook d’Erasmus à Zaragoza. Je souhaitais être en colocation pour rencontrer de nouvelles personnes, parler espagnol et échanger tout simplement.

3/ Le coût de la vie : 

La vie est moins chère en Espagne notamment les logements, par exemple je payais 350€ pour une chambre dans un appart vraiment bien et ce prix est relativement élevé pour une ville comme Saragosse.

De plus, les transports ne sont pas chers non plus, en prenant une carte rechargeable à 7€, le prix d’un billet revient à peine à 0,75€.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : 

La mobilité à Saragosse est plutôt facile avec un grand nombre de bus desservant tous les coins de la ville et une ligne de tram reliant le nord et le sud de Saragosse ainsi que les deux campus principaux (San Francisco et Rio Ebro).

Il existe un grand nombre de cartes/abonnements pour les transports publics, tout dépend de l’utilisation qu’on en a. L’abonnement peut être utile lorsqu’on prend les transports en commun plusieurs fois par jour, sinon la carte rechargeable suffit.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus principal de Saragosse est situé au sud de la ville mais est très proche du centre, comme il regroupe la majorité des diplômes, la zone est très vivante avec beaucoup de bars remplis d’étudiants à toute heure de la journée et de la nuit.

La ville compte également d’autres campus : Rio Ebro (au nord) facilement accessible en tram mais très éloigné donc je ne conseille pas de prendre un appart là-bas et le campus de la fac Vétérinaire au sud-est de Saragosse.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

J’avais la moitié de mes cours en espagnol et l’autre moitié en anglais donc il a fallu s’adapter rapidement au rythme rapide des espagnols mais au bout d’un mois je comprenais déjà beaucoup mieux, j’ai eu l’avantage d’être dans une coloc qu’avec des hispanophones donc j’ai pu m’améliorer rapidement.

Les espagnols ont un accent assez prononcé en anglais donc il faut s’accrocher au début mais on s’habitue !

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

En arrivant à Saragosse j’ai dû changer la moitié des matières que j’avais précédemment sélectionnées car elles ne correspondaient pas à ce qu’on étudie à Angers et n’étaient donc pas adaptées. De plus, il faut savoir que l’Université de Saragosse ne propose pas de cursus spécial Erasmus donc on avait cours avec les espagnols.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La plupart des matières suivies étaient nouvelles et ne correspondaient pas réellement au programme de 4A à Angers mais les profs ont pour la plupart étaient très compréhensifs. 

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le peu d’heures de cours a rendu la charge de travail maitrisable, quasiment toutes les matières suivies exigeaient des travaux de groupes et on utilisait WhatsApp pour communiquer entre nous.

Tous les professeurs étaient facilement joignables par mail.

Les examens étant sous forme de partiels, ils arrivent tous en même temps à la toute fin du semestre, du 20 janvier environ à début février, il faut donc anticiper.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Le contenu des matières n’était pas le même, mais cela m’a permis de développer des connaissances et compétences que je n’aurais pas eues à Angers, de plus, les cours manqués dispensés à l’école sont rattrapables si nécessaire.

11/Autres remarques ou suggestions :

Zaragoza est une ville géniale, très dynamique et plaisante avec énormément d’étudiants et beaucoup d’Erasmus !

Depuis Saragosse il est aussi très facile d’aller dans d’autres villes espagnoles, donc je conseille de profiter des quelques mois sur place pour explorer le pays.

Pour finir, l’expérience a été super enrichissante humainement et les rencontres géniales donc je recommande à tous de partir.

C’est une chance énorme que l’on a de pouvoir partir un semestre étudier à l’étranger donc si comme moi vous adorez l’Espagne, n’hésitez pas, vous ne le regretterez pas !

S9 2020-2021 - GBS - Dalloba Keita

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J'ai souhaité réaliser ce semestre Erasmus à l'université de Saragosse pour plusieurs raisons. Tout d'abord, j'étais très intéressée par le master de biotechnologies proposé par l'université. Ce semestre m'a permis d'approfondir mes connaissances dans le secteur des biotechnologies dans lequel je souhaiterais plus tard travailler. J'ai aussi choisi cette destination car je souhaitais découvrir la culture espagnole dans une ville de taille assez importante. J'ai aussi été intéressée par le fait que tous les cours que j'ai choisis sont dispensés en anglais, mais j'ai aussi pu améliorer mon espagnol avec les locaux et pour tout ce qui concerne la vie quotidienne. 

1/ Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

a/Relations internationales : Le bureau des relations internationales de l'EINA (l'école d'ingénierie et d'architecture, ayant le partenariat avec Polytech Angers) est très bien organisé, efficace et disponible tout au long du semestre. Nous avions la possibilité de prendre rendez vous avec eux en remplissant un document excel, mais leur bureau était aussi ouvert tous les jours de la semaine à des heures précises. Aucune matière que j'avais choisie ne faisaient partie de l'EINA, cependant, le bureau des relations internationales de l'EINA s'est occupé de mes inscriptions dans les différentes matières (faculté des sciences + faculté de philosophie et des lettres). 

b/Restauration : Il y a des cafeterias dans la plupart des facultés de l'université, éparpillées dans la ville, mais je n'ai jamais été mangé dans une de ces cafeterias. 

c/BU : Il y a de nombreuses BU dans différentes facultés de la ville. Les salles sont assez spacieuses et peuvent accueillir de nombreux étudiants. 

d/Accès aux salles informatiques : Je n'ai pas eu d'informations concernant les salles informatiques.

e/Sport : Je n'ai pas participé aux séances de sport proposées par l'université, mais je sais que de nombreux sports sont proposés à bas prix.

f/Réseau wifi : Sur le campus du centre ville (campus San Francisco), le réseau wifi était assez bon, mais j'ai rencontré quelques problèmes de wifi sur le campus Rio Ebro situé au nord de la ville. 

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J'ai trouvé une colocation un mois avant mon arrivée à Saragosse. Il s'agissait d'une colocation trouvée sur le site Idealista (similaire au bon coin). J'ai souhaité faire une colocation pour rencontrer de nouvelles personnes et pratiquer mon espagnol. 

3/ Le coût de la vie : le cout de la vie est légèrement moins cher qu'en France, surtout au niveau des transports en communs et des logements.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Le réseau de transports en communs de la ville de Saragosse est plutôt bien développé. Le plus pratique est de trouver un logement dans le centre ville, mais si vous avez certains cours au campus Rio Ebro (situé au nord de la ville), ilest possible de prendre un abonnement trimestriel pour les transports en communs, ou prendre une carte rechargeable (un trajet aller coûte 0,75€).  Il est aussi possible de se déplacer en vélo, il y a de nombreuses pistes cyclables dans toute la ville. 

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Les différentes facultés de la ville se situent à plusieurs endroits de la ville. La campus principal (San Francisco) se situe dans le centre ville. L'EINA est situé au campus Rio Ebro au nord de la ville (très facilement accessible en tramway à 15-20 minutes du centre ville) et certains cours de la faculté des sciences sont aussi donnés au campus Rio Ebro (notamment pour le master de biotechnologies). 

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Tous mes cours étaient en anglais mais j'ai eu l'opportunité de parler avec mes colocataires et mes camarades de classe en espagnol. Les cours en anglais ne sont pas très difficiles à suivre. Concernant l'apprentissage de l'espagnol, il faut s'habituer à ce que les espagnols parlent vite, ce qui peut être déconcertant les premières semaines.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières sélectionnées avant mon arrivée à Saragosse correspondaient plus ou mois à mes attentes, sauf l'une d'elle que j'ai changée au cours de mon semestre. 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Sur les 5 matières choisies, deux matières étaient en adéquation avec la formation GBS, et les pré-requis acquis au cours de la formation GBS m'ont beaucoup aidés pour ces matières. Pour les autres, les professeurs sont très compréhensifs et disponibles pour répondre à nos questions ou reformuler certaines explications. 

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail n'était pas un problème. J'avais environ 20h de cours par semaine au maximum, ce qui me laissait du temps pour travailler sur mes différents projets/travaux de groupes.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Pour certaines matières il y a une adéquation avec le programme de l'école, pour d'autres non.  J'ai décidé de choisir des matières se rapprochant le plus de mon projet professionnel. 

11/Autres remarques ou suggestions :

Saragosse est une super ville où il fait bon vivre! C'est une ville étudiante dynamique où j'ai pu rencontrer de nombreux étudiants erasmus. Malgré la crise sanitaire, certains évènements Erasmus ont été maintenus. La totalité de mes cours étaient en présentiel. Les enseignants ainsi que les étudiants  sont très accueillants, et m'ont beaucoup aidé à m'intégrer! 

Si vous réalisez un semestre d'études à Saragosse, je vous conseille de suivre les pages facebook dédiées aux étudiants erasmus et d'intégrer les différents groupes Whatsapp dédiés aux étudiants erasmus. 

La province de Saragosse possède de nombreuses petites villes et villages intéressants à visiter : Tarazona, Borja, Uncastillo, Sos del rey Catolico...

Saragosse est aussi située à environ 3h30 de Barcelone et de Madrid.

S8 2022-2023 - GBS - Emma Voisin

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J’ai toujours souhaité réaliser un semestre Erasmus pour découvrir d’autres cultures, d’autres langues et rencontrer d’autres étudiants internationaux.

J’ai choisi de réaliser un semestre Erasmus en Espagne pour pouvoir améliorer mon niveau d’espagnol et découvrir un peu plus ce pays très proche de la France. Il était important pour moi de choisir une université et une ville où la langue parlée par les locaux était l’espagnol (aussi appelé castellano). J’ai donc tout naturellement choisi l’université de Zaragoza. De plus, Zaragoza est très bien situé (mi-distance entre Madrid et Barcelone en train) et j’y ai découvert un grand réseau d’étudiants Erasmus.

1/ Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

a/Relations internationales :

Polytech Angers possède un partenariat avec l’EINA (Ecole d’Ingénierie et d’Architecture) qui est une des écoles de l’université de Zaragoza. La réalisation du Learning Agreement a été assez compliqué (j’ai réalisé beaucoup de modifications) car l’EINA me demandait de suivre au moins 50% des cours dans leur école. Cependant, l’EINA possède très peu de cours GBS (mécanique, chimie, architecture). J’ai donc réalisé un premier Learning Agreement avant de partir en Espagne, et une fois sur place, comme l’emploi du temps ne correspondait pas, l’EINA m’a autorisée à réaliser tous les changements de cours que je souhaitais (au final j’ai suivi moins de 50% des cours à l’EINA et cela n’a pas du tout posé problème). Le bureau des relations internationales se charge de faire les inscriptions pour chaque cours (même ceux dans les autres écoles de l’université).

Le bureau des relations internationales est ouvert seulement 2h/jour de 12h à 14h donc il a fallu s’adapter. Il est toujours préférable d’aller directement au bureau des relations internationales lorsqu’il y a un problème, car le problème sera réglé plus rapidement. Ils sont vraiment très gentils, compréhensifs et parlent anglais.

Un système de Buddy Pair (parrain/marraine) a été proposé, mais comme c’était un étudiant de l’EINA ne suivant aucun de mes cours, cela n’a pas été très utile pour moi.

Afin d’essayer de suivre au maximum le syllabus de cours du S8 GBS, j’ai dû suivre des cours dans 3 écoles différentes sur 2 campus différents. Tous les jours, je suivais des cours sur les 2 campus et je passais beaucoup de temps dans les transports (environ 1h-1h15/jour).

b/Restauration : Comme j’avais un emploi du temps très chargé avec des changements de campus chaque jour, je préparais et j’emmenais à manger tous les midis. Des micro-ondes étaient mis à disposition dans chaque école.

c/BU : Tous les campus de l’université de Zaragoza possèdent des BU et salles de travail accessibles pour tous les étudiants.

d/Accès aux salles informatiques : Lorsqu’il était nécessaire d’utiliser un ordinateur pendant les cours, les professeurs réservaient une salle informatique. Je n’ai jamais réservé de salles informatiques par moi-même.

e/Sport : Je n’ai pas pratiqué de sport ni universitaire ni dans une salle de sport mais il est possible de s’inscrire au sport universitaire pour environ 20-30€ l’année.

f/Réseau wifi : Le réseau wifi eduoram est disponible sur chaque campus et certaines écoles possèdent également leur propre wifi en plus.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) : Comment avez-vous trouvé votre logement ? ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement

Il faut faire très attention pour louer un logement à Zaragoza car il y a de très nombreuses arnaques. Je vous déconseille de trouver votre logement sur les groupes facebook car les administrateurs acceptent tout le monde et ne surveillent pas les discussions donc il y a de très nombreuses arnaques.

J’ai trouvé mon logement en contactant sur insta l’association Erasmus (Happy Erasmus Zaragoza) et ensuite, j’ai été ajoutée sur un groupe Whatsapp avec tous les étudiants Erasmus à Zaragoza. Beaucoup d’étudiants internationaux partageaient les contacts de colocation où il restait des chambres et c’est comme ça que j’ai trouvé une chambre dans une colocation 1 semaine avant de partir. Il est également préférable de demander pour faire un appel vidéo du logement avec le propriétaire et vérifier que ce n’est pas une arnaque. Je payais mon logement 375€/mois toutes charges comprises, mais c’est un loyer qui est relativement cher à Zaragoza, où les loyers varient généralement entre 250 et 350€ en moyenne.

Ayant des cours sur 2 campus différents, j’ai donc loué un logement proche du tram, du centre et du campus San Francisco. J’allais à l’autre campus (campus Rio Ebro) en tram. Je vous conseille de loger dans le quartier proche du campus San Francisco car quasiment tous les étudiants habitent là. Il y a donc beaucoup de colocations disponibles, beaucoup de supermarchés à proximité et c’est proche du centre.

J’ai souhaité faire une colocation pour faire de nouvelles rencontres et également m’améliorer en anglais et en espagnol. Dans la colocation, nous étions 5 et je parlais avec certains en anglais et avec d’autres en espagnol. 

3/ Le coût de la vie : Le coût de la vie est moins élevé en Espagne par rapport à la France notamment les logements et les transports en commun.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : 

Les transports en commun ne sont pas chers du tout et desservent toute la ville (tram et bus). J’ai acheté une carte de transport rechargeable Avanza et chaque ticket coûtait 0,40€.

Tous les jours j’avais des cours au campus San Francisco et j’utilisais le tram pour y aller (20-25min campus San Francisco au campus Rio Ebro). Il y a également de nombreux bus qui desservent toute la ville.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Je suivais des cours dans 2 campus différents : Rio Ebro (au Nord de Zaragoza) et San Francisco (au Sud de Zaragoza). Le campus Rio Ebro est petit et assez excentré du reste de la ville alors que le campus San Francisco est proche du centre-ville et il y a beaucoup d’écoles et de facultés sur ce campus. La majorité des activités se déroule dans le centre-ville (restaurants, bars, …).

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

J’ai suivi plus de la moitié de mes cours en espagnol et les autres cours en anglais. Il n’a pas été facile de bien comprendre les cours au début car les Espagnols parlent très vite. Durant le premier mois, j’ai suivi des cours d’espagnol intensifs (2h/jour) en plus des autres cours et ça m’a beaucoup aidée à m’améliorer à l’oral. A la fin des cours intensifs, je comprenais très bien l’espagnol et je pouvais me faire comprendre. Les professeurs et les autres étudiants espagnols étaient très compréhensifs et m’ont beaucoup aidée même s’il était difficile pour moi de communiquer en espagnol.

La majorité des étudiants Erasmus communiquent en anglais entre eux mais les locaux parlent uniquement espagnol (et ne comprennent pas forcément bien l’anglais). Je vous conseille donc d’avoir pris LV2 espagnol et de pouvoir comprendre un minimum l’espagnol avant de partir à Zaragoza. 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

J’ai dû changer plusieurs fois de matières sur le Learning Agreement parce que l’emploi du temps ne convenait pas ou les cours étaient trop difficiles. Je vous conseille de suivre uniquement des cours de licence si c’est possible (la licence dure 4 ans en Espagne) car les cours de master sont très durs avec beaucoup de présentations orales. L’ensemble des cours sont avec des espagnols donc les cours sont difficiles à suivre et l’examen final est également en espagnol.

J’ai suivi des cours de science (biotechnologies appliquées et immunologie), des cours de marketing (marketing international et vocabulaire marketing en anglais) et des cours d’ingénieurs (environnement et équité/diversité). Les cours étaient très diverses et tous les professeurs étaient très gentils, compréhensifs et disponibles.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Sur les cours que j’ai suivis, uniquement les matières de science étaient en adéquation avec le programme GBS de Polytech. Les autres matières étaient nouvelles mais les professeurs étaient très compréhensifs et à l’écoute lorsque j’avais des difficultés.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail personnel n’était pas un problème car j’avais 20-25h de cours maximum par semaine. Le premier mois était le plus chargé car je suivais des cours intensifs d’espagnols et j’avais également des travaux pratiques de sciences. Le reste du semestre j’avais plus de temps pour préparer les présentations orales et rédiger des dossiers à rendre. 

10/Autres remarques ou suggestions :

Zaragoza est une ville très dynamique avec de nombreux étudiants espagnols et internationaux. Il est possible de réaliser de nombreux voyages et soirées parce qu’une grande association d’étudiants Erasmus est présente.

Il est également très facile de visiter le reste de l’Espagne en bus et train car Zaragoza est située entre Madrid, Barcelone, Bilbao, San Sebastian et Valencia.

Je vous conseille de suivre le compte instagram "Happy Erasmus Zaragoza" qui propose de nombreuses soirées, voyages et aide à trouver un logement.

Je conseille fortement de partir à Zaragoza ! Vous ne serez pas déçus ni de l’Espagne ni de la vie étudiante là-bas !

Université de Gijon - Espagne

S6 2021-2022 - SAGI - COCHET Maël

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Je ne connaissais pas du tout la ville de Gijón au départ, mais mon professeur me l’avait recommandé donc je me suis renseigné un peu plus et décider de m’y rendre pour effectuer ma mobilité à l’international. De plus aller en Espagne est un bon moyen pour aussi bien améliorer son espagnol ainsi que son anglais car mes cours étaient en anglais. De plus les matières que j’avais choisies pour mon semestre me semblaient intéressantes à étudier.

1/ Les conditions d'accueil :

Au niveau des relations internationales, cela s’est bien passé, à mon arrivée, je suis allé directement au bureau des relations international de l’école. Seul point négatif, il ne parle pas super bien anglais, mais on a réussi à se comprendre pour finaliser l’inscription et le contrat d’étude. J’ai aussi pu rencontrer d’autres étudiant Erasmus dans ma classe, mais aussi lors des activités proposées par ESN Oviedo qui est l’association Erasmus de Gijón et Oviedo (Oviedo est à 30 min en bus de Gijón).
Pour la restauration, je n’ai pas eu l’occasion de me restaurer à l’université, car mes cours étaient de 14 h à 20 h donc je mangeais avant de partir à mon appartement et au retour. Mais je sais qu’il y avait une cafétéria où on peut déjeuner.
La BU est très grande avec une bonne connexion wifi et une prise de courant par personne ce qui est très pratique pour travailler sur son ordinateur surtout lorsqu’on est dans une filière informatique comme moi. Surtout que tous les supports de cours étaient fournis en PDF donc obligé d’avoir un ordinateur pour les lire après les cours ou pour réviser.
Je n’ai pas utilisé de salle informatique en dehors des séances pratique de cour qu’on avait, car j’avais mon propre ordinateur. Je sais par ailleurs qu’il y a une salle qui est libre d’accès, mais pas beaucoup de monde l’utilise, car chacun a son propre matériel.
La connexion au réseau wifi se fait très facilement une fois qu’on a son compte à l’université (même principe qu’à Angers, connexion avec les identifiants de l’université).
Au niveau des sports, personnellement, je ne sais pas s'il y en a de prévu avec l’université. Je me suis inscrit à une salle de sport pas loin de chez moi et j’y allais régulièrement. On peut aussi louer de planches de surf pour surfer à la plage San Lorenzo (On a une réduction avec la carte Erasmus, carte qu’il faut payer une quinzaine d’euros pour ensuite participer à des grosses activités comme le West Coast Trip par exemple qui était très sympa pour découvrir toute la côte Ouest de l’Espagne durant une journée complète.). Des rencontre sportive sont aussi organisées par ESN Oviedo, par exemple, j’ai participé à un tournois de foot.
Enfin, avant mon arrivée, je m’étais inscrit au programme a-duo qui permettait de me mettre en relation avec un ou une étudiant (e) de l’université pour m’aider au début. J’ai donc été mis en relation avec une Espagnole très sympathique qui m’a aidée pour aller à la mairie pour faire ma Tarjeta Ciudadana qui permet de prendre le bus et d’avoir des réductions dans la ville. Elle m’a aussi montré quel bus prendre pour me rendre à l’université. Juste cela a été très utile, car avec la carte, on paye le trajet que 0.7 € et sans la carte 1.5 € donc cela est plus rentable et on peut aussi bien sûr prendre un abonnement au mois.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

Pour le logement, trouver à distance a été très compliqué car impossible de se déplacer pour visiter et pour chercher. Ainsi que la barrière de la langue pour passer des appels téléphoniques. Au final, on a trouvé un grand appartement de 75 m² dans lequel j’ai fait une collocation avec 2 camarades de Polytech Angers qui étudiaient avec moi à l’EPI. Notre appartement était idéalement placé, proche des supermarchés et d’une salle de sport. Loyer de 650 € par mois pour 3 personnes et les charges de 50 € par personne par mois. 

3/ Le coût de la vie :

Le coût de la vie est bien moins élevé qu’en France pour tout ce qui est l'alimentation, mais aussi sortie dans les bars. Par contre au niveau des restaurants, le prix est le même qu’en France environ.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

La ville de Gijon est très bien desservie en bus, le réseau est très bien développé. Une fois qu’on a la carte permettant de prendre le bus, cela est très simple, il suffit de télécharger une application pour soit prendre un abonnement au mois (ou plus) ou alors recharger, 5€, 10€… En sachant qu’un trajet coûte 0.7 €. L’application est très bien faite et vous pouvez suivre l’avancement de votre bus (sauf quand la mairie se fait hacker comme ça a été le cas lors de notre séjour et dans ce cas plus d’application). Pour voyager de ville en ville, les bus Alsa sont très bien et pas cher. 2.55 € pour aller à Oviedo par exemple.
En autre moyen de transport, il y a aussi des Guppy, ce sont des voiture électrique qu’on peut louer via une application et qui permettent de visiter la région. Ou alors pour aller plus loin, vous pouvez aussi louer une voiture dans une agence de location. 

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus de l’EPI est excentré par rapport au centre-ville. Pour s’y rendre, il faut prendre le bus.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Tous mes cours étaient en anglais. Cela ne m’a posé aucun problème pour les suivre. Les professeurs avaient un très bon niveau d’anglais, et étaient très compréhensibles. Je discutais aussi avec les autres élèves espagnols de ma classe, parfois en espagnol, mais la plupart du temps en anglais.
Dans la vie courante, ne pas parler espagnol peut être un peu dérangeant, car les Espagnols ne parlent pas tous anglais. Mais on arrive toujours à se faire comprendre et les personnes étaient toujours très sympathiques.   

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Toutes les matières que j’avais choisies correspondaient bien aux attentes. J’avais 5 cours au total, ces 5 cours faisaient partie du même diplôme donc pas de soucis d’emploi du temps. Les cours étaient vraiment d’un très bon niveau, très bien expliqué et très intéressant à suivre. Si on avait des questions, il ne fallait pas hésiter à poser une question aux professeurs, ils étaient toujours là pour nous aider si besoin. Par ailleurs, le niveau était quand même très élevé. Il fallait donc beaucoup travailler pour valider toutes les matières.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Dans certaines matières, j’avais quelques bases comme par exemple en Operating System ou j’avais déjà utilisé les commandes Linux ou en Database où j’avais déjà utilisé le langage SQL. Cependant dans la plupart des autres matières, on code en Java, langage que je n’avais jamais utilisé auparavant. Mais que les élèves de l’école espagnole avaient vu en première année. J’ai donc dû aller à un cour en plus (de première année) pour pouvoir apprendre quelques bases pour ensuite se débrouiller en cour. Par ailleurs, pour les cours ou on avait déjà un peu d’avance, on a été très vite rattrapé, car on est allé plus loin dans la matière que ce qu’on avait déjà vu a Polytech.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Durant ce semestre, j’ai vraiment eu beaucoup de travail personnel, on a « peu de cours », 6 heures par jour maximum. En tout, on avait 26 heures par semaine. Mais à côté de cela, il y avait du travail à rendre si on n'avait pas fini dans les temps lors des séances de pratique par exemple. Il y a aussi beaucoup de cours théorique. Environ la moitié donc il faut apprendre par cœur les PDF pour le partiel.
Au niveau des notes, dans 4 matières sur 5, elles reposaient exclusivement sur les notes obtenues au partiel, pas de travail de groupe à rendre. En Numeric Computing, cependant, la séance de pratique était évaluée toute les semaine (questionnaire sur moodle, niveau pas trop difficile) et on avait aussi le week-end un questionnaire noté sur moodle concernant le cour théorique.
On a eu 2 périodes de partiels, une en mars ou au total, nous avons eu 11 évaluations dans le mois en plus des cours (les évaluations étaient sur le temps des cours sur lesquels on était évalué, enfin pour la plupart.) . Cette période a été très intense avec une charge de travail très importante. La deuxième phase d’examens était de mai à début juin, mais lors de cette deuxième phase nous n’avions plus de cours en même temps, donc plus de temps pour réviser et mieux réussir les examens.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Oui, les cours étaient en adéquation avec le programme à Polytech même si on était plus orienté du côté informatique dans notre cas et pas du tout d’automatisme. On a pu développer des compétences qui nous serons utiles dans la suite de nos études à Polytech Angers.

11/Autres remarques ou suggestions :

J’ai bien aimé mon semestre à l’étranger. Je pense que c’est à faire au cours de ses études. Gijón est une ville agréable surtout au niveau de la météo. On l’appelle la Bretagne de l’Espagne, elle porte bien son nom, car il pleut de temps en temps et surtout il ne fait pas trop chaud. Même lors de la canicule, on n'a pas eu plus de 27 °C donc parfait. En revanche si on cherche la chaleur et le beau temps tout le temps, ce n’est pas l’endroit idéal. Mais je recommande quand même.

S6 2021-2022 - SAGI - DESTOMBES Eli

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Ce qui a motivé mon choix, ce sont les matières enseignées, c’était la seule école dans la liste qui nous a été proposer qui proposais des matières qui m’intéressaient.

1/ Les conditions d'accueil :

Pour l'accueil à l’université, nous avons eu une réunion Teams quelques jours avant le début des cours.

Le bureau des relations internationales ferme assez tôt, de plus, ils ne parlent pas très bien anglais (heureusement que mes colocataires qui parlaient un peu espagnols était là pour m’aider).

Pour ce qui est de la restauration, je n’ai jamais utilisé celle de l’université. Mon emploi du temps me permettait de manger toujours à notre appartement, mais je sais qu’il y a une bonne cafétéria.

La BU est ouverte de 8 h à 20 h, avec beaucoup de place. Mais c’est un espace pour le travail personnel (pas trop de bruit autorisé).

Il y a des salles informatiques libres d’accès au rez-de-chaussée d’un des bâtiments (AULARIO NORTE).

Pour Internet, ils ont le wifi eduoram, mais ils ont aussi leur propre wifi qui fonctionne très bien.

Pour le sport, l’université ne nous a rien proposés, mais nous étions à côté d’une salle de sport. Il y a aussi plein d’endroits pour faire du surf ou de l’escalade. De plus, l’ESN (Erasmus Student Network) organise des rencontres sportives.  

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

Pour le logement, ça a été extrêmement compliqué, nous nous y sommes mis 2 mois à l’avance et nous n’avons eu qu’une seule réponse positive sur plus d’une quarantaine de demandes. Malgré ça, nous avons eu un super appartement de 75 m² pour une collocation à 3, placés dans le centre à côté du centre commercial Los Fresnos. Le loyer était de 650 € par mois pour 3 et environ 50 € de charge par personne.

On l’a trouvé via le site Properstar. 

3/ Le coût de la vie :

Le coût de la vie est bien moins cher qu’en France, à l’exception du grand Carrefour, les magasins comme Lidl ou Mercadona ne sont pas très cher.
Pour ce qui est des restaurants, les prix sont à peu près pareils qu’en France. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Il y a des bus qui passent dans toute la ville, on peut faire faire une carte de bus pour 10 € et après le ticket de bus est à 0.7 € ou un abonnement mensuel à 30 €. Sinon le ticket de bus est à 1.5 €. Pour voyager entre les villes, et même dans tout le pays, vous avez les bus Alsa.
Vous pouvez aussi louer des voitures électriques (Guppy).
Il y a aussi des vélos et des trottinettes, mais il y en a beaucoup moins qu’à Angers. 

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est un peu à l’Est de la ville, il y a plusieurs bus qui s’y arrête. Il nous fallait 15 min pour y aller en bus depuis notre appartement.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Nos cours étaient en anglais et le niveau des professeurs est irréprochable. De plus, nous étions dans une classe avec beaucoup d’étudiants espagnols et quelques Erasmus, de même tout le monde à un excellent niveau d’anglais.
Les problèmes étaient quand il fallait parler Anglais avec l’administration, comme dit précédemment le bureau des relations internationales ne parle pas très bien anglais.
Dans la vie de tous les jours, c’est difficile à dire, parfois les gens parle très bien anglais et parfois pas du tout, mais on arrive toujours à se faire comprendre.  

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Pour ma part, les cours correspondaient par rapport au cours choisi, pas de problème d’emploi du temps, pas de cours qui se chevauche. Mais parce que tous les cours faisaient partie du même bachelor.
Mais bien sûr, vous pouvez choisir des cours d'autre bachelor, mais il faudra faire attention aux horaires des cours si vous en prenez d'autre bachelor.
Pour ce qui est des attentes que j’avais par rapport au cours, elles sont bien au-dessus de ce à quoi je m’attendais. Les cours sont hyper complets, mais cela à amener beaucoup de problèmes que je développerai dans les points suivants. Mais les cours m’ont fait énormément progresser dans les matières que j’ai suivies. J’ai développé des connaissances qui me seront très utiles pour ma spécialité (SAGI).

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Même en ayant choisi plusieurs matières que l’on avait déjà faites les semestres précèdent, les cours était extrêmement dur et je n’étais pas prêt pour ça. J’avais que des cours de deuxième année et certain demandais d’avoir fait des cours de l’année d’avant pour les comprendre. On nous a proposé de suivre un cours supplémentaire non évalué pour pouvoir comprendre celui que nous avions choisi. Pour les cours que nous avions déjà eus à Polytech Angers, en deux semaines, nous avions vu tout ce qu’on avait vu en un semestre.  

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Pour ce qui est du travail personnel, cela me prenait quasi toute ma journée quand je n’avais pas cours. Nos cours étaient de 14 h à 20 h, généralement, je travaillais 2 h le matin et entre 2 et 3 h le soir, le week-end, je pouvais passer entre 6 et 8 h par jour.
De plus, nous n’avons eu aucun travail de groupe, toutes les notes reposent sur les contrôles.
Il y a deux phases d’examen, une en mars et une en avril/juin, concrètement de début mars à début juin, nous étions en examen ou en révision. À côté de cela, les professeurs sont très réactifs quand on leur envoie des messages, on peut même faire des tutorats si besoin.
En revanche que vous soyez Erasmus ou non, il n’y a pas de traitement de faveur comme on pourrait le croire.
Pour ma part, je trouve que les étudiants de là-bas ne s’aident pas beaucoup entre eux, on peut toujours leur demander de l’aide, mais ne compter pas trop sur eux non plus.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les compétences acquises à l’étranger sont bien plus poussées que ce que j’aurais pu apprendre à Polytech. Les cours que j’ai suivies correspondent à certains cours des S5, S6 et S7 donc je n’aurais pas trop de cours à rattraper. 

11/Autres remarques ou suggestions :

Malgré tout ça, je recommande de faire un Erasmus, pour progresser en langue et découvrir des nouvelles cultures, mais je ne recommanderai pas de venir à Gijón.
Ce n’était pas une expérience agréable au vu de tout le travail à faire et de la quantité de stress que ça a engendrer.
Malgré tout le travail que j'ai fourni, je n'ai pas validé toutes les matières là-bas.
J’aurais dû mieux regarder le classement de l’école, qui est une des meilleures universités d’Espagne.

S6 2021-2022 - SAGI – GUILLOU Faustine

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J’hésitais entre la Pologne et l’Espagne. J’ai décidé de faire mon Erasmus en Espagne car c’est un pays que je connais. Je m’étais dit que si certains professeurs décidaient de parler espagnol, même dans les cours en anglais, au moins je pourrais comprendre une partie, plus que si c’était en polonais. De plus, j’aime beaucoup ce pays mais je ne connaissais pas cette région de l’Espagne et c’était un très bon moyen de la découvrir.

1. Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres…

   Les relations internationales répondent très vite et sont très sympathiques. Par mail, ils pourront vous parler anglais, mais si vous avez besoin de les rencontrer en face à face, il faudra avoir quelques bases d’espagnol. Seulement une personne du bureau international parle bien anglais, en tout cas à ma connaissance, et elle ne sera pas forcément présente si vous allez au bureau internationale.

   Pour manger sur place, vous avez plusieurs choix:

   -vous pouvez amener votre propre repas, le faire réchauffer dans une salle exprès pour se restaurer, ou bien aller manger dehors sur les bancs de l’espace extérieur

   -il y a une cafétéria “chill” dans l’Aulario Sur ( un bâtiment ), avec des sandwich, frites poulet etc, pareil vous pouvez manger dehors ou dedans. Elle ouvre à 13h.

   - il y a deux autres cafétérias dans deux autres bâtiments, une avec des vraies repas, et l’autre je en sais pas ce qu’ils servent. Je ne peux pas vous en dire plus, je n’y ai jamais mangé. En tout cas, où que vous soyez dans l’EPI, il y aura un endroit où manger.

   Il y a aussi des distributeurs dans l’Aulario Norte ( autre bâtiment ), et sûrement dans les autres bâtiments aussi.

Il y a une très grande BU, elle est géniale. Vous pourrez y trouver des livres pour étudier. Au rez-de-chaussée de la bibliothèque, il y a des prises sur les tables, largement assez pour tout le monde. Pour brancher votre ordinateur à l’étage, il faut demander une multiprise à l’accueil pour la brancher dans les prises du sol de la bibliothèque.

La bu ouvre vers 8 ou 9h le matin et ferme à 20h, c’est génial pour réviser les examens.

Vous avez accès à une salle informatique ouverte tout le temps pour travailler sur un ordinateur. Elle n’est pas très grande mais peu de gens y vont. Cependant, je vous conseille d’avoir votre ordinateur avec vous, ce sera plus facile.

Il y a un réseau wifi gratuit dans toute la fac, il fonctionne super bien.

Pour les sports je ne sais pas. J’ai entendu dire par mes amis espagnols qu’il y en avait à la fac, mais je n’ai pas eu d’informations les concernant, je en sais pas si nous y avons accès.

Personnellement, j’ai utilisé le programme duo, qui vous met en lien avec un ou une étudiante, pour vous renseigner et vous aider si besoin dans vos démarches. En plus, vous pouvez rencontrer des gens super sympas par ce biais, ça m’a aidé à rencontrer des espagnoles super gentilles et ça peut être super pour parler espagnol.

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J’ai vécu en colocation avec les deux autres étudiants SAGI partis en semestre. Nous avons cherché un appart sur internet. Je vous conseille de vous y prendre à l’avance, peu ont répondu à nos messages. Mais l’appartement était génial. Comparé à Angers, c’est beaucoup moins cher, nous payions 650 euros pour environ 70 m² dans le centre. Sans les charges.

Faire une colocation avec les gens avec qui vous partez est super, c’est un repère, vous vivez la même chose. Par contre, dans ce cas, nous n’avons parlé que français dans le colocation. Si vous voulez parler anglais ou espagnol, cherchez une chambre dans une colocation. Ce n’était pas un problème pour moi, mais c’est à prendre en compte dans votre choix de logement.

3. Le coût de la vie

J’ai trouvé le coût de la vie moins cher en Espagne. Rien que pour le logement, ou la nourriture. Ça m’a permis de pouvoir plus profiter, sortir et découvrir la région.

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Pour aller à la fac, je prenais le bus.

Vous pouvez avoir un abonnement à 30 euros par mois, ou bien une carte sur laquelle vous chargez de l’argent, vous payerez alors 0,7 euros par trajet. Si vous achetez un billet en montant dans le bus, vous payerez 1,5 euros.

Pour sortir dans le centre ville, je marchais, tout se faisait en 20 ou 25 min maximum. Notamment la mer.

Pour vous déplacer en Espagne, il y a le réseau de bus Alsa, vous pouvez notamment aller à Oviedo pour 2,55 euros en 30 min. Avec ce réseau, vous pouvez aussi aller à Léon, Madrid, Barcelone, etc.

Pour vous déplacer en Asturies en voiture, vous pouvez louer une voiture électrique guppy sur l’application du même nom. Ça revient à maximum 60 euros pour la journée, si vous prenez la voiture à plusieurs pour aller visiter, c’est super intéressant. Vous pouvez recharger la voiture gratuitement en appelant guppy normalement ( savoir parler espagnol est important dans ce cas). Vous pouvez aussi louer une voiture( électrique ou non ) dans des agences pour aller plus loin.

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Nous habitions au nord du quartier La Arena, et mettions 15 min en bus à aller à la fac. Si vous habitez près de la mer, vous mettrez une vingtaine de minutes je pense. L’université est excentrée à l’est de la ville mais plusieurs bus s’y rendent, vous pouvez aussi y aller à vélo, mais plus difficilement à pied je pense, enfin ça dépend où vous vivez.

Le campus est super grand, 15 min à pied d’un bout à l’autre. Il y a un grand espace vert, la fac est vraiment super cool.

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

   Tous mes cours étaient en anglais, mais je pense que vous avez la possibilité de choisir certains cours en espagnol.

   Je ne parle pas super bien espagnol mais j’ai pu m’en sortir. Les espagnols apprécieront que vous fassiez l’effort de parler espagnol ou de l’apprendre. Et il vous sera indispensable d’en avoir quelques bases, notamment pour l’administratif, par exemple pour la tarjeta ciudadana ou le nie.

   Mais j’ai toujours réussi à m’en sortir.

   Je vous conseille de profiter de l’expérience pour essayer de parler espagnol. Dans la majorité des cas, les gens sont très gentils et super indulgents, que vous parliez bien ou pas espagnol.

   Mais peu de gens parlent anglais dans la vie courante, en dehors de l’université, par exemple au supermarché.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient-elles aux attentes ?

   J’ai étudié:

   -Operating System

   -Human Machine Interface

   -Database

   -Computacion Numerica

   -Paradigms

   Le niveau était beaucoup plus ardu que ce que j’imaginais.

   Par exemple, j’avais déjà étudié Operating System au S5 en France, mais tout ce que je savais déjà a très vite été vu en Espagne, et tout a été beaucoup plus poussé. Même chose pour Database.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

   Dans beaucoup des matières étudiées, nous utilisions le langage de programmation Java. Ça a été une de mes plus grosses difficultés au début, car je en l’avais jamais étudié, donc en plus d’apprendre les connaissances de la matière, je devais aussi apprendre sur le tas le Java. Je vous conseille d’avoir des connaissances de Java avant de partir étudier à l’EPI.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

   Nous avions moins d’heure de cours que en France (en moyenne 6 heures par jour). Par contre vous devez travailler chez vous. Je pense que ça requiert plus de travail personnel que à Polytech Angers. Nous n’avons pas eu beaucoup de travaux à rendre, mais vous aurez des TPs à finir. Je vous conseille aussi de refaire au fur à mesure ce que vous avez fait en cours. Sinon, la période d’examens va être super compliquée. La première période d’examens se déroulent en même temps que les cours et vous aurez peu de temps pour réviser. On nous dit depuis notre enfance de ne pas travailler au dernier moment, mais c’est encore plus important à l’EPI si vous voulez pouvoir valider le semestre. Il faut aussi partir du principe que les professeurs seront plus dur sur la notation. Il y a aussi un fonctionnement de notes minimales par examen de chaque matière, théorique et pratique. Il faudra donc tout réussir (en général minimum 4/10).

10. Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

6. L’association ESN Oviedo est génial, il y a beaucoup d’évènements, quasiment un par jour, de tous types : soirées, sport, culture, randonnées….

   Il y a beaucoup d’étudiants Erasmus à l’université d’Oviedo, aussi bien à Oviedo que à Gijón, vous aurez la possibilité de rencontrer énormément de gens, venant du monde entier.

   La région est magnifique, vous pouvez faire une randonnée et en 5 min être à la plage. C’est un énorme coup de cœur pour moi.

   Voici quelques conseils de choses à voir:

   -Covadonga

   -Playa de laÑora ( vous pouvez y aller à pied il y a un chemin côtier qui y mène , il part de la paya de San Lorenzo à Gijón. Playa de la Ñora est le point d’arrivée mais le plus intéressant est vraiment de faire le chemin à pied)

   -Laboral Ciudad de la Cultura ( c’est un campus à Gijón il est super beau, ce n’est pas très loin de l’EPI)

   -Cabo de Peñas

   -Playa de las Catedrales

   -Cudillero

   -Ruta/Senda de Los Miradores près de Cudillero

   -Léon

   -et plein d’autres plages et randonnées magnifiques!!

En arrivant, vous pouvez vous faire une tarjeta ciudadana. Vous pouvez l’utiliser comme carte de bus ( mais aussi vous faire une carte de bus normale). Cette carte de la ville vous donne aussi accès à des réductions et des avantages dans la ville. Elle est gratuite et vous coûte 5 euros pour la refaire si vous la perdez.

Je vous recommande l’expérience à 100%, j’en garde de supers souvenirs!!!

S9&10 2019-2020 - SAGI - COUPEAU Patty

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Les relations internationales ont été là tout au long de l'année pour m'aider (administrativement à mon arrivée et plus personnellement durant la période de confinement liée au COVID). J'étais la seule étudiante étrangère du Master donc il n'y avait pas d’événements "Erasmus" organisés par eux. Pour cela, j'ai rejoint le groupe Erasmus de Gijón que j'ai trouvé via Facebook.

b/ restauration : L'université dispose d'une cafétéria proposant des sandwichs, tapas ou autres à pas cher (moins de 3€). Le midi, il est également possible d'avoir plat chaud+dessert pour 5€. L'université est un peu excentrée donc il faut compter 20 minutes à pied pour trouver une boulangerie ou un restaurant. Personnellement, comme on n'a pas cours l'après-midi je rentrais manger chez moi la plupart du temps.

c/ sports : L'université propose de nombreux sports qui sont disponibles sur son site (https://deportes.uniovi.es/ ). Le problème est que la plupart des activités ont lieu à Oviedo. A Gijón, il n'est proposé que de la voile. Mais, il est possible de faire du sport via la mairie de Gijón qui propose tout pleins d'activités (football, basket, volley, badminton, tennis, paddel, natation, yoga, golf...) à condition de disposer de la Tarjeta Ciudadana. Celle-ci est gratuite et peut être obtenue à la Oficina de Atención a la Ciudadanía Antiguo Hogar. Enfin, Gijón a pleins d'endroits super pour courir.

d/ BU : Le campus de Gijón dispose d'une BU avec des ordinateurs mais je n'y suis jamais allé.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : l'accès au réseau universitaire est libre mais la salle du Master dispose de son propre wifi plus performant. Il est possible d'avoir accès à des salles informatiques.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J'avais un super appartement de 45m² dans le centre de Gijón avec vue sur mer en colocation avec une espagnole. Si vous pouvez faire de la coloc avec une personne d'une autre nationalité je le recommande vraiment car il n'y a rien de mieux pour progresser en langue. J'avais trouvé ce logement sur un site type leboncoin mais espagnol (je ne me souviens plus du nom) mais je suis en très bon contact avec les propriétaires si besoin. 

3/ Le coût de la vie :

Je dirais que le coût de la vie en Asturies est le même qu'en France en ce qui concerne l'alimentation, les vêtements ou dans les bars. Par contre, tout est moins cher au niveau du transport en commun (0,70€ le bus), le logement (je ne payais que 260€ + 15€ de charges pour mon logement avec vue sur mer!) et des sorties (ciné, musées,...). Un gros point fort aussi est que dans les bars, il y a souvent beaucoup de tapas offertes pour accompagner la boisson. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Bon réseau de transports en commun au sein de Gijón et son agglomération (bus seulement par contre). Avec la Tarjeta Ciudadana, le ticket est seulement à 0,70€. Il y a des Velib à disposition dans toute la ville. Pour se rendre dans les grandes villes aux alentours (Oviedo, Avilés, Bilbao, Santander), je recommande d'utiliser le réseau de cars Alsa ou le train Renfe/Feve. Par contre, il est très compliqué d'aller dans les bons coins des Asturies (Covadonga pour les montagnes par exemple). J'avais la chance d'avoir des amis ayant une voiture ce qui m'a permis de me déplacer beaucoup plus librement sinon ça reste très compliqué. Blablacar fonctionne pas mal aussi !

Pour arriver depuis la France, le plus simple est de prendre un avion de Nantes à Bilbao et d'ensuite prendre un bus ou un Blablacar jusqu'à Gijón. Sinon il y a des vols passant par Madrid et allant à l'aéroport des Asturies mais c'est tout de suite plus cher.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est légèrement excentré du centre-ville de Gijón (25 minutes à pied) mais se trouve dans un environnement super agréable et verdoyant. Six lignes de bus permettent de s'y rendre (1,2,4,15,18 et 26).

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Tous mes cours étaient dispensés en espagnol et j'étais la seule étrangère. Du coup, le premier mois a été difficile pour m'intégrer. Par chance, les 2 premiers mois étaient une remise à niveau et m'ont permis de m'habituer à la langue. Si vraiment cela est trop difficile, les profs m'avaient proposé de me donner les cours écrits mais je n'en ai pas eu besoin. Au bout d'un mois, ma compréhension de la langue était très bonne.

En dehors des cours, j'arrivais très bien à échanger avec les autres espagnols. Enfin, grâce au groupe Erasmus j'ai pu rencontrer des personnes d'autres nationalités et ainsi continuer à pratiquer mon anglais (même si c'était difficile je faisais des mélange anglais/espagnol). Le plus important est d'aller vers les gens d'autres nationalités pour pratiquer !

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières correspondaient bien à mes attentes, je n'ai pas eu de surprise. Les enseignants m'ont simplement conseillée sur les matières optionnelles à choisir et j'ai modifié l'un de mes choix.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Je n'ai eu aucune difficulté à suivre les cours, j'avais même des acquis que les autres étudiants n'avaient pas. Comme on vient tous de parcours différents, on s'entraidait.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le double diplôme proposé par l'université d'Oviedo demande BEAUCOUP de travail. Il n'y a pas énormément d'heures de cours (seulement le matin de 9h à 15h au plus tard) mais la charge de devoirs personnel est très importante.

On a beaucoup de travaux en groupe donc il est important de bien s'intégrer dans la promo mais je n'ai pas eu de problème à ce niveau-là. La pression est assez forte au moment des partiels avec en plus de cela beaucoup de dossiers à rendre. Mais, il ne faut pas s'inquiéter car les enseignants sont compréhensifs, toujours là pour aider et à l'écoute. On se soutenait tous et au final toute la promo a validé son année.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Je dirais qu'il y a une bonne adéquation oui mais je le conseille surtout pour ceux davantage intéressés par le côté automatisme. J'ai fait ce choix pour réduire les heures de programmation pure et dure et pour refaire plus de maths théorique. Le diplôme propose des bons cours sur le traitement d'images, la visualisation et le machine learning que je conseille pour les intéressés.

11/Autres remarques ou suggestions :

Gijón est une ville super agréable et très étudiante. Toutes les personnes qui y vont en tombent amoureuse. Je recommande vivement de s'inscrire dès le début aux évènements et sorties Erasmus qui permettent de voir du pays et surtout d'échanger avec des personnes du monde entier.

Je vous recommande les endroits suivants à visiter :

• Lacs de Covadonga

• Somiedo

• Santander

• La Galice !!

  Si vous êtes fan du cidre, c'est une tradition là-bas.

Au niveau du travail personnel, je vous recommande de bien vous avancer et de ne pas prendre de retard car on est vite surpassé..

Je garde un formidable souvenir de mon expérience Erasmus et je le recommande à deux mille % !!!

Université de Vic - Espagne

S8 2022-2023 - GBS - Ervan MAUBERT 

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

1. Les conditions d'accueil 

À l'université de Vic, le bureau des relations internationales vous accueillera pendant quelques jours pour vous présenter l'école, les locaux, le WIFI et les services sportifs disponibles (personnellement, j'ai payé environ 50€ pour une carte donnant accès aux salles de sport de l'université, qui sont assez rudimentaires). Avec cette carte, j'avais également accès à la piscine si je le souhaitais (un bonnet de bain est requis). D'autres activités sportives étaient proposées, mais il fallait payer 2€ par séance pour des activités telles que le HIIT, la Zumba, etc.

En ce qui concerne la restauration, il faut se débrouiller seul. Les horaires peuvent parfois être compliqués, mais en général, on a le temps de rentrer chez soi pour manger.

La bibliothèque universitaire est bien et calme pour travailler. Les livres sont en catalan, mais certains sont disponibles en anglais.

2. Le logement 

Pour se loger, cela peut être assez compliqué si on s'y prend à la dernière minute. Il ne faut pas hésiter à envisager une colocation avec d'autres étudiants ERASMUS. Les logements ne sont pas toujours parfaitement neufs, à moins d'y mettre le prix. Mon propriétaire m'a demandé de ne pas hésiter à le recontacter si quelqu'un a besoin d'un logement sur Vic. Par ailleurs, un patron de bar ERASMUS, appelé Norton, s'occupe généralement des étudiants ERASMUS et crée normalement un groupe Whatsapp et Facebook pour les offres de logement. Il faut se dépêcher de postuler car la concurrence est rude !

Finalement, il existe une résidence universitaire dont certaines personnes ont pu bénéficier, mais je n'ai pas plus d'informations à ce sujet.

3. Le coût de la vie 

Pour être honnête, j'y suis allé pendant une période d'inflation. La Catalogne est assez indépendante de l'Espagne, donc les prix sont similaires, voire légèrement supérieurs, à ceux de la France pour certains produits. En revanche, les bars sont beaucoup plus abordables qu'en France et il est agréable de sortir avec des amis. En général, on divise le prix par 2 ou 3.

4. Les transports en commun

La ville dispose de bus qui permettent de se rendre à la plage, etc. Évidemment, il faut parfois effectuer des trajets de 2 heures, mais lorsque l'on n'a pas de voiture, c'est toujours intéressant. Cependant, la ville est de taille humaine et il est possible de la traverser à pied en 40 minutes.

En arrivant, il est possible de ne pas se sentir vraiment en sécurité dans la ville, mais je ne connais personne qui ait eu de problème avec qui que ce soit (soyez quand même prudent(e)s).

Pour ma part, je n'ai jamais utilisé les transports en commun car j'ai eu l'opportunité de partir avec une voiture, ce qui est vraiment utile si vous le pouvez. Cela permet d'accéder à des endroits inaccessibles en bus et de découvrir l'arrière-pays (voire de faire un road trip).

5. Situation du campus

Comme mentionné précédemment, le campus n'est pas loin du centre-ville (10 minutes à pied). Il est équipé d'imprimantes, il suffit simplement de prévoir du papier. Il est également possible de travailler là-bas.

6. Pratique d'une autre langue 

J'ai principalement parlé anglais pendant ce semestre grâce aux personnes ERASMUS que j'ai rencontrées, malgré le fait d'être en Espagne. Je n'ai jamais été vraiment fort en anglais, pourtant j'ai réussi à me débrouiller. Sachez que même si les Français ont généralement un niveau d'anglais pas génial, il y aura toujours quelqu'un dans votre situation si vous n'êtes pas très à l'aise. De plus, les gens vous demandent de répéter si besoin, il y a beaucoup de bienveillance.

À moins que vous ne parliez catalan, il ne sera pas facile de s'exprimer avec les habitants locaux. En revanche, vous pouvez leur parler en espagnol, ils le parlent couramment.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d'études et correspondent-elles aux attentes ? 

J'avais choisi les matières suivantes : Aquatic Ecosystems, Spanish A2, Microbiology, Entrepreneurship, Personal Branding, Crisis Communication, Sports Marketing.

J'ai choisi différents cours, dont l'entrepreneuriat, car cela m'intéressait, mais d'autres cours sont disponibles si vous le souhaitez.

Spanish A2 était intéressant pour pratiquer un peu la langue. Microbiology, l'enseignant était génial, mais il devait partir sous peu. Personal Branding était également très intéressant. Pour Crisis Communication, cela demandait beaucoup de travail personnel, mais sans prise de tête.

En revanche, Aquatic Ecosystems était particulièrement difficile, je ne peux pas vous mentir, et de nombreuses personnes qui ne travaillaient pas ont dû passer les rattrapages. Entrepreneurship était un cours qui demandait beaucoup de travail et d'effort. Il fallait être assidu et vraiment avoir une démarche entrepreneuriale. Le professeur essayait de nous conditionner, ce qui pouvait être difficile si vous n'étiez pas intéressé. Enfin, Sports Marketing ne m'a pas du tout intéressé car l'enseignant était fan de football, donc il en parlait presque tout le temps.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières

Certaines matières n'étaient pas forcément liées à ce que nous voyons à Polytech, mais il n'y avait pas d'autres possibilités. Cependant, il n'est pas impossible de suivre les cours. Tout est compréhensible.

9. La gestion du travail pose-t-elle problème ?

Vous serez évalué en contrôle continu à l'université, avec des examens finaux. Autrement dit, vous aurez quelques projets à rendre pendant le semestre et des examens finaux sous forme de présentation ou de projet à rendre à la fin (en même temps). Donc, autant vous dire qu'entre les au revoir, les projets et les travaux personnels, on ne s'ennuie pas.

10. Remarques ou suggestions personnelles.

Si vous avez la possibilité de prendre une voiture, vous ne le regretterez pas.

L'eau du robinet est horrible (goût d'algue), il faudra donc acheter des bouteilles de 8L (à 0,62€).

Vous allez faire des rencontres qui vont vous marquer. Je n'aurais jamais imaginé me faire des amis comme je l'ai fait à cause de la barrière de la langue. Pourtant... J'ai eu du mal à partir et à laisser les gens derrière moi. C'est une expérience unique dans une vie, je vous recommande l'ERASMUS.

Université de Vic - Espagne

S8 2022-2023 - GBS - Eliane RICHARD

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

 1. Les conditions d'accueil 

J'ai été très bien acceuillie à l'université de Vic, que ce soit au niveau de l'école, des professeurs et des autres étudiants Erasmus. Ma responsable était très réactive aux mails et à mes questionnements et le personnel enseignant nous met plutôt à l'aise rapidement. Il y a d'ailleurs une semaine d'intégration d'organisée pour tous les nouveaux Erasmus. 

Au niveau de la restauration il faut se débrouiller tout seul, donc soit aller acheter quelque chose à manger en ville, soit emmener son repas ou alors rentrer chez soi quand on a assez de temps. Pour ma part, la plupart du temps je rentrais manger chez moi.

Pour ce qui est de la BU, elle est très pratique puisqu'elle est située dans le campus.  Je n'ai par contre jamais réussi à me connecter au réseau wifi, mais bon j'ai le même problème à Angers avec eduroam...

Pour le sport, si vous êtes un adepte de musculation vous pouvez prendre la carte à 50€ (ou 30 je sais plus oups) pour le semestre. La salle n'est pas incroyable mais ça fait le taff :) Et sinon il y a des séances de danse, zumba, HIT qui sont proposées à 2€ et pour avoir testé, l'ambiance est bonne !

2. Le logement 

Pour le logement, beaucoup sont passés par Norton (c'est le patron du bar qui propose bcp de soirées Erasmus). Il y a un groupe facebook pour ça. Sinon il y a une résidence universitaire mais il me semble que les prix sont plus élevés. Quoi qu'il en soit, il faut s'y prendre en avance car ce n'est pas facile de trouver un logement (mais pas de panique, tout le monde finit par en trouver un). Pour ma part j'avais une colocation avec 3 autres personnes.

3. Le coût de la vie 

A Vic, le coût de la vie est assez similaire avec la France donc pas de grosses surprises.

4. Les transports en commun

Il y a des bus mais je ne m'en suis jamais servi puisque tout est assez proche à pieds (pour ceux qui habitent le plus loin de l'école, il peut y avoir 30 min à pieds mais personnelement j'étais à plus ou moins 15 minutes). 

Ce qu'il y a de bien à Vic, c'est qu'ils ont mis en place une carte de train à 10€ qui comprend plusieurs lignes, dont celle pour aller à Barcelone. C'était une nouveauté pour la ville et c'était censé s'arrêter, mais par chance j'ai pû en bénéficier sur toute la période de mon Erasmus, donc peut-être que ça continuera. Je vous invite à vous renseigner car c'est pratique, surtout que si on effectue plus d'un certain nombre de trajets, les 10€ nous sont remboursés. Bref, dans tous les cas même si vous n'avez pas la carte, je vous conseille d'aller à Barcelone en train plutôt qu'en voiture car c'est beaucoup plus pratique (et ça met 1h20). Pour tous les autres trajets il existe des bus, mais il est préférable d'avoir une voiture. 

5. Situation du campus

Le campus est plutôt bien situé puisqu'il est proche du centre ville (environ 5 minutes à pieds), et les apparts ne sont pas très loin.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d'études et correspondent-elles aux attentes ? 

S7 2022-2023 - GBS - Violette DUPUY

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

1/ Les conditions d'accueil

a) Relations internationales

Le bureau des relations internationales de Vic est très à l’écoute des étudiants. Elles répondent vite aux mails et restent disponibles dès que besoin. J’ai apprécié avoir un rendez-vous au milieu du semestre pour discuter de comment on se sent à Vic, j’avais l’impression d’être suivie et écouter.

b)Restauration

Je ne crois pas qu’il y ait de restaurant universitaire similaire aux différents RU proposé par l’université d’Angers mais je me préparais mes propres plats la majorité du temps ou je déjeunais chez moi. Il y a plusieurs petits restaurants pas trop chers aux alentours de l’université également. Il existe plusieurs machines pour acheter des sandwichs ou des trucs à grignoter.

c)BU et salles informatiques

Je n’ai pas tenté d’allée à la BU ou dans les salles informatiques mais je crois qu’il y en a deux ou trois BU reparties sur les différents campus. Pour les salles informatiques je ne sais pas du tout.

e)Réseau wifi

J’ai eu du mal à me connecter la première fois mais il y a un centre spécialisé disponible au sein de l’université qui permet de régler les problèmes informatiques, n’hésitez pas à y aller ! Après ça, tout fonctionnait très bien.

f)Sports

Je n’ai pas fait de sport au sein de l’université mais il y a différentes activités proposées dès le début de l’année auxquelles on peut s’inscrire. 

2/ Le logement

Pour le logement j’ai eu beaucoup de mal à trouver. Il faut vraiment s’y prendre à l’avance. Il y a le site web « de piso en piso Vic », les groupes facebook ou instagram (salseouvic). Personnellement, je n’avais pas de logement en arrivant j’ai donc pris un airbnb pendant 1 semaine puis ils m’ont aidé à trouver un logement. Je me suis retrouvée dans une famille espagnole mais ça ne s’est pas très bien déroulé. Au bout d’1 mois j’ai trouvé un airbnb longue durée avec d’autres Erasmus et tout s’est bien passé.

3/ Le coût de la vie

Il est plutôt similaire au coût de la vie française. Certains produits seront moins chers mais la différence n’est pas très flagrante. 

4/ Les transports en commun

La ville se fait très bien à pied. Tout est plus ou moins à 20 min de la Plaça Mayor, je n’ai donc pas pris le bus dans Vic. En revanche, pour aller à Barcelone, il existe une carte à 10euros qui permet de réaliser un nombre de trajet illimités entre ces deux villes sur une période de 3 mois pour les étudiants.

5/ Situation du campus

Le campus est bien situé et facile d’accès.

6/ La pratique d’une autre langue

Je n’ai pas rencontré de difficulté particulière pour discuter avec les autres élèves Erasmus car nous parlions anglais. Vu que les cours se déroulent également dans cette langue les élèves catalans discutent avec nous en anglais également. C’est un + de pouvoir parler castillan car les locaux peuvent parler cette langue. La compréhension écrite du catalan était plutôt simple (car similaire au français). 

7/ Les matières dans le contrat d’étude

J’ai dû changer de groupe dans une matière mais les changements au début d’année se font facilement et l’école est réactive. Toutes les matières se sont bien déroulées autrement.

8/ Les pré-requis

Je n’avais pas besoin de pré-requis particulier dans une matière. 

9/Gestion du travail personnel

Tout s’est très bien déroulé. J’ai apprécié faire des projets de groupe et j’ai eu la chance d’avoir une bonne cohésion. Les examens se sont également bien déroulés car les partiels pour le semestre de septembre se déroulent à partir de mi-Janvier, ce qui laissent le temps de réviser tranquillement.

10/ adéquation entre les compétences acquises à l’étranger

Les matières entre UVic et Polytech ne sont pas totalement en adéquation mais cela permet de développer d’autres qualifications. Les matières scientifiques restent similaires à celles de Polytech. La partie management, marketing etc se base sur des sujets plus larges qu’à Polytech. Ce que j’ai bien aimé car on enrichit nos connaissances en mode de fonctionnement des entreprises.

S7 2022-2023 - GBS - Camille SERRE

Ce qui a motivé mon choix pour cette destination :

1. Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

Le bureau des relations internationales est très réactif et apporte de l'aide rapidement. Les responsables accueillent très bien les étudiants Erasmus, notamment avec 3 jours d'orientation pour expliquer le fonctionnement de l'université dès l'arrivée. Au niveau de la restauration, il n'y a pas de restaurant universitaire ou de cafétéria sur les campus. Il est nécessaire d'amener son repas. Il est possible d'acheter des sandwichs dans les machines ou d'aller manger aux restaurants autour du campus pour 5-6e. Les BU sont assez spacieuses et ouvertes la majorité du temps (jusqu'à assez tard). Je n'ai pas eu besoin d'accéder aux salles infos, mais des ordis sont a disposition dans les BU. Le wifi est Eduroam (comme à Polytech Angers), il est possible de s'y connecter avec son compte de l'université de Vic. Des sports sont proposés grâce à la carte sport de l'Uvic (40e), mais les sports ont lieu durant la journée et il est compliqué d'y assister car ils sont souvent en même temps que les cours.  

De manière générale, l'université apporte beaucoup d'aide aux étudiants et est très compréhensive (surtout pour les absences).

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J'ai trouvé mon logement grâce à Norton, patron du bar Erasmus de Vic. J'ai eu son contact grâce aux précédents Erasmus de Polytech à Vic, et il m'a ajoutée dans un groupe facebook dans lequel il postait des annonces d'appartements pour 5 mois. Je payais 350e pour une chambre en colocation avec 2 filles. Vic étant une ville assez petite, j'étais à 10 minutes à pied de l'université.

3. Le coût de la vie

Assez similaire à la France. Les fruits, légumes et l'alcool sont nettement moins chers. Les transports pour voyager en Catalogne sont gratuits grâce à l'abonnement voyageurs fréquents (il fait payer 10e pour une carte de 16 voyages, qui est remboursée à son expiration).

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Vic est de petite taille, donc je me suis uniquement déplacée à pied. J'ai pris les trains Rodalies pour aller à Barcelone et voyager dans le reste de la Catalogne (cf point ci-dessus).

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Campus à 5 min à pied du centre ville. Plusieurs restaurants et cafés à proximité. Gare à 2 min à pied. Tout est très proche à Vic. 

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Aucun problèmes. Il est important de parler un minimum espagnol car les locaux ne parlent pas anglais du tout. Il serait pour moi compliqué d'arriver à Vic sans avoir les bases de l'espagnol. Avec les autres étudiants et les professeurs, l'anglais est utilisé.

7. Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient-elles aux attentes ?

J'ai eu 5 classes :

- SCientific communication skills : cours d'anglais pour débutants (niveau post-bac), donc pas adapté à ce que je voulais

- International Marketing : très bien

- Trends in Biomedical Biotechnologies : beaucoup de présentations et travaux de groupe sur des nouvelles technologies, bien en lien avec la formation GBS

- Cancer Biology : assez complexe, je n'ai pas trouvé cette matière intéressante

- Cross-Cultural studies : super classe, matière très intéressante avec des témoignages culturels de personnes du monde entier.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Pas besoin de complément de formation.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Non pas le moindre. Pas beaucoup de travail personnel à fournir.

10. Remarques ou suggestions personnelles

JE recommande !

S6 2021-2022 - GBS - Henryieta FITSNER

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Lorsque je m’informais sur les différentes destinations proposées par Polytech Angers, l’université de Vic a tout particulièrement retenue mon attention. Tout d’abord, il y a une grande diversité de matières enseignées en anglais, notamment en ce qui concerne le domaine de la biologie mais aussi le business et la communication. Ensuite, Vic est une petite ville située à 1h30 au nord de Barcelone avec une culture catalane très riche qui m’a toujours intriguée. Cet échange m’a donc permis d’en apprendre davantage sur celle-ci. Finalement, j’ai discuté avec un étudiant étant déjà effectué un semestre à l’université de Vic et il m’a convaincu pour de bon car il y avait passé un excellent semestre. En effet, la communauté Erasmus de Vic, étant donné la petite taille de la ville, est très soudée et des liens amicaux très forts s’y créent. Et je peux vous confirmer que c’est bien le cas, vous ne regretterez pas de partir à Vic !

1.       Les conditions d’accueil

a)       Relations internationales

Le bureau des relations internationales a très bien préparé l’arrivée des étudiants Erasmus grâce aux « Orientation days ». Durant 3 jours, nous avons pu découvrir les différents services mis à notre disposition, ainsi que sur le site internet de l’université. Une visite guidée de l’université et de la ville de Vic a été organisée. De plus, de nombreux ateliers (découverte de la culture catalane, cours de langue…) ont permis de faire nos premières rencontres.

Par la suite, le bureau des relations internationales a toujours été disponible pour quelconque question ou problème rencontré.

b)      Restauration

Il n’y a pas de cafétéria au sein de l’université mais de nombreux distributeurs, micro-ondes et tables mis à disposition des étudiants. De plus, il y a plusieurs petits restaurants à prix abordables. Pour ma part, je rentrais manger chez moi puisque mon appartement se trouvait à 10 min de l’université.

c)       BU

Il existe deux BU au sein de l’université, une par campus. Je n’ai pas eu l’occasion d’y aller.

d)      Accès aux salles informatiques

Des ordinateurs sont mis à disposition des étudiants dans les deux campus de l’université. Il y a aussi des imprimantes en libre-service, l’impression est gratuite à condition d’avoir ses propres feuilles !

e)      Réseau WIFI

La connexion au réseau se fait avec son e-mail universitaire. Il me semble que ce sujet est abordé lors des « Orienation days ». Le WIFI fonctionne très bien vu que certains examens se font sur PC en classe.

f)        Sports

De nombreux sports sont proposés par l’université à moindre coût. J’ai assisté une seule fois au cours de zumba et c’était très divertissant. Davantage d’informations sont données durant les « Orientation days » et sur le site internet de l’université.

2.       Le logement

J’ai trouvé mon logement grâce au groupe Erasmus créé sur Facebook pour la promotion de mon semestre. Des annonces de logement y étaient postées régulièrement, il suffisait de commenter la publication et par la suite, on était contacté par le modérateur du groupe (qui était aussi le propriétaire du bar Erasmus de Vic – « Norton Bar Vic ») qui nous donnait toutes les informations et nous aidait à établir le contrat avec le propriétaire/agence. Pour ma part, je me suis retrouvée dans une colocation avec 3 autres étudiantes Erasmus qui sont devenues ma famille après 5 mois passées ensemble. Privilégiez les collocation Erasmus : bonne ambiance, pratique de l’anglais permanente et une intégration facilitée assurées !

Il y a aussi le groupe Facebook « De Pis en Pis – Pisos d’Estudiants Vic » qui poste des annonces de temps en temps.

La résidence universitaire RUVIC, quant à elle, n’a pas une très bonne réputation : chère pour ce que c’est, des règles très strictes et une majorité d’étudiants français en kinésithérapie… Je n’ai eu que des mauvais retours à vrai dire.

3.       Le coût de la vie

Le coût de la vie en Catalogne est très similaire au prix de la vie en France (peut être un peu moins chère, cela dépend des produits). Faites vos courses au Mercadona, un bon rapport qualité-prix, et attention à ne pas dépenser tout votre argent dans le divertissement…

J’ai dû dépenser environ 6000 euros en 5 mois, logement de 300 euros/mois compris. Entre voyages, sorties, petits plaisirs, l’argent disparait en un clin d’œil donc soyez raisonnables ! :)

4.       Les transports en commun

La ville de Vic étant assez petite, tout se fait à pied. Si vous habitez un peu loin du centre, vous pouvez acheter un vélo. Pour se rendre à Barcelone, il y a le train qui passe toutes les demi-heures ou bien un bus. Le prix du billet à l’unité étant autour de 7 euros. Mais si vous pouvez avoir une voiture sur place, ça peut être très pratique pour visiter les coins difficilement accessibles en transports en commun.

5.       Situation du campus

Le campus se situe à 10 min du centre-ville, à 5 min de la gare et est très facilement accessible.

6.       La pratique d’une autre langue

Je parlais majoritairement anglais avec les autres étudiants Erasmus et les professeurs de l’université, tous les deux ayant un bon niveau. J’ai énormément progressé au fil de ces mois car je sortais beaucoup avec les autres étudiants et c’est là que je pratiquais le plus mon anglais.

Quant à la communication avec les catalans, la situation est plus compliquée. Les locaux parlent principalement catalan dans la vie courante et non le castillan, l’espagnol qu’on apprend en cours. Parler castillan est un peu mal vu mais je m’adressais à eux tout de même en castillan car ils le parlent très bien, et ils me répondaient gentiment en castillan voyant que je n’étais pas du coin. De plus, ils ne parlent pas anglais donc il est vraiment important d’avoir quelques bases en castillan (ou catalan), mais Google traduction peut aussi faire l’affaire.

Il y a des cours de castillan et catalan proposées par l’université pour ceux qui le souhaitent.

7.       Les matières définies dans le contrat d'études

Toutes mes matières correspondent aux descriptions détaillées sur le site de l’université. Beaucoup de travaux pratiques, de projets, de travaux de groupe (rapports de TP, présentations…) pour les matières scientifiques. C’est assez similaire à ce qu’on fait en Bio à Polytech Angers donc je n’ai pas été particulièrement en difficulté.

8.       Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Il est clair qu’il est préférable d’avoir un bon niveau en anglais pour suivre sans difficulté les cours. En ce qui concerne les matières, je les ai trouvées complémentaires à ce que nous avons déjà vu à Polytech Angers. Les professeurs de l’université de Vic sont toujours disponibles en cas de difficulté et sont très compréhensifs.

9.       La gestion du travail personnel

Tout s’est bien passé pour ma part. Nous avons suffisamment de temps pour effectuer les travaux demandés (plusieurs semaines, voir plusieurs mois pour rédiger un petit projet). Donc pas de pression, c’est 10 fois plus facile avec ce que nous avons l’habitude de faire en France !

10.   Adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre

Je dirais oui et non. Certaines matières de l’université de Vic correspondaient bien aux matières de Polytech Angers (Microbiologie Appliquée, Integrated Laboratory Practicals…) et certaines pas vraiment bien qu’elles soient en rapport avec le domaine de la biologie. Mais je me dis que ces nouvelles matières m’ont permis d’apprendre autre chose, par exemple j’ai beaucoup appris sur les écosystèmes aquatiques et je ne le regrette pas. C’est une autre façon d’en apprendre sur le monde et d’enrichir sa culture.

11.   Remarques ou suggestions personnelles

  Si vous hésitez de partir en Erasmus, je vous dis « Foncez ! ». Cette expérience change votre façon d’être, de voir le monde et vous revenez complètement différents mais heureux d’avoir saisi l’opportunité de partir. Cette période a été l’une des périodes les plus heureuses de ma vie et je vous le souhaite aussi. Sortez de votre zone de confort, allez à la rencontre des gens, voyagez, partagez… Chacun trouvera sa place au sein de cette grande famille qui est la famille Erasmus !

S6 2020-2021 - GBS - Moaz Alkhachi

S7 2019- 2020 - GBS - Maxime Guillet

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Les relations internationales ont toujours été là pour m'aider, que ce soit pour des problèmes d'ordre administratif ou plus personnel. Elles ont aussi été très actives dans l'organisation d'évènements pour l'intégration des nouveaux Erasmus. 

b/ restauration : aucun restaurant universitaire mais beaucoup de magasins à proximité de l'université

c/ sports : Je n'ai pas pratiqué de sport avec l'université mais ai été plusieurs fois dans une salle d'escalade en libre accès, c'était très divertissant !

d/ BU : Une BU était présente dans tous les locaux et permettait de travailler dans le calme. la BU permettait aussi la location d'ordinateurs portable, pratique en cas de panne. 

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : même réseau wifi qu'à l'université d'Angers donc dès le 1er jour nous avons pu nous connecter avec nos identifiants de l'un

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : J'ai trouvé une colocation grâce à Norton, un gérant de pub à Vic qui s'occupe essentiellement de l'accueil et de la vie Erasmus. Il est en contact avec plusieurs propriétaires sur Vic et propose des logements en colocation avec d'autres Erasmus. Personnellement j'ai été ravi de ce choix, tant par la localisation de l'appartement que ce dernier en lui-même et de mes colocataires avec qui j'ai développé des liens d'amitié très forts. 

3/ Le coût de la vie : 

• contrairement à ce que j'aurais pu penser, la vie à Vic n'était pas forcément moins chère qu'en France. Sur certains produits tels que l'alcool, les cigarettes etc... les prix étaient plus bas mais en général pour le reste pas tellement. Pour une colocation "normale", je payais 300 euros par mois (ce qui correspond à des prix que l'on peut retrouver en France) sans avoir le même standing qu'une colocation française. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : 

• A Vic tout peut se faire à pied, je déconseille d'apporter un vélo (à moins d'avoir un cadenas solide) car le mien s'est fait voler dans le hall d'un immeuble fermé alors qu'il était cadenassé. Pour aller à Barcelone, le plus simple reste le train et le bus qui permettent, pour 4,5€ environ, de rejoindre Barcelone en 1h/1h30.
• Nous avions une voiture sur place, cela nous a beaucoup aidé à visiter les alentours de Vic qui, je dois l'avouer, valent le détour !

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

• Les locaux parlent surtout catalans et durant la période de notre mobilité, beaucoup de manifestations ont eu lieu concernant l'indépendance de la catalogne. Ces évènements ont sûrement eu une influence car peu de catalans nous parlaient en espagnol, la plupart parlaient soit en catalan (que nous ne comprenions pas/peu) soit en anglais. 
• En cours, toutes mes matières étaient dispensées en anglais et lors de travaux de groupe avec les locaux, comme énoncé au-dessus, ces derniers préféraient souvent me parler en anglais plutôt qu'en espagnol.
• j'ai pris des cours d'espagnol pendant tout le semestre. 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

• Le contrat d'étude a été totalement revisité en arrivant à Vic car les cours choisi n'étaient soit plus disponible, soit dans une autre ville, soit au second semestre ou soit chevauchant les uns les autres. J'ai donc dû tout changer début Septembre et ai pris des cours le plus possible en rapport avec mon projet professionnel et les cours dispensés à Angers au même moment. 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

• Je n'ai eu aucune difficulté pour suivre les cours à Vic, mais cela est peut-être dû au fait que les cours choisis n'étaient pas tous des cours de 4ème année et donc déjà plus ou moins vu durant mon parcours universitaire. 

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?   

• Aucun soucis là dessus, tout le monde est très disponible et les échanges sont très faciles

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

• Je ne dirais pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise adéquation. Moi si je devais résumer mon Erasmus aujourd'hui avec vous, je dirais que c'est d'abord des rencontres, des gens qui m'ont tendu la main, peut-être à des moments où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi.

11/Autres remarques ou suggestions :

• Et je dis merci à Vic, je lui dis merci, je chante Vic, je danse Vic ... Je ne suis qu'amour! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd'hui me disent : "Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ?", Eh bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c'est ce goût de la mobilité, Ce goût donc qui m'a poussé aujourd'hui à entreprendre un Erasmus en Espagne, Mais demain, qui sait, peut-être simplement à me mettre au service de la communauté Polytech, à faire le don, le don de soi...

 Szent Istvan University - Budapest Hongrie [Modifier]

S6 2021-2022 - GBS - Melany Pitarch

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J'étais déjà très attirée par le concept d'erasmus, et j'étais persuadée que j'allais tout faire pour en faire l'expérience. Il y a quelques années j'avais entendu parlé de Budapest, on m'avait dit que c'était une ville très animée, et riche culturellement. Puis un semestre avant que je parte moi même à Budapest une de mes amies est partie y faire son erasmus et ayant son témoignage ça a finit de me convaincre.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales: Le bureau est ouvert seulement 1 jour dans la semaine pour les erasmus mais les responsables répondent assez rapidement aux emails, et sont très gentilles. Au début de l'erasmus nous avons demandé les cartes étudiantes et au final elles ne sont jamais arrivées mais c'est le seul "problème" que j'ai rencontré en général.

b/ restauration : Il y a une petite cafet dans le campus mais j'avoue ne jamais y avoir mangé. Il n'y a pas de restaurant universitaire. Le seul jour où il fallait que je mange sur place j'allais au spar qui est vraiment pas loin. 

c/ sports : Si on en fait la demande on peut avoir accès aux cours de sport (c'est d'ailleurs une matière a part entière) mais je n'ai pas pu m'y inscrire car mes horaires de cours coïncidaient avec les horaires de sport.

d/ BU : Il n'y en a pas dans notre campus (ou alors je ne savais pas où elle était) mais j'allais sur d'autres campus, ou même dans des cafés très jolis, il y avait plein d'endroit posés pour travailler on pouvait varier.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Il y a du wifi mais il est très mauvais. Et les salles informatiques il n'y en avait pas (ou alors encore une fois je ne savais juste pas)

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

 J'ai trouvé mon logement sur facebook, il y a plein de pages facebook disponibles (flats for rent in Budapest, erasmus flats in budapest...), il faut faire attention aux arnaques mais j'ai trouvé que c'était le moyen le plus simple pour trouver un logement avec un prix attractif. J'ai choisit un logement en colocation car je voulais être sûre de travailler mon anglais.

3/ Le coût de la vie :

La vie en Hongrie est bien moins chère qu'en France. Que ce soit pour manger, pour les activités ou pour sortir la nuit tout est relativement peu cher, de plus le loyer est aussi moins cher et les billets pour voyager depuis Budapest sont très abordables aussi. En étant étudiant souvent il y a des réducs, il faut donc penser à le préciser à chaque fois que vous réservez/achetez quelque chose car des fois la réduc n'est pas indiquée.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Pour les transports en communs évitez vraiment de frauder car les contrôles sont ultra fréquents, il y a des jours où je me faisait contrôler 5 fois dans la même journée. Le pass mensuel est peu cher et très rentable, il donne accès à tout le transport sur Budapest que ce soit tram, métro ou bus. Les trajets pour les périphéries sont très abordables aussi, même si ils ne rentrent pas dans le pass.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

En cours cela dépendait des professeurs, certains étaient particulièrement difficiles à comprendre, mais avec le support visuel et un peu d'aide d'internet c'était toujours compréhensible. Les hongrois sont assez fermés aux étrangers mais il suffit de faire l'effort de leur dire un "merci" en hongrois pour qu'ils s'adoucissent. Certains ne parlaient pas du tout anglais (souvent les personnes plus âgées ou dans des quartiers moins touristiques) et c'était difficile par moment mais on finit toujours par se comprendre. Le plus dur pour moi c'était définitivement de faire les courses, surtout les premières fois, il faut s'armer de google traduction et voir beaucoup de patience si on veut savoir à peu près ce qu'on achète.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

L'organisation des cours est plutôt mauvaise à MATE, il faut donc s'attendre à changer quelques matières à l'arrivée à l'université. Il y a d'ailleurs plus d'une semaine de disponible pour faire des modifications d'emploi du temps même une fois que les cours ont commencés. Pour ma part, j'ai gardé assez peu de matières en accord avec mon premier LA, entre les matières non dispensées par manque d'inscriptions des élèves, les matières ayant des horaires se chevauchant, ou celle indisponibles pour le semestre où j'étais inscrite. Il faut s'attendre à tout cela, mais enfin comme on nous laisse le temps de tout modifier cela ne pose pas de problème particulier, sinon quelques surprises dans les nouvelles matières qui correspondent moins certaines fois.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Dans la descriptions des matières étaient indiquées quelles étaient les matières avec des pré requis, je n'ai donc pas été surprise. De plus, dans la plupart des matières ils essayaient de reprendre les bases et étaient à l'écoute de ceux qui ne comprenaient pas.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La répartition des cours était étrange dans certaines matières, étant donné qu'il y avait des cours dit de "TP" mais au final c'était des cours magistraux. Il n'y avait pas de TD non plus, seulement quelques moments de  pause pour travail personnel. C'était différent, un peu déconcertant, une expérience.

La charge de travail est très correcte, même faible en comparaison avec Angers, mais c'est aussi dû au fait que nous soyons étudiants erasmus je suppose. Les enseignants répondaient aux mails (plus ou moins rapidement) ou alors on pouvait poser des questions en fin de cours, ils étaient assez disponibles. Certaines matières avait une partie de la note composée d'un travail de groupe ou présentation orale pour accéder à l'examen. Quelques partiels étaient écrit, avec des questions-réponses, tandis que d'autres étaient oraux, avec une liste de questions à préparer puis à défendre à l'oral, et d'autres étaient sous forme de qcm. 

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Certaines compétences sont en adéquation avec ce qui est proposé à l'école au cours de ce même semestre, mais d'autres matières sont totalement différentes. C'est dû d'une part au fait que les enseignements sont principalement accès sur l'agroalimentaire et au fait qu'on se trouve obligé à choisir d'autres matières à notre arrivé, qui ne correspondent pas forcément. Globalement je trouve ça très intéressant car cela m'a permis d'approfondir certains thèmes que je connaissais déjà mais aussi de découvrir un autre secteur d'activité, comme un autre point de vue.

11/Autres remarques ou suggestions :

Première suggestion au niveau des cours, si vous en avez l'opportunité, choisissez le cours de Sensory Analysis vraiment intéressant et agréable. 
N'hésitez vraiment pas à partir en erasmus, avant de partir j'avais très peur mais il faut vraiment se lancer ça en vaut la peine, au final personne ne veut rentrer après cette expérience. Budapest est une ville incroyable dans laquelle on se sent vraiment bien, la communauté erasmus est très grande et on ne se sent jamais seul. C'est vivant, il y a tellement de possibilités là bas, c'est vraiment une expérience à vivre.

N'hésitez pas à me joindre si jamais vous voulez plus de renseignements, c'était les plus beaux 5 mois de ma vie et je pourrai parler de Budapest à longueur de journée...

S6 2020-2021 - QIF - Maxime Dupré

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

Au tout début, je voulais faire mon semestre en Irlande mais celui n'est possible que de septembre à janvier. Or je voulais effectuer ce semestre de janvier à juin. J'ai donc discuté avec Marty Pasquereau, un ami à moi, qui m'a proposé d'aller avec lui à Budapest. Je ne connaissais que très peu de choses sur la Hongrie et Budapest. Je savais seulement que c'était une ville très touristique avec de jolies paysages. Je me suis alors renseigné et j'ai tout de suite accroché. 

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Toutes les relations que j'ai pu avoir avec l'université d'accueil n'ont pu se faire que par mails étant donné la situation sanitaire. Ce n'était donc pas le plus efficace et le plus rapide mais nous avions toujours une réponse si nous avions une question ou un problème. Il faut juste parfois relancer des mails et écrire "URGENT" en objet (sinon ils prennent leur temps)

b/ restauration : Covid oblige, nos cours étaient en distanciels. Je suis donc jamais allé à l'université. 

c/ sports : Idem

d/ BU : Idem

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Idem

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

 Avec mon colocataire Marty, nous avons décidé (et heureusement avec les cours en distanciels) de prendre un appartement dans Budapest et non pas à Godollo où se trouve l'université, à environ 1h en bus. Nous nous sommes renseignés sur des groupes facebook qui permettent de trouver des annonces de colocations ou de chambres. On voulait être avec des colocataires internationaux, mais nous nous sommes retrouvés malheureusement avec des Vietnamiens qui ne parlaient pas un mot d'anglais (mais par contre ils parlaient hongrois,  logique). La communication était.. comment dire.. compliquée.

3/ Le coût de la vie :

C'est grâce à ce genre de voyage que l'on comprend que la vie française est relativement chère. Tout coute moins chère en Hongrie, du coup le coût de la vie est clairement moindre. Les restaurants sont très abordables (on peut trouver des kebabs à 2,5€..), de même pour les bières au bar. Cependant, certaines choses restent quand même chères, surtout quand on se dit que le salaire minimum là bas est de à peine 500 euros, comme par exemple les thermes. Nous avons payer environ 17 euros par personne en week-end pour le Széchenyi et le Gellert. Ce n'est pas excessif, surtout pour la beauté des bâtiments et des bains, mais comparé au reste ça fait un peu cher. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

 Le pass mensuel étudiant pour les transports en commun de la ville de Budapest se trouve autour des 9,50€, ce qui est très correct! Grâce à se pass, vous pouvez utiliser le bus, le tram, le métro ainsi que le train mais seulement dans la limite de Budapest. Pour aller en périphérie ou dans une autre ville, des trains sont disponibles et plutôt en bonnes états. De plus le prix des tickets pour étudiant est vraiment dérisoire.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

 Les hongrois sont réputés pour être très fermés et un peu discriminants envers les étrangers, surtout les vieilles générations. Alors il ne faut pas compter sur eux pour parler en anglais, au supermarché par exemple ou même dans la rue. Ils vont continuer à parler en hongrois même si vous leur dites que vous ne parlez pas leur langue, c'est plutôt cocasse comme situation. Cependant, les jeunes sont beaucoup plus ouverts et sont très à l'aise avec l'anglais, ce qui est très appréciable. Donc aucune difficulté quand il faut discuter avec quelqu'un. 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

 Avant notre départ, avec Marty nous avions choisi des matières en accord avec notre cursus à l'aide de notre professeur référant Mr Verron. Avec lui, nous avons déterminé quelles matières du catalogue étaient intéressantes pour nous. Malheureusement, à notre arrivée certaines matières n'étaient plus dispensées en raison du Covid, du manque de professeurs ou juste par mauvaise organisation de l'université. Nous avions choisi au total 11 matières, 4 n'étaient plus disponibles, on était donc à seulement 23 crédits au lieu de 30 minimum. Il a donc fallu trouvé dans l'urgence 4 nouvelles matières sauf qu'elles se chevauchaient avec les matières restantes… Au culot, nous avons envoyé un mail à l'université d'accueil pour leur demander de l'aide et la responsable nous a tout simplement réparti les 7 crédits manquants sur les matières que nous avions déjà. 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La plupart des matières que l'on avait exigeaient que très peu de pré-requis puisque beaucoup de théorie (comme le Management d'entreprise, le management environnemental, ou encore l'énergétique). Il fallait juste apprendre le cours, faire des travaux de recherches et c'est tout. Cependant, d'autres matières demandaient des pré-requis que nous avons pas forcement à Polytech. Par exemple, nous avions une matière qui était la continuité de l'année précédente là bas. J'ai eu un peu de mal au début puisque c'était nouveau pour nous et que les autres élèves étaient déjà dans le bain l'année d'avant. Un conseil, il faut poser des questions aux professeurs quand on comprend pas, et bien s'accrocher parce que le début sera un peu dur (en fonction des matières).

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

J'ai trouvé que la répartition du travail était disproportionnée, surtout comparée à Polytech. J'était habitué à travailler régulièrement à Polytech, avec les TD et TP réguliers, avec un professeur disponible en classe si besoin. Premier changement, c'est la fac donc beaucoup de travail personnel. Les professeurs donnaient pas ou peu d'exercices à faire, c'était à toi de travailler par toi-même. Assez perturbant quand on vient d'une école d'ingénieur où nous sommes très accompagnés. Deuxième changement, le Covid et les cours en distanciels qui ont été très compliqués en soit. C'est plus compliqué de poser ses questions en direct entre le décalage et le temps que le prof remarque ton commentaire. C'est plus dur de se faire aider quand on a besoin d'aide. 

Pour ce qui est des rendus, nous avons eu beaucoup (trop) de rendus à faire en même temps. Il fallait bien gérer son temps pour pas être à la peine et rendre un dossier en retard. De plus, à la fac ça marche avec du contrôle continu qui te permet d'accéder aux partiels. 

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

 Oui elles restent cohérentes si on choisit des matières cohérents ça va de soit. Par exemple, management était une matière très intéressante et différente de ce qu'on peut avoir à Polytech mais qui reste logique dans notre programme. C'est toujours utile d'avoir des connaissances en management, en environnement, en énergie, etc.

11/Autres remarques ou suggestions :

Aux futurs Erasmus, juste prenez du plaisir, n'ayez pas peur de vous lancer ! Soyez ouvert d'esprit, allez vers les gens, apprenez, découvrez, visitez la Hongrie (pas que Budapest même si il y a beaucoup de choses à faire). D'ailleurs je vous conseille d'aller checker la liste des choses à faire de Anaïs Oger dans la rubrique 11/ ! Malgré le Covid, j'ai réussi à faire pas mal de choses donc foncez!

S6 2020 - 2021 - QIF – Marty Pasquereau

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

Au tout début j’étais parti dans l’optique de choisir mon Erasmus en fonction des possibles matières que je pouvais suivre et j’avais donc présélectionné Indonésie et Hongrie. Comme dû au covid certains Erasmus de l’année précédente ont dû revenir en France plus vite que prévu, j’ai choisi la destination la plus accessible soit la Hongrie. Après je ne me cache pas que j’avais eu de super retours sur la Hongrie, ce qui a vraiment consolidé mon envie d’y aller.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Comme l’a dit Maxime Dupré (la personne avec qui je suis parti), nous n’avions que des échanges par mails avec la responsable internationale de là-bas. Donc il faut prendre son mal en patience et ne pas hésiter à les harceler avec des objets de mail en majuscule comme « URGENT … » ou « IMPORTANT …». 

Ps : N’essayer pas d’appeler l’université, ils ne parlent pas un mot anglais.

b/ restauration : Covid oblige, nos cours étaient en distanciels. On est donc jamais allé à l'université. 

c/ sports : Idem

d/ BU : Idem

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Idem

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Fanny qui avait déjà fait l’erasmus avant nous dans la même spécialité, m’avait conseillé de prendre un appartement à Budapest et non à Godollo car c’est là-bas que tous les Erasmus sont concentrés. Je peux vous assurer que c’était le meilleur conseil possible ! Nous avons alors recherché sur des groupes facebook des appartements en colocation, cependant on s’y était pris un peu tard et on a donc juste pris un appartement sur un site de location habitué aux erasmus. Nous nous sommes alors retrouvés avec 2 Vietnamiens ne parlant pas un mot Anglais car ils se sont avérés ne pas être étudiants mais jeunes travailleurs. Au niveau de la communication c’est un tantinet compliqué. Nous avions aussi eu une erasmus française mais qui est partie assez vite à cause des restrictions (ce qui selon moi n’était pas le meilleur choix car en France c’était pire après).

3/ Le coût de la vie : La vie en Hongrie est relativement peu chère, les taxis par exemple ne sont qu’à 5€ en moyenne pour traverser un bout de la ville (Bolt le meilleur via l’application), les restaurants on mange très bien pour des prix aux alentours de 10€ (les kebab eux sont à 2€50 pour avoir une idée)(si vous voulez commander à manger l’application wolt vous sera très utile avec un large choix de restau), les bières dans les magasins sont sous forme de canette de 50cl à des prix aux alentours de 1€ et en bars ça monte à 2€ environ (mais en happy hour c’est une toute autre histoire)

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Le ticket 1 mois étudiant est à 9.90€ et te permet de voyager dans tous budapest en bus tram train, c’est vraiment pratique.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Notre campus se trouvait à Godollo, qui est légèrement loin du centre-ville, à seulement 1 HEURE 20 MINUTES en bus trains tram et le ticket etudiant de transport en commun ne suffit pas car on devait prendre un train en dehors de Budapest (ce que nous n’avons jamais fait « grâce » au Covid). Sinon pour notre spécialité (mechanical engineering) on a découvert qu’il y avait une autre école (la BME) au cœur de Budapest qui proposait la meme specialité et qui acceuillait déjà des erasmus de d’autres écoles Polytech, alors peut être que le partenariat pour la spécialité « Mechanical Engineering » pourrait changer dans les années à venir (sachant que l’école de Godollo, ne reconnait que de moins en moins cette spécialité)

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Le hongrois est infame à apprendre, alors nous ne connaissions que quelques mots de politesse et sinon nous parlions qu’en anglais. Le problème c’est que les anciennes générations (dû à l’histoire du pays) renient l’anglais au plus haut point. Elles n’hésitent pas à répéter en hongrois (plus fort), la phrase que vous ne comprenez pas et que vous avez demandé de répéter en ANGLAIS, ce qui rend certaines situation drôles ou gênantes selon le point de vue. En ce qui concerne les jeunes générations, il n’y a aucun problème, ils parlent super bien anglais et sont très réceptifs lorsque vous leur demandez de répéter en anglais.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Avant notre départ, avec Maxime nous avions choisi des matières en accord avec notre cursus à l'aide de notre professeur référant Mr Verron. Avec lui, nous avons déterminé quelles matières du catalogue étaient intéressantes pour nous. Malheureusement, à notre arrivée certaines matières n'étaient plus dispensées en raison du covid, du manque de professeurs ou juste par mauvaise organisation de l'université. Nous avions choisi au total 11 matières, 4 n'étaient plus disponibles, on était donc à seulement 23 crédits au lieu des 30 minimum. Il a donc fallu trouver dans l'urgence 4 nouvelles matières mais elles se chevauchaient avec les matières restantes... Au culot, nous avons envoyé un mail à l'université d'accueil pour leur demander de l'aide et la responsable nous a tout simplement réparti les 7 crédits manquants sur les matières que nous avions déjà. 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La plupart des matières étaient très accessible avec les bases de polytech, cependant il y en avait certaines qui étaient des suites d’un cours de l’année précédente, qui étaient un peu plus compliquées au début pour se mettre dedans.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Comme l’a bien dit Maxime, à polytech on a l’habitude d’avoir des TD TP et d’être « accompagner », alors que la fac c’est que du travail personnel et si on ne suit pas les cours c’est tout de suite beaucoup plus dur et plus long à réviser lors des contrôles. La charge de travail était très irrégulière, la plupart du temps nous n’avions rien à faire à part quelques présentations, mais il y a eu un mois en particulier où nous avons eu beaucoup (trop) de rapports/présentations à faire et là la charge de travail était importante.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Je n’ai pas fait le semestre en France pour bien comparer donc je ne peux pas donner un avis très constructif, mais comme nous avions choisi les matières avec Mr Verron (professeur référent), nous avions fait en sorte que ça se rapproche le plus possible des matières du S6 à Polytech.

11/Autres remarques ou suggestions :

Si tu hésites à faire un erasmus, n’hésite tout simplement plus. Pour moi ça a été la meilleure expérience de ma vie et je pense que ça l’est également pour beaucoup. Pour ça il faut tout simplement ne pas hésiter à aller vers les autres, retirer les barrières que vous pouvez vous mettre, sortir (pour faire des évènements erasmus) et même si ça ne vous tente pas tant que ça faite le quand même, vous ne serez pas à l’abris d’une bonne surprise ou une bonne rencontre. Avec Maxime nous avons vraiment bien profité de notre erasmus parce qu’on s’en est donné les moyens. D’autres ont un mauvais souvenir de l’erasmus car ils n’ont pas osé rencontrer des gens, alles vers les autres et faire des sorties/participer aux évènements. Ce qui, de mon point de vue, est vraiment dommage.

Budapest regorge de pleins de choses à faire, des visites, des bars, des restaurants, des parcs, tu ne t’ennuieras pas. Mais si tu peux n’hésite pas aussi à aller visiter des petits villages aux alentours, réserver des airbnb près du lac Balaton avec des amis (Sofiok c’est bien), aller faire des loisirs que tu ne pourras pas faire en France comme faire du tir, les thermes, visiter les pays voisins en train…  Nous sommes même allé faire du ski (1 seul jour car ça vaut pas le niveau des montagnes Françaises et qu’on y est allé tard dans la saison).

Si vous voulez des suggestions de bar, restau, d’activités ou quoi n’hésitez pas à me contacter !

S7 2020 - 2021 - GBS - Lucie Louatron

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

J'ai entendu que du positif de Budapest avant d'y aller : ville dynamique, magnifique, jeune, agréable et safe (ce que je confirme), je souhaitais aussi découvrir l'Europe de l'est. La possibilité de voyager pour pas cher dans les pays voisins (ce qui n'as malheureusement pas été possible pour moi car covid = frontières fermées). En plus de cela les cours étaient axés sur l'agroalimentaire ce qui m'intéressait.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : j'ai échangé par mail avant pendant et après mon séjour avec les relations internationales. Ils ne répondaient pas forcément très rapidement mais j'ai toujours réussi à obtenir les informations nécessaires. Une fois sur place j'ai été 3 fois à l'université (cours à distance avec le covid) pour faire remplir des documents. A savoir : leurs horaires sont particuliers, essayez  de bien vous renseigner avant d'y aller et de connaitre le nom de la personne que vous allez voir car ce n'est pas évident de se repérer dans les locaux et très peu de personnes parlent français.

b/ restauration :  je n'en ai pas profité puisque mes cours étaient à distance mais j'ai vu qu'il y avait une cafétéria dans le hall de la fac.

c/ sports : je n'ai pas participé au sport universitaire qui était annulé mais sur le groupe facebook "international students at SZIU" (que je vous recommande de suivre) plusieurs personnes proposaient de se retrouver pour faire du sport ensemble. En revanche j'étais inscrite à une salle de sport en accès libre (NR1 Fitness) qui propose des tarifs étudiants intéressants et avec la carte ELB (Erasmus Life Budapest : Association pour les etudiants Erasmus, je vous conseille de les suivre sur facebook : ils organisent plein d'events toutes les semaines que ce soit soirées, visites, ou week-end) ça permet d'avoir une réduction sur l'abonnement de la salle. 

d/ BU : pas d'info la dessus.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : pas d'info non plus comme je n'allais pas sur place.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Sur le campus de Buda (ou se situe la fac de food science) nous n'avons pas accès au logements universitaires qui sont réservés pour d'autres personnes, il faut donc se débrouiller pour trouver un logement.

Je souhaitais vivre dans une collocation internationale et j'ai donc regardé sur les groupes facebook "flats for erasmus in Budapest", "Budapest dats and apartments for rent" etc. Il en existe plusieurs et des annonces sont publiées tout le temps. J'ai commencé mes recherches en août, et il y avait tellement d'appartements disponibles que ça a été super facile de trouver un logement (avec le covid il y avait aussi plus de logements disponibles qu'en temps normal).

Je conseille de prendre un appartement le long de la ligne de tram 4/6 qui fonctionne H24 et dans les quartiers de Blaha, Oktogon, Kalvin Ter ou Corvin qui sont très vivants et super accessibles.

3/ Le coût de la vie :

La vie à Buda est bien moins coûteuse qu'à Angers : pour donner un ordre d'idée j'ai trouvé un appartement en collocation pour 3 personnes de 122m² avec salle de bain privative pour tout le monde, le tout pour 350€ par mois (on peut trouver pour moins cher que ça en fonction des critères!).

Le pass mensuel étudiant de transports coûte environ 9,5€, et on peut manger au restaurant pour 5€. Les visites sont pas très cher non plus donc globalement c'est une destination économique. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Les transport de Budapest sont très développés et très bien indiqués. Je conseille de prendre le pass mensuel étudiant qui permet de prendre métro, tram, bus illimité et donc de se balader où on veut. Néanmoins, on peut faire presque tout à pieds en ville ce qui est super agréable. J'ai utilisé google maps principalement pour les transports et c'était parfait.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est situé coté Buda et très accessible en transports. Le quartier est plutot tranquille, on retrouve plus des familles qui habitent la bas, je ne conseille de prendre un logement dans ce quartier: c'est plus excentré et moins sympa pour se balader. 

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Je n'ai pas eu de difficulté à suivre les cours en anglais bien qu'il faille s'habituer à l'accent hongrois des profs qui n'est pas le plus agréable.

Très très peu de hongrois parlent anglais ce qui peut rendre la communication plus difficile. Cependant avec les mots de base en Hongrois ça passe toujours mieux et on finit par se faire comprendre.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières n'étaient pas du tout les même que celles choisis au départ. A cause du covid énormément de cours ont été supprimés, j'ai donc du prendre les cours qui étaient proposé et je n'ai pas vraiment eu le choix afin d'avoir tous les ECTS nécessaires.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Aucun souci niveau connaissances pour suivre les cours.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Ayant eu tous les cours à distance, les cours étaient faits en visio avec les profs via moodle principalement. Généralement cela fontionnait bien malgrè quelques fois où les profs avaient du retard ou que les cours étaient annulés / décalés sans prévenir.

Les professeurs étaient joignables par mail et répondait généralement assez rapidement.

Concernant la charge de travail c'était très light : pas de cours le vendredi et les autres journées n'étaient pas très intenses non plus ce qui laisse du temps pour profiter et travailler sur les différents travaux de groupe. Nous travaillions sur les travaux de groupe également à distance ou directement chez les uns ou les autres, en communiquant via messanger ou Whatsapp.

Pour chaque matière à peu près nous avions un travail de groupe et un examen final. Cela peut légèrement varier : plusieurs travaux de groupes et / ou plusieurs examens en fonction des matières.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les matières ne sont pas les mêmes, cependant cela peut etre un plus : on apprend des choses différentes que les étudiants de l'école, et on peut toujours revoir les cours qui ont été effectué à l'école pendant notre absence.

11/Autres remarques ou suggestions 

Je conseille fortement aux étudiants de partir, si vous hésitez, foncez !!!

C'est une expérience unique et qui ne se représentera probablement pas à vous par la suite donc c'est le moment où jamais. Malgrè le covid et les restrictions que j'ai pu avoir sur place lors de mon séjour c'était incroyable donc en temps normal je n'imgine même pas. Et si vous avez plus de questions n'hésitez pas à me contacter ce serait avec plaisir déchanger sur ce sujet avec vous !

S7 2020-2021 - GBS- Julie Lartigue

S9 2018- 2019 - GBS - Margaux Léonard

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

La ville et sa situation géographique (Europe Centrale), le fait que l’Erasmus puisse se faire en anglais

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : bien, leurs horaires sont minces donc soyez disponibles.

b/ restauration : cafeteria dans chaque bâtiment

c/ sports : Beaucoup de sports sont disponibles à ELTE pour les étudiants de toutes universités confondues, fonctionne comme le SUAPS

d/ BU : Petite mais suffisante

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Pas de salle informatique en libre service à ma connaissance, réseau wifi sur tout le campus

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J’ai trouvé mon logement une fois sur place. J’ai cherché sur les groupes facebook et décroché quatre ou cinq visites, mais celui que j’ai finalement choisi, c’est une Erasmus allemande qui résidait dans le même hostel que moi qui me l’a proposé (elle l’avait visité mais en a choisi un autre).

J’étais en collocation avec deux autres Erasmus (Estonien + Italienne). Je voulais ce type de logement parce que les résidences universitaires étaient loin du centre ville, et j’ai pu choisir mes colocataires (je voulais une collocation internationale)

3/ Le coût de la vie :

Les appartements sont un peu moins cher qu’à Angers pour donner un ordre d’idée. Le mien me coûtait 300 euros et environ 40-50 euros de charges (en centre-ville, trois chambres séparées, deux sdb, un salon, une cuisine etc).

Pour un appartement en colocation il faut compter entre 280 et 400 euros sans les charges pour un appartement net et chambre individuel.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Les transports publics de Budapest sont les meilleurs que je n’ai jamais vu. Tram, métro, bus etc. Certains fonctionnent 24h/7. Desservent toute la ville, passent régulièrement, aucun problème. Le prix est de 3450 forint par mois pour un étudiant. Attention, contrôle fréquent et il faut bien avoir sa carte étudiant sur soi.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est situé côté Buda, donc un peu loin du centre-ville. Néanmoins très bien desservi (tram 6, métro 3 et bus)

A proximité il y a beaucoup de cafés et de restaurants.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

L’anglais est courant chez les Hongrois de moins de 40ans, pour les plus âgés c’est compliqué (comme partout je pense). Personnellement je pense qu’il est important de faire un effort pour apprendre quelques mots en Hongrois, et les gens seront beaucoup plus aidants si vous le faites.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Pas du tout, la moitié de mes matières choisies dans le learning agreement n’étaient pas disponibles une fois sur place ou n’ont pas été ouvertes car trop peu d’étudiants souhaitaient s’y inscrire.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

      Pas de complément de formation requis, je pense que de manière générale les matières étudiées en Erasmus sont très simples et ne demandent pas de background car la classe est faite d’étudiants de différentes nationalités et de différentes universités, les enseignants le prennent donc en considération.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

      Pas de problèmes rencontrés.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Si vous souhaitez vous orientez vers l’agroalimentaire, ce programme répondra à vos attentes (Attention il n’y a pas de cours de management ou de marketing). SI ce n’est pas le cas, cela peut toujours être intéressant mais cela ne vous apportera rien en termes de connaissance techniques.

11/Autres remarques ou suggestions :

Ce questionnaire omet toute la partie sur l’anglais et l’ouverture sur le monde. Bien que l’Université à laquelle j’ai été n’ait dispensé que des cours liés à l’agroalimentaire (et j’y suis allée en connaissance de cause), je pense avoir énormément appris en termes de savoir-être et en anglais.

J’ai obtenu 980 au TOEIC avant de partir, mais l’Erasmus aide à être fluide à l’oral en anglais.

Il a également été très intéressant de côtoyer tant de différentes nationalités au cours de ces cinq mois. Je comprends désormais mieux les différences culturelles et je pense que c’est un atout majeur lors d’un travail dans une entreprise internationale.

S6 2018- 2019 - QIF - Fanny Cheminan

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Découverte de l'Europe de l'Est et pas trop loin de la France, je voulais un semestre en anglais pour m'améliorer

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : une personne s'occupait de nous, il fallait aller à son bureau (souvent beaucoup de monde) parce qu'elle ne répondait pas souvent aux mails

b/ restauration : supérette à côté de l'école et aussi un restaurant universitaire (assez compliqué de comprendre le fonctionnement) 

c/ sports : étant arrivée en plein hiver, les terrains de sport étaient fermés mais ils ont réouverts courant avril

d/ BU : je ne me suis pas renseignée sur le sujet mais il y avait un "CDI" dans l'école où nous pouvions aller travailler 

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : je n'ai pas eu besoin de salles informatiques donc je ne sais pas si l'accès est simple ou compliqué, il y a la wifi dans le bâtiment principal de l'école mais pas dans les autres

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J'ai trouvé mon logement grâce au groupe facebook "Français à Budapest" car des chambres se libéraient entre les deux semestres, je me suis retrouvée en collocation avec trois français (ce qui n'était pas ce que j'aurais aimé) et l'appartement était géré par une agence. 
J'ai préféré prendre un appartement dans le centre de Budapest et non à Godollo (où j'étudiais) car la vie y est plus active.

3/ Le coût de la vie :

Pour ce qui est du logement, c'est moins cher qu'en France, qu'à Angers, je payais 400€ tout compris en étant dans le centre ville, proche du métro, tramway, bus etc. L'appartement comprenait 4 chambres, deux salles de bain, un grand salon et une cuisine équipée, il a été refait à neuf l'été d'avant. 

Les restaurants sont un peu moins chers qu'en France, les bars sont vraiment moins chers (surtout la bière), les supermarchés sont également un peu moins cher mais la qualité des produits est inférieure.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Budapest est vraiment très bien desservie, il y a le métro, le bus et le tram partout dans la ville, pour les étudiants, la carte de transport ne coûte que 11€ par mois. Certains transports circulent 24h/24 et 7j/7, le métro quant à lui s'arrête aux environs d'une heure du matin. 

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est situé à 40 minutes de Budapest par le train S80 au départ de la gare de Keleti qu'on peut rejoindre par le M2 ou M4.

Cependant la voie de train était en travaux pendant l'intégralité de mon séjour donc je mettais environ 1h30 pour aller sur mon campus, je devais aller au terminus du métro 2 puis prendre une sorte de RER (appelé H8) jusqu'à Godollo. 

Le campus est situé à Godollo qui est une petite très sympathique et touristique, il y a des parcs, supérettes et autres commerces à proximité.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Tous mes cours étaient dispensés en anglais (bon niveau des professeurs), nous étions que des étrangers dans les différents cours (Erasmus student ou full time student), dans la vie courante je parlais également en anglais et quelques mots hongrois (bonjour, merci, au revoir, excusez-moi) mais c'est une langue très difficile. 

Je n'ai pas eu de problème ni de difficulté.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

A mon arrivée j'ai dû changer mon contrat d'études car toutes les matières n'étaient pas dispensées à l'université mais j'ai trouvé d'autres matières qui correspondaient plus ou moins à mon cursus.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Toutes les notions abordées en prépa et S5 ont largement suffis à comprendre les matières, la seule difficulté rencontrée était au niveau du vocabulaire en mécanique.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Les enseignants ne sont pas très réactifs ni investis donc c'est assez compliqué de les rencontrer (sauf certains) car ils ne répondent quasiment jamais aux mails, cependant il y a une grande entraide avec les étudiants. Les full time student sont habitués au fonctionnement de l'école et nous aident donc à communiquer avec les professeurs et ils s'occupent de nous transmettre les informations. 

Nous n'avons pas eu beaucoup de travail de groupe à réaliser mais comme en France, les travaux se font généralement sur google drive. 

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Lors de ce semestre tout était orienté vers la mécanique donc je pense qu'il manque la partie qualité et innovation mais c'était le risque à prendre en partant à l'étranger.

11/Autres remarques ou suggestions :

J'encourage vraiment les futurs étudiants à partir car être en Erasmus nous permet de découvrir beaucoup de nouvelles cultures via les personnes d'autres nationalités que nous rencontrons mais cela nous permet aussi de découvrir notre capacité d'adaptation, nos limites et nos envies futures.

Etant au centre de l'Europe et ayant peu d'heures de cours, il est beaucoup plus facile de voyager et à moindre coût.

Universitas Indonesia -Jakarta/Depok - Indonésie [Modifier]

S6 - 2019-2020 - QIF Maxime Martin & Augustin Dagnelies
 

Polytech Angers

Actuellement tous deux étudiants en 1^ère année de cycle ingénieur QIF (Qualité Fiabilité Innovation) nous avons choisi d’effectuer un semestre d’étude à l’étranger lors de notre formation au semestre 6.

Universitas Indonesia

Nous avons sélectionné l’université indonésienne de Depok (situé en périphérie de Jakarta) pour notre échange universitaire. Il s’agit de la 1^ère université du pays au classement avec possibilité de cours internationaux. Cette université dispense des cours dans de nombreuses facultés sur un campus commun. La faculté d’ingénierie propose de nombreux domaines d’enseignements (mécanique, informatique, industriel, métallurgie & matériaux, électronique, architecture …).

Dans le cadre de notre formation nous avons choisi d’étudier dans la faculté Industriel qui dispense des cours similaires à notre formation d’origine.

La différence avec le système d’étude de Polytech est qu’ici il est possible de choisir ses propres cours en fonction de son intérêt. Il est nécessaire de sélectionner un minimum de cours en lien avec sa faculté mais il est également possible d’en choisir d’autres dans différentes facultés d’ingénierie ou de sciences sociales par exemple

Le campus de l’université d’accueil est un « green campus ». Il s’agit là d’un gigantesque endroit où il fait bon vivre grâce à la végétation environnante. Il est vraiment agréable d’y aller travailler car l’air change vraiment de celui pollué par le trafic.

Le campus est tellement grand qu’il possède une route périphérique composé 4 voies. Cette route permet de se rendre rapidement dans n’importe quelle faculté grâce aux bus gratuits à disposition des étudiants ou des nombreux vélos.

Dans chaque faculté se trouve des cantines locales proches des salles de cours proposant toutes sortes d’excellents menus pour de tout petits prix (environ 1.5 euros le repas).

Pour prendre des pauses il existe plusieurs cafés (cafés Starbucks & locaux) à l’intérieur des plus gros bâtiments. Les espaces intérieurs & extérieurs sont très bien entretenus par le personnel très souriant.

Le campus se situe à Depok, lieu de résidence de nombreux étudiants internationaux ; c’est une ville extrêmement peuplée, pollué et encombré. On y trouve en revanche tout le nécessaire pour y vivre grâce aux gigantesques centre commerciaux.

• Administration

• Tout d‘abord, nous pouvons dire un grand merci à nos « buddy » (un équivalent de correspondant), pour nous avoir aiguiller, guider et aider pendant nos deux premières semaines en Indonésie.

  Les suivis administratifs sont complexes, longs et déroutants en Indonésie. Tous les deux jours environ, nous devions nous rendre dans des lieux différents pour donner ou bien recevoir un papier et payer des petites sommes d’argent. De plus ; très peu de personnels administratifs ne parlent anglais ce qui rend la tâche encore plus compliquée.

  Nous avons finalement réussi à avoir notre kitas (permis de séjour) après plusieurs semaines d’attentes et d’incompréhension. Sans l’aide précieuse des « buddy » toutes ces procédures auraient été très infaisables dans les délais requis.

  Il faut compter un peu moins de 200 euros pour la totalité de ces procédures.

  Il est préférable d’avoir préalablement choisi un logement avant l’arrivée pour ne pas avoir de mauvaises surprises à l’arrivée.

  Par ailleurs, nous avons dû, à notre arrivée payer l’intégralité des loyers de notre logement en cash. C’est pourquoi il faut être vigilent sur son plafond de retrait bancaire durant cette première semaine.

Semaine d'intégration

Après une longue semaine d’accommodation à la chaleur, à la pauvreté, à la pollution et à la culture nous avons réussi à nous installer correctement et à réellement profiter du pays qui nous entourait.

Durant la première semaine d’intégration le club d’échange internationaux organise de nombreuses activités avec l’intégralité des étudiants et des correspondants permettant de facilement sociabiliser avec de nouvelles personnes.

Vie quotidienne

La vie étudiante à l’université est riche est vivante. Très rapidement certains élèves responsables de différents clubs nous ont proposés de se joindre à eux. Nous avons pu rejoindre des clubs de sport dans la section internationale. Ces clubs sont actifs chaque semaine et nous permettent de rencontrer de nouvelles personnes facilement.

Nous avons également été invité au club international d’ingénieur. Ce club met en relation des indonésiens désirant étudier majoritairement en Europe mais également dans le monde entier. Nous avons donc pu répondre et poser de nombreuses questions durant un évènement regroupant tous le club.

Semestre d'études

Janvier :

Durant ce mois de janvier les cours n’ont pas encore commencé à proprement parler.

Il vous faudra au début assister à tous les événements informatifs organisés par le « buddy club ». Plusieurs présentations permettent de comprendre le fonctionnement universitaire mis en place. Il y en a plusieurs chaque semaines suivants les formations de chacun. Celles-ci permettent d’obtenir les informations nécessaires pour s’enregistrer dans l’université. Une matinée est consacrée à l’inscription dans son département d’étude. Une seconde matinée est quant à elle consacrée au choix des cours disponibles. Dans chacun de ces moments nous avons été guidés par notre « buddy » ou bien par le personnel sur place.

Pour chacun des problèmes rencontrés nous avons trouvé à chaque fois une personne capable de nous aider rapidement.

Le personnel étudiant ainsi que les élèves sont disponibles et à l’écoute envers les étudiants internationaux.

En bref ce premier mois semblait compliqué de prime abord à cause des nombreuses procédures administratives à réaliser, les rendez-vous, la fatigue du au décalage mais tout s’est correctement dérouler grâce à notre « buddy ». Nous commençons à parfaitement nous adapter et nous avons eu les premières informations ainsi que du travail à faire dans les premiers cours.

Février :

Les cours viennent de débuter. Nous avons donc sélectionné 5 cours d’une durée d’environ 2h chacun. Ce sont des cours composés de classe d’environ 25 étudiants ; cependant nous ne retrouvons pas la même composante de classe dans chacun des cours. Les différents cours sont dispensés par un enseignant parlant correctement anglais et à l’écoute de chacune des questions posées.

Nous avons eu la surprise de nous retrouver dans 2 cours dispensés par un enseignante ayant fait ses études à l’Istia il y a plusieurs années.

Dans cette sélection nous retrouvons des cours théoriques similaires à ceux dispensés en France. Chaque séance couvre un chapitre de façon théorique et c’est à nous de couvrir la pratique en dehors des cours pour l’examen.

A la suite de certains chapitres nous avons du travail de groupe à effectuer ainsi que des sujets à présenter. Les étudiants sont plutôt sérieux dans l’ensemble ce qui rend l’ambiance de travail agréable.

Nous avons également un cours bien différent puisqu’il consiste à l’élaboration de projets innovants avec une équipe de 5 ou 6 étudiants. Nous avons chacun de nous deux intégré un groupe de travail différent. Ce cours se déroule sur une année d’étude et nous avons donc dû prendre connaissance du sujet ainsi que du travail déjà effectué. Chaque équipe de travail semble pour le moment motivé sur le projet mais également très à l’écoute et compréhensif à notre sujet.

-Maxime travaille sur un projet de stylo recyclable en milieu naturel

-Augustin travaille un projet de turbine en bambou pour les milieux ruraux isolés

Albstadt-Sigmaringen Universität - Allemagne [Modifier]

S5 2018-2019 GBS - Morgane Gautron

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Après déjà quelques très agréables expériences d’échanges scolaires et
de stages en Allemagne au lycée, j’ai voulu poursuivre une partie de mes études dans ce pays et dans
cette langue que j’apprends depuis la 6ème. De plus, la réputation de la qualité de la formation
allemande était un autre atout et élément de motivation.

1/ Les conditions d’accueil

a)      Relations internationales : Grâce aux nombreuses activités organisées par le bureau, ainsi que la proximité avec Mme Bast dès le début du séjour, le bureau RI m’a grandement facilité mon intégration au sein de l’école et en règle générale, dans mon quotidien.

b)      Restauration : Il n’y a pas de système de restaurant universitaire mais plutôt une cafétéria. Le système de paiement du repas nécessite d’avoir une carte allemande (le bureau RI aide dès l’arrivée à effectuer les démarches administratives). La nourriture et le service de restauration est de très bonne qualité.

c)       Sports : Proposés en grande quantité et diversité, le seul inconvénient serait (en hiver plus qu’en été) l’accès aux salles de sport un peu compliqué et loin des logements du campus. Cela est due aussi au manque de transports en commun (bus) après 19h et donc après l’activité sportive.

d)      BU : De très bonne qualité.

e)      Accès aux salles informatiques : Le réseau est de très bonne qualité et l’accès à au moins une des différentes salles informatiques est toujours possible.

7/ Les matières définies dans le contrat d’études correspondent-elles aux attentes ?

Etant donné le changement de certaines matières par rapport au contrat initial (la moitié des matières), en raison soit de conflits d’emploi du temps (certaines matières étaient enseignées sur différents semestres et pouvaient être enseignées en même temps), soit d’un manque de place en travaux pratiques. En résumé, un peu plus de la moitié des matières correspondaient aux cours ou alors abordent les mêmes sujets plus ou moins en détails.

8/ Les pré-requis

Je n’ai eu aucun souci à ce niveau-là. Je ne pense pas qu’un complément de formation soit nécessaire.

9/ La gestion du travail personnel

Je n’ai pas eu de problème lié à cela.

10/ Bonne adéquation des formations

En bonne partie oui mais pas complètement (cela dépend des emplois du temps).

11/ Autres remarques ou suggestions :

Les partiels du semestre d’hiver en Allemagne se terminent en général un mois après le début du second semestre en France. Il serait plus simple pour les futurs étudiants de partir sur le second semestre. Cela évite de devoir rattraper des cours ou de reprendre les enseignements délivrés au premier semestre.

S6 2022-2023 GBS - Amira Foucher

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

Parmis les écoles que la spécialité GBS proposait, l'université de Sigmaringen avait les modules qui m'interessaient le plus. Je voulait aussi partir dans une petite ville de province et Sigmaringen était celle qui correspondait le plus à mes attentes.

1/ Les conditions d’accueil

a)      Relations internationales : Le bureau RI nous a acceuillis à bras ouverts et nous a parfaitement pris en charge. Il n'y a eu aucun soucis administratif et tout était près pour notre arrivée. Les membres du bureau était facilement joignables que ce soit en présentiel ou par mail et ont répondu à toutes mes questions. De plus, 10 jours d'activité et de visite de campus étaient prévus avant le début des cours pour apprendre à connaître les lieux et les autres étudiants internationaux et pour s'intégré plus facilement. Rien à redire.

b)      Restauration : Je n'ai mangé qu'une seule fois au RU car la résidence était juste à côté du campus et ne peux pas trop donné d'avis sur la question. De ce dont je me souviens la nourriture et le service sont bons, le seul soucis et qu'il faut payer avec la carte étudiante et cette dernière ne peut être rechargée qu'avec une carte banquaire allemande. Pour les étudiants Européen qui n'ont pas ouvert de compte il faut demander à d'autre étudiant ou à des membres du personnel.

c)       Sports : Je n'ai pas entendu parlé des sports proposés par l'université, si vous êtes intéréssé il faut donc aller vous renseigner vous même. Il n'y a pas d'infrastructure pour faire du sport sur le campus il faut donc aller en centre ville qui se trouve à 20 minutes à pied. Des bus circulent mais la ville étant petite il y en a assez peu.

d)      BU : Petite mais de qualité. Attention tout de même, si les livres ne sont pas prolongés ou rendus à temps des frais seront à payer et les mails de rappel sont en allemand.

e)      Accès aux salles informatiques : Les reseaux wifi fonctionnent très bien sur tout le campus et il y a toujours une salle informatique disponible.

2/ Le logement

J'étais en collocation avec 4 autres filles dans une des residance universitaire sur le campus. Le bureau RI met un point d'honneur à trouver des logements universitaires à tout les internationaux qui étudient dans leur université j'ai donc simplement envoyé ma candidature pour un logement sur le campus via le lien que le bureau RI m'a transmis. J'avais initialement demandé un logement seul mais me suit retrouvée dans une colocation. En retrospective je suis très contente que cela se soit passé de cette façon puisque cela m'a permis de rencontrer et d'échanger avec beaucoup d'étudiants que ce soit mes collocataires ou leurs amis. De plus, les collocations sont beaucoup plus spacieuses particulièrement la cuisine qui permet de disposer d'un espace commun que n'offrent pas les chambres seules. Dans une collocation sur le campus sigmaringen il y a deux salles de bain et une cuisine pour 5.

3/ Le coût de la vie

Le coût de la vie en général est assez similaire à celui de la France avec quelques exceptions. Par exemples les baies comme les fraises ou les myrtilles ainsi que les produits cosmetiques sont moins cher. 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Etant donné que la ville de Sigmaringen est en campagne et le campus loin du centre ville, prendre le train et le bus est presque indispensable surtout si vous souhaiter découvrir l'Allemagne. Je recommande à ceux qui veulent venir étudier à Sigmaringen de télécharger les applications Naldo (reseau de bus de Sigmaringen) et DB navigator (application pour les trains) qui permettent d'avoir tout les horaires et éventuels retard des différents transports. Je conseil aussi de prendre le JugendticketBW qui permet pour environ 180€ le semestre de voyager dans tout le Bade-Wurtemberg avec n'importe quel train regional ou bus. La carte étudiante permet aussi d'avoir accès à des avantages dans les transports nottament la gratuité le week end dans les trains et bus regionaux. 

5/ Situation du campus

L'université d'Albstadt Sigmaringen est divisé en deux campus. Celui d'Albstadt est situé dans la ville, proche du centre et de la gare. Il est mieux deservis et tout les restaurents, supermarché et bars sont beaucoup plus accessibles mais les bâtiments de l'université ne sont pas tous regroupés au même endroit. A sigmaringen, là où j'ai étudié, le campus et en hauteur par rapport au centre ville et à environ 25 minutes à pieds. De même, les supermarchés sont assez éloignés le plus proche étant à environ 15 minutes à pieds derrière le campus. Cependant, l'université est deservies par des bus et les lieux sont très agréables. Tout les bâtiments sont placés sur une grande étendue d'herbe et reliée par des chemins de terre. Il y a de nombreuses table et chaise à l'exterieur comme à l'interieur un peu partout sur le campus à disposition des étudiants. Du à la position en hauteur de l'université, on a une vue sur la ville en contre bas ainsi que le chateau de Sigmaringen. Enfin, derrière l'université se trouve une forêt dans laquelle on peut se balader.

6/ La pratique d’une autre langue

Pas de difficultés particulières à communiquer ou à comprendre car tout les allemands sur le campus, que se soit les élèves ou les professeurs, parlent très bien anglais. La seule chose qui peut poser problème en cours ce sont les mots de vocabulaire spécifiques aux matières étudiées. Les professeurs sont à disposition des élèves et il y a beacuoup de contenu concernant les cours sur ilias (équivalent de moodle) ce qui permet à tout le monde de suivre même pour ceux qui auraient des difficultés en anglais. Il n'est pas nécessaire de savoir parler allemand, seul quelques personnes dans les commerces et les restaurents ne parlent pas anglais.

7/ Les matières définies dans le contrat d’études correspondent-elles aux attentes ?

Quelques changements de matières ont été nécessaires du à des conflits d'emploi du temps et de lieu (certains cours ont lieu sur l'autre campus qui se trouve à 30 minutes en train de Sigmarigen). Pour le reste, les cours étaient conformes aux attentes mais parfois éloignés de ce qu'on peut faire à Polytech.

8/ Les pré-requis

L'introduction des professeurs à leurs cours est suffisante pour pouvoir suivre le module. Aucun complément de formation n'est nécessaire.

9/ La gestion du travail personnel

Il y a assez peu d'heures de cours ce qui laisse beaucoup de temps pour le travail personnel et pour pouvoir s'organiser comme on le souhaite. Les professeurs sont disponibles pour répondre à nos questions si nécessaire.

10/ Autres remarques ou suggestions

Pour ceux qui aiment sortir et faire la fête, l'université a un bar sur chaque campus mais ils sont assez peu fréquentés et il n'y a pas vraiment de club ou de bar dans la ville. C'est suffisant pour ceux qui souhaitent simplement rencontrer de nouvelles personnes et apprendre à connaître les autres étudiants du campus mais pour les autres, Sigmaringen n'est peut être pas l'erasmus fait pour vous.

Albstadt-Sigmaringen Universität - Allemagne

S5 2022-2023 GBS - Marion Caillaud

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Je voulais avoir l'occasion de decouvirir un nouveau pays et une nouvelle langue. L'allemagne etait aussi un pays où je n'avait pas eu l'occasion de rester sur une longue période . De plus je m'interesse à la pharmaceutique qui est un sujet très présent dans l'industrie allemande. Le dernier point qui m'a aidée à choisir cette destination a été la proportion importante de cours proposés en Anglais.

1/ Les conditions d’accueil

a)      Relations internationales : Le contact avec le bureau international (en particulier Mme Bast et Mme Pfefferle) est très agréable car il est extremement réactif et disponible en cas de problèmes. toutes les procedures administratives ont été effectuées par le bureau international, rendant beaucoup moins stressant l'arrivée. Aussi les "student buddies" sont très accueillants , ils ont pu nous faire découvrir la region grace à 10 jours d'integrations avec des activités. Cela a beaucoup aidé à former des relations avec les autres eleves Erasmus.

b)      Restauration : Il y a une cafétaria sur place mais le fait de devoir avoir une carte bancaire allemande a été contraignant. Au final malgré des plat de bonne qualité , je n'y suis pas allée souvent et j'ai préféré rentrer manger à la residence universitaire à peine plus loin.

c)       Sports : Les chemins de randonnées très accessibles juste derrière le campus sont un gros avantages mais peu d'accès à des sports proposés par la faculté comme avec le SUAPS à Angers ( je ne me suis pas renseignée sur les sports disponibles mais peu d'information facile d'accès à ce sujet )

d)      BU : très accessible car dans les batiments de la faculté (pour Sigmaringen) et plutot bien fournie. Possibilité d'imprimer mais encore quelques problèmes à cause de la carte etudiante rechargeable uniquement avec un compte allemand.

e)      Accès aux salles informatiques : L'accès aux salles informatiques se fait sans problème si dans les horaires d'ouverture. La WIFI est de bonne qualité et ne pose aucun problème pour l'accès internet.

7/ Les matières définies dans le contrat d’études correspondent-elles aux attentes ?

Le contrat d'étude a été assez difficile à faire ( 7 versions avant la version finale) car il y avait des problèmes d'emplois du temps . L'autre problème est que le campus est divisé entre Sigmaringen et Albstadt (20 min en train) rendant très compliqué d'assister aux cours sur les 2 campus. Finalement dans mon cas, la majorité des sujets choisis correspondaient à,ceux de Polytech.

8/ Les pré-requis

Pas vraiment de problèmes en cours car les sujets sont similaire à ceux en France.

9/ La gestion du travail personnel

Pas de problèmes pour moi.

10/ Autres remarques ou suggestions :

Sigmaringen étant une "petite" ville , c'est plutôt un Erasmus calme et en campagne pour rencontrer de nouvelles personnes mais pas forcément fait pour quelqu'un qui aime sortir. Il y a toujours le bar "Stuba" qui est un bar tenu par les etudiants du BDE mais qui est très peu fréquenté. D'ailleurs etre sur le campus de sigmaringen met un peu à part des etudiants d'Albsadt , il ne faut surtout pas hesiter à aller sur Albstadt pour faire connaissance avec les autres élèves. 

Universidad de Valencia, ETSID - Espagne [Modifier]

S7 2018-2019  QIF - Baptiste Vanbockstael

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

La formation en design Industriel en adéquation avec mon projet professionnel. L’exercice de la langue espagnole et aussi l’excellence de l’école.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Mauvaise communication sur la rentrée des cours, heure, salle et non accès à l’emploi du temps la première semaine.

b/ restauration : super, il y a un restaurant universitaire juste en face et c’est pas cher, varié.

c/ sports : le campus est doté d’un complexe sportif extraordinaire, pour 40e pour avez accès à tous les sports (escalade, musculation, tennis, basketball, football, paddle, ping pong, natation, handball….) durant tout e semestre

d/ BU : il y’a une bibliothèque par école sur le campus + une bibliothèque générale et elles sont très bien équipées.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : parfait grâce à vos identifiants

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : Via facebook et le groupe Erasmus Valencia 2019 j’ai posté un message disant que je cherchais une colocation près de l’université.

3/ Le coût de la vie :

tout est moins cher qu’en France, je dirai que pour vous restaurer si vous êtes un gros manger vous en avez pour 150^e par mois en vous permettant un restaurant par semaine. Les tapas et accompagnées d’une bière ne coutent rien !

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Valencia possède un métro et même si les horaires de nuits sont à créer, c’est très pratique. Il existe des abonnements pas très cher mais le mieux reste de s’acheter un vélo car toute la vile est parcourue de piste cyclable. Vous pouvez aussi utiliser Valenbici qui est un service qui ressemble au vélib, attention cependant aux heure de pointe ( matin et soir) ou les stations de vélos peuvent être vident en partant et pleine en arrivant ce qui vous empêche de prendre ou laisser votre vélo.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

: Un peu loin du centre-ville il vous sera nécessaire de prendre un métro et de prendre le tram pour quelque stations ensuite (avec le même ticket bien sûr). En revanche c’est ici que se situent les universités et donc beaucoup de jeunes erasmus vivent aussi dans le coin, c’est vivant et sympa pour l’ambiance. Vous êtes aussi bcp plus proche de la plage.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Je vous conseille d’arriver solidement armer parce que les espagnols parlent très vite et il y a beaucoup de travail dans l’école. Même si des camarades peuvent vous réexpliquer plus lentement c’est préférable de valider un B2 avant de venir je pense. Durant la première semaine il est logique de ne pas tout saisir mais l’oreille s’y fait très vite quand même. Vous aurez des présentations orales dès les premières semaines alors soyez prêt, bien qu’il soit possible de les faire en anglais comme beaucoup d’Erasmus font.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Bien sûr, si vous cherchez à améliorer vos compétences en design graphique l’école est faite pour vous. Il y a un excellent niveau, mélangé aux sciences comme pour les cours d’ergonomie, vous pouvez réaliser des objets sympas. Vous apprendrez à manier Adobe (Photoshop, Illustrator et Indesign) dans les cours de maitrise de la couleur, ainsi que Zbrush (dans les cours de Rendu 3D). Solidworks et Keyshot sont aussi utiles pour toutes les autres matières ou vous devrez créer un produit, et c’est le cas dans pas mal de matières, le tout en lien avec l’industrie.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Ma non maitrise des logiciels adobe m’a valu de passer beaucoup de temps à m’auto former parce que tous les autres étudiants connaissaient déjà ces logiciels. Pour un designer ce sont des incontournables. Je n’ai que très peu utilisé de compétences provenant de l’ISTIA, si ce n’est gérer ses cours/projets, réaliser des présentations, poster, panneaux, rapports.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Pas mal de travaux s’effectuent en groupe, les professeurs sont très accessibles et il faut les tutoyer ! Dans chaque matière vous aurez un compte rendu à faire (memoria) qui n’est pas forcément très long et s’effectue à plusieurs donc pas de panique. Ils utilisent une plateforme similaire à Moodle, attention aux deadlines pour les travaux.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Rien à voir je suppose, j’aurai également suivre la formation de l’ISTIA de 5^e année. Je pense que c’est plus intelligent de partir ici en 4^e année (car le premier semestre n’était pas terrible aha mais le second si, avec les projets indus/application), tandis qu’en 5^e année, avant le départ en stage, l’insertion pro, etc je pense qu’il vaut mieux rester à l’ISTIA.

University of the west of Scotland (UWS) - Paisley Royaume Uni [Modifier]

S9 2020-2021 GBS - Hélène Fouré

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J’ai fait le choix de partir à l’UWS, principalement pour étudier en Anglais dans un pays Anglophone. Au moment de la candidature, il n’y avait pas de partenariat établi avec l’UWS pour ma spécialité (GBS) mais pour la spécialité QIF. Néanmoins, l’université proposait et propose plusieurs cours de biologie très intéressants. C’est donc pour cette raison que je suis partie à l’UWS en Ecosse pour mon semestre 9.

1. Les conditions d'accueil (Relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Cet échange s’est effectué dans des conditions particulières lié à la pandémie, cependant cela n’a pas entaché son bon déroulement.
Le service relations internationales et de façon plus générale l’UWS m’a beaucoup aidé dans mes démarches une fois l’inscription effectuée. Un référent international est attribué à chaque étudiant Erasmus au début du semestre. Ce dernier sert de relais pour les démarches plus administratives (Enrolment, Induction, Attestations etc...) mais peut dans certains cas aider s'il y a un problème dans les cours suivi, puisque cette personne appartient à l’école dans laquelle on possède le plus de module. 
La majorité de mes cours était dispensée en ligne et une petite partie sur le campus (quelques heures par semaine). J’ai ainsi pu découvrir un petit peu ce dernier. Les bâtiments sont agréables et modernes avec de nombreuses zones pour travailler, en groupe ou seul. La BU est relativement grande et le personnel de l’université est très attentionné et toujours prêt à aider. On y retrouve une zone avec différents ordinateurs en libre accès ainsi que des imprimantes. Il y a deux cafétérias sur le campus et l’université étant dans le centre de Paisley, il y a donc à proximité des petits restaurants et cafés abordables. 
L’accès au WIFI s’effectue sur l’ensemble du campus (résidence universitaire) par le biais d’eduoram. 
Concernant, le sport, en temps normal, plusieurs sports sont proposés, cependant pendant mon échange, seulement la salle de musculation de l’université était ouverte sur inscription. 

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

L’université possède des résidences étudiantes, étant donné les conditions au moment de l’inscription, j’ai préféré passer par eux. J’ai donc déposé rapidement après mon inscription un dossier et j’ai ainsi pu obtenir une chambre (chambre +sdb) dans une colocation dans la résidence Storie street. La résidence se trouve juste à côté de l’université, en face de la BU (1min à pied). Les résidences de l’université sont rapidement complètes, il est donc important de faire sa demande dès l’acceptation par l’UWS (on peut refuser si l’attribution ne nous convient pas).
Malgré le coût élevé des logements de l’université, la résidence a été d’une aide précieuse pour ce semestre atypique. J’ai pu y effectuer ma quarantaine obligatoire sans frais, et tout au long du semestre des évènements (covid-friendly) étaient organisés. 

3. Le coût de la vie

Le coût de la vie est relativement plus élevé qu’en France, et ce, particulièrement au niveau des logements et des transports. 

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Le centre-ville de Paisley est petit, ce qui permet de tout faire à pied. Il y a moins de 5 min à pied entre le campus et la place du centre-ville. On y retrouve des magasins de proximité, des petits restaurants, cafés et bars. Pour ce qui est des courses, il faut environ 15 min pour atteindre les différents supermarchés (Morrisons, Tesco, Lidl). Paisley est une petite ville très proche de Glasgow et pour s’y rendre le plus simple est le train depuis la gare centrale de Paisley. Il faut environ 25 min et environ 4£ (A/R) pour s’y rendre. Certains étudiants vivent à Glasgow et étudient à Paisley. 

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Comme évoqué, le campus se trouve à Paisley, qui est une petite ville bien desservie par les transports. Certains étudiants habitent Glasgow d’autres Paisley. Étant donné le contexte particulier dans lequel j’ai fait mon échange, je ne pourrais pas donner un conseil avisé pour des conditions différentes. Dans mon cas, il n’y avait pas vraiment d’intérêts à vivre dans Glasgow même. Il a sûrement des avantages dans les deux configurations. Pour information, Stéven Jossot était en même temps que moi à l’UWS et habitait Glasgow, il peut donc être intéressant de voir son point de vue.

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

L’université se trouve en Ecosse, et plus particulièrement dans la région de Glasgow, ou l’accent écossais peut-être très difficile à comprendre. Cependant, il n’y a pas d’inquiétudes à avoir concernant les professeurs de l’université. Il y a beaucoup d’internationaux à l’UWS tant chez les professeurs que les étudiants, par conséquent les professeurs Écossais font attention à cela.
Pour ce qui est d’en-dehors de l’université, les Écossais sont très chaleureux et sont souvent ravis de voir des Français. Ils n’ont donc pas de problème à répéter si besoin. Par ailleurs, il est très courant d’entendre des mots gaéliques au cours d’une conversation. 

7. Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Il existe des listes avec les cours enseignés par semestre ce qui permet de choisir les modules que l’on veut suivre. Attention cependant, sur le site, les crédits annoncés ne sont pas des ECTS. Il s’agit de crédits propres à l’Ecosse qui équivaut à la moitié d’un crédit ECTS. 
J’ai suivi quatre modules au cours de mon Erasmus et ces derniers correspondaient bien à mes attentes. Les voici :
- Managing quality (qualité dans le monde industriel)
- Interpersonnal skills and change management 
- Risk management
- Genetic analysis in Biomedical sciences

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Oui, aucun problème pour suivre ces cours. La seule grande différence par rapport à l’enseignement en France est la part plus importante de devoirs/évaluations sous la forme de dissertation/essais.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le rapport cours/travail personnel est très différent de ce que l’on connaît à Polytech. Il y a peu d’heures de cours, mais un peu plus de travail personnel notamment au moment des partiels. Ils sont cependant moins nombreux, j’ai passé deux évaluations par module, soit 8 au total. La moitié étant des travaux de groupe, à rendre à l’issue de la première moitié du semestre.
Les cours en ligne se sont extrêmement bien passés. Chaque semaine à la même heure, j’avais les mêmes enseignements. J’ai eu un seul cours reporté et j’ai été prévenu longtemps à l’avance. Les cours en visio se passaient par teams. Ils étaient pour la plupart enregistrés et disponibles sur la page moodle avec souvent le script. Pour chaque module, j’avais accès à une page moodle avec les cours et documents supplémentaires semaine par semaine. Mes professeurs étaient très attentifs à ce que l’on comprenne bien et disponibles pour nous aider. On pouvait facilement les contacter. 
Pour les rendus d’évaluation, les dossiers sont déposés sur moodle et soumis à un logiciel de plagiat (Turnitin).

10. Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les modules sont en accord avec le cursus ingénieur de Polytech, mais forcément, il n’y a pas une adéquation exacte avec les cours de 5A GBS. L’expérience Erasmus comprend les cours, mais pas seulement, il s’agit surtout d’une expérience culturelle, d’échange.

11. Remarques ou suggestions personnelles

J’ai eu un véritable coup de cœur pour l’Écosse. C’est un pays magnifique avec des paysages à couper le souffle. À moins d’une heure de Glasgow, on est en pleine nature. Les Écossais sont chaleureux et prêts à faire découvrir leur pays et culture dont ils sont très fiers et ils ont bien raison. 
J’ai eu une préférence pour la côte Ouest et les Highlands, mais malgré sa petite taille, il y a pleins de beaux endroits à découvrir. 
Le meilleur conseil est sûrement de bien s’équiper (manteau chaud imperméable et chaussures de randonnée) pour pouvoir visiter les plus beaux paysages d’Ecosse.

S9 2018-2019 QIF - Mathieu Metz

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Améliorer mon anglais ainsi que la possibilité d’obtenir un double diplôme

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Il est facile de rencontrer d’autres étudiants étrangers. On trouve cependant beaucoup de français.

b/ restauration : Bien

c/ sports : Il existe plusieurs associations ainsi qu’une salle de sport gratuite.

d/ BU : Bien

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Bien

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Résidence privée : Mypad

Les étudiants précédents se sont logés dans la même résidence.

3/ Le coût de la vie :

Le coût du logement est plus élevé.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Le train est le moyen de logement recommandé pour se déplacer hors de la ville.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

      Le campus est proche du centre-ville.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

      L’accent écossais peut présenter une difficulté de compréhension dans le quotidien. Les professeurs de l’université s’expriment cependant clairement.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

      Les matières sont en accord avec le contrat d’études.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

      Les pré-requis pour suivre les matières sont suffisamment abordés à l’école.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

      Non

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les compétences acquises correspondent bien.

S7 2018-2019 SAGI - Antoine Lemaître

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Je n’ai pas choisi la destination mais l’option et le double cursus qui s’offrait à moi.

1/ Les conditions d'accueil : a/ relations internationales :

La personne chargé de nous prendre en charge est très réactive et toujours à l’écoute pour nous aider.
b/ restauration : Je devais préparer mes repas par moi même, la restauration consiste en une cafétéria.
c/ sports : Il y avait une salle de sport a 100 mètre de l’université, j’y allais tous les jours.
d/ BU : La BU ouverte même le week-end me permettais d’y travailler avec mon groupe. Bien organisé avec plusieurs espaces de travail.
e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : le réseau wifi est disponible de partout mais limité. Quand aux salles informatique il est quasiment toujours possible de trouver un ordinateur disponible même si la demande est forte.
f/ autres :

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : j’étais en logement universitaire. En collocation avec 5 autres personnes. J’ai trouvé ce logement sur le site de l’université. Cela reste la solution la plus simple mais pas forcément la plus économique.

3/ Le coût de la vie :

Le coût de la vie est un peu élevé sur place. Il est toujours possible de trouver des activités pas chère notamment avec event-bright. Mais la nourriture a une part importante dans le budget.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Bien qu’assez chère, le train reste le moyen de transport le plus pratique. Les taxis peuvent aussi être facilement accessible si on passe par des entreprises privé.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :
Le campus est au milieu de Paisley donc il faut forcément se déplacer pour faire une activité.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) :

problèmes, difficultés étant en collocation j’ai pu aisément pratiqué mon anglais au quotidien. Les enseignants font un effort de prononciation pour ce faire comprendre de tous.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

oui je savais à quoi m’attendre pour avoir discuté avec des anciens élèves donc je n’ai pas été surpris.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

non il est très facile de s’adapter au système est au niveau. Dans la classe nous venions de plusieurs horizon, le niveau était donc adapté à cela;

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

non pas du tout en s’organisant avec son groupe on a suffisamment de temps pour étudier

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

j’étais en informatique et je faisais office d’exception, les SAGI n’ayant habituellement pas accès à ce programme. Je vais donc répondre que les matières abordées étaient quand même différentes mais correspondaient aux attentes.

 S9 2015-2016 - QSF -  Imane Jabrane

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : La qualité des études, la langue, le pays

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : très bien

b/ restauration : bien

c/ sports : bien

d/ BU : bien

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : très bien

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :    

  Comment avez-vous trouvé votre logement ? Résidence universitaire privée, recherche par internet

Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

3/ Le coût de la vie : Logement un peu cher, prévoir à peu près 600euros par mois pour le logement

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : bien, avantages pour les étudiants

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Campus a 5min à pied du centre ville

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

 Un peu de difficulté avec l’accent écossaise au début, pas de problème à l’université

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Elles correspondaient parfaitement à mes attentes et encore plus. Très impressionnée par le niveau d’études et les méthodologies d’enseignement.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Il n’y avait pas de besoin pour un complément de formation, même pour les nouvelles matières.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Beaucoup de travail en groupe soit en bibliothèque ou chez soi. Remise du travail via le réseau de l’université.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

C’était en cadre d’un programme de double diplomation, du coup il y’avait une très bonne adéquation avec le programme de l’ISTIA

Autres remarques ou suggestions :

Une très bonne expérience pour les personnes cherchant à faire leurs études en anglais. Très bon niveau d’études, expérience enrichissante que ce soit sur le plan personnel et professionnel.

 S9  2015-2016 - QSF - Safiya El Hatimi

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Avoir un master en management de laqualité, améliorer les capacités linguistiques, découvrir les différents aspects de la culture écossaise

1/ Les conditions d'accueil : un accueil  chaleureux de la part de l’union des étudiants de l‘université qui se sont déplacés pour nous accueillir à l’aéroport de Glasgow

a/ relations internationales : disponibilité et accompagnement tout au long la durée de la formation en cas de besoin d’information concernant les démarches administratives.

b/ restauration : restaurant universitaire disponible sur place qui propose une variété de plats à  des prix convenables

c/ sports : Possibilité de choisir le sport comme activité extrascolaire qui peut être exercée chaque mercredi

d/ BU : BU  sur le site de l’université ouverte pour les étudiants de l’université du lundi à jeudi de 8.30 h à 20h50 / vendredi et samedi de 9h à 16h50

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : accès gratuit aux réseaux et au salles informatiques de l’université en utilisant l’identifiant de l’étudiant ( Banner ID) 

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :     

  Comment avez-vous trouvé votre logement ?

Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

J’ai réservé mon logement par internet dans une résidence pour étudiants (MYPAD PAISLEY) qui se situe à 10 min à pied de l’université et 2min à pied de la gare et du centre ville ; le loyer est de 90 £/semaine avec une caution de 150 £ pour toute la durée du séjour

Ce qui a motivé mon choix pour ce type de logement c’est sa proximité par rapport au centre ville et à l’université

3/ Le coût de la vie :

Prévoir environ (550 -600 £) par mois entre loyer et autres dépenses

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Train vers Glasgow (10 min de la ville) pour 3.80£ pour un aller-retour

Ticket bus pour une journée (pour étudiant)  environ 2.80£

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Campus à 5 min à pieds du centre ville, se situe en face de l’université

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Pratique de l’anglais dans la vie courante, un peu de difficultés au début vis-à-vis l’accent des écossais

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières définies dans le contrat d’études correspondent parfaitement au débouchées de la formation et aux attentes

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Y’a pas besoin de complément de formation, les matières enseignées dans le cadre du programme, n’exigent pas des pré-requis

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Très bonne gestion  du travail : accompagnement dans les différentes démarches administratives 

Très bonne communication entre le personnel de l’université et ses étudiants

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Parfaite adéquation entre le programme de l’ISTIA et celui de l’université de l’Ecosse de l’Ouest

Autres remarques ou suggestions : une expérience pédagogique enrichissante que je recommande aux étudiants de 5éme en qualité et sûreté de fonctionnement des organisations

 S8 2012-2013 - QSF - Florian Quillévéré

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Ma principale motivation sur le choix de l’Ecosse était de partir dans un pays Anglo-saxon afin de perfectionner mon anglais dans l’espoir de devenir totalement opérationnel et être capable de travailler dans un pays étranger à la suite de mes études.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales :

J’ai été bien orienté avant mon départ dans le choix du logement et des aides financières.

b/ restauration :

 Il n’y a pas de restaurant universitaire à proprement parlé. Il est possible d’acheter à manger dans les cafétérias (Starbucks coffee) de l’université mais il faudra se contenter de sandwichs ou de gâteaux.

Toutefois, on retrouve divers supermarché dans les environs de l’université.

c/ sports :

Les tarifs d’accès à la salle de musculation est de 11€/mois. Il est possible d’y aller de 9h le matin à 21h le soir en semaine et de 10 à 16h le week-end.

J’ai aussi fait partie de l’équipe de rugby, ce qui m’a permis de jouer au rubgy à XV et de découvrir le rugby à XII et à 7 (peu pratiqué en France mais largement développé au Royaume Unis).

d/ BU : La BU est ouverte de 8h à 19h en semaine. Il y a un grand choix bibliographique mais si l’ouvrage désiré n’est pas présent à la BU de Paisley, il est possible de le commander dans une autre BU de UWS et de se le faire livrer.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :

Accès wifi gratuit un peu partout dans les résidences et dans l’université à condition d’avoir un identifiant étudiant.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :     

  Comment avez-vous trouvé votre logement ?

J’ai trouvé mon logement par le biais du site de l’université. J’ai vécu dans une collocation avec 5 autres personnes dans la résidence de Story Street.

 Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

C’était la solution la plus simple et la plus sûre. Le logement est plutôt cher mais le système de la collocation est plutôt intéressant pour progresser en Anglais et rencontrer des gens. Je vivais avec 2 Allemands, 2 Hollandais et 1 Français. Il y avait toujours quelqu’un avec qui parler dans l’appartement à toutes heures du jour et de la nuit…  La résidence à été construite en 2011/2012 (je crois) du coup les appartements sont propres et neuf. Il y a 6 chambres dans chaque appartement et une cuisine commune avec four, frigo plaque de cuisson et tous les ustensiles de cuisine nécessaires.

Enfin, la résidence Story Street se situe à 10 mètres  de l’Université.

3/ Le coût de la vie : les 4 mois passés là-bas mon couté un peu plus de 5000€ (logement, carburant, nourriture, activités extrascolaire…)

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : J’avais ma voiture donc je me déplaçais beaucoup avec. La voiture nous à permise de voyager un peu partout en Ecosse, toutefois le problème est qu’aucun parking n’est gratuit à Paisley (ils sont extrêmement chers...) je garais ma voiture à 4 kilomètres de la résidence. Pour se déplacer sur Glasgow, le moyen le plus facile est le train.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu : le campus est en plein centre ville, juste à coté de l’Union (lieu ou tous les étudiants se retrouvent le vendredi soir)

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Il y a beaucoup de Français à Paisley, beaucoup de ces Français ne restaient qu’entre eux, du coup ils n’ont pas progressé en Anglais (ce qui est au final le principal but de l’ERASMUS). Sinon l’Ecossais a un accent très particulier mais la communication se fait globalement bien.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui, je n’ai pas eu de surprise en arrivant la bas.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ? Non

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ? Le système scolaire en Ecosse est très différent du système Français. On avait des rapports d’approximativement 3500 mots à rédiger chaque semaine. Certains sont à faire en groupe. Pour chaque rapport il faut s’appuyer sur au moins 10 références bibliographiques il faut donc beaucoup lire…

Les enseignants sont très accessibles et ils répondent volontiers aux questions des étudiants.

2012-2013 - Axel Langiano

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

-           Volonté d’une expérience à l’étranger

-           Environnement anglophone

-           Matières enseignées

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Responsables et enseignants ouvert et sympathiques. Ils sont accessible, il ne faut donc pas hésiter à aller vers eux.

b/ restauration :

-           Restauration de type cafétéria (café, snack, sandwich, …) à la BU et sur le campus au niveau du Student Link (point d’information pour les étudiants)

-           Restaurant universitaire ouvert seulement le midi, situé au niveau de l’Union (BDE)

-           Plusieurs restaurants, fast-food, pub autour du campus sympas et très abordables

c/ sports : Plusieurs sports proposés sur le même modèle que le SUAPS

d/ BU :

-           BU ouverte tous les jours sauf le dimanche jusqu’à 22h

-           Large choix d’ouvrage

-           Lieu studieux et agréable pour travailler

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :

-           Wifi présente dans tout le campus (code accès à l’inscription)

-           Grandes salles informatiques accessibles et équipées

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :        

-         Comment avez-vous trouvé votre logement ?

Logement obtenu via UWS

-         Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

-           Simple, pas besoin de chercher sur place à l’arrivée ou de venir avant

-           Pas de mauvaise surprise sur le logement louée

-           Situé dans le campus

CEPENDANT,

-           un prix beaucoup trop élevé par rapport au marché

-           Une forte concentration de français

-           Un logement très impersonnel

-           Des règles de vie contraignantes (exercice et règles incendie …)

-           Situé à Paisley et non Glasgow

Personnellement je déconseille ce type de logement.

3/ Le coût de la vie :

    Le coût de la vie est proche de celui de la France excepté pour le logement car absence d’aides Financières

Transport Paisley-Glasgow en bus et train très abordable

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

-           Transport Paisley-Glasgow

• en bus (30 min) très abordable environ 3 euros AR
• en train (15 min) abordable environ 8 euros AR

-           Fréquence important

• toute la semaine
• jusqu’à 23h

-           La gare est à 5 min à pied du campus et les arrêts de bus sont très proches également

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

-           Campus situé à Paisley tout proche de Glasgow

-           Ville relativement calme mais le centre-ville est animé et possède plusieurs magasins, pubs, restaurants. Les Ecossais aiment sortir.

-           Paisley donne un bon aperçu de l’Ecosse et a beaucoup de charme. C’est différent d’une grosse métropole comme Glasgow

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

L’accent Ecossais et surtout à Paisley est très prononcé. Les enseignants en sont conscients et font des efforts. Ce n’est malheureusement pas le cas pour les étudiants et les locaux.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Plusieurs changements ont été apportés au choix initial. Les raisons étaient principalement liées à l’emploi du temps et à la volonté de faire du sport.

• Project Management Fundamentals (10 ECTS)
• Software Quality Management (5 ECTS)
• Managing Quality remplacé par Project Standards & Technologies (5 ECTS)
• Management Quality remplacé par Logistical Resources

Project Management Fundamentals et Project Standards & Technologies sont des choses déjà abordées mais de nouvelles démarches et outils de gestion de projet sont abordés. Ces modules sont également intéressants  de par les études de cas concrètes et le travail de groupe

Software Quality Management est pour moi à éviter. Le cours est magistral et l’intérêt est faible. Il me semble que ce corus était dispensé pour la première fois.

Logistical Resources est un enseignement différent de ceux dispensé à l’ISTIA. Il est particulièrement intéressant suivant les objectifs de carrière. Le cours est bien mené et vivant.

Les modules Managing Quality et Management Quality m’ont semblé moins poussés que ceux de l’ISTIA. J’ai seulement assistés aux premières heures mais je les recommande toutefois car ce sont de bons rappels et l’exercice d’audit en anglais et le travail de groupe en anglais sont des éléments valorisant.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Les pré-requis dispensés à l’ISTIA sont suffisants pour aborder sereinement les enseignements de UWS.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le temps de travail est largement inférieur au rythme français et à celui de l’ISTIA. Certes, du travail personnel et en groupe est à prévoir en dehors des heures de cours mais rien d’insurmontable.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Même si les enseignements d’UWS ne sont pas identiques à ceux de l’ISTIA ils restent complémentaires. La valeur ajoutée est évidement l’environnement anglophone.

Autres remarques ou suggestions :

Avec du recul, j’aurai aimé m’investir d’avantage dans une association étudiante et plus visiter le pays. Je recommande de prendre vite ses marques et de profiter au maximum. Le temps passe vite.

2012-2013 - Simon Picard

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Peu de choix disponibles. En dehors de l’envie d’avoir une expérience internationale supplémentaire, j’ai décidé de partir pour l’immersion dans la langue anglaise et pour revenir bilingue. J’ai aussi décidé de partir car je n’étais pas seul à le faire (Etienne HINCKY)

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Super. Nous avons eu plusieurs points avec Mme CANO durant notre semestre d’étude pour vérifier que tout allait bien. Nous avons aussi reçu des visites de nos tuteurs sur lieux de stage (Mme CANO + Mme DOLET), et visite de Monsieur KOBI.

b/ restauration : très pauvre. Il y a un snack et une petite cantine mais qui sont hors de prix pour les étudiants et totalement dépourvus de choix. Bien heureusement, la résidence étudiante est située sur le campus. Nous pouvions donc rentrer manger à l’appartement tous les midis.

c/ sports : Possibilité de faire du sport avec l’Université. En revanche les gymnases étaient situés sur un autre campus de la ville qui était assez loin.

d/ BU : Rien à redire. Une carte vous permet l’accès de la « library » du lundi au dimanche après midi. Il est possible d’emprunter des livres. Beaucoup d’étudiants étudient aussi sur place (présence de canapés, tables, ordinateurs…)

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Une grande salle informatique est à disposition 24h/24 (il me semble) par les étudiants. Le réseau WIFI est accessible sur tout le campus.

Point d’attention pour les impressions. Elles coûtent de l’argent et c’est assez cher. Il me semble que c’est 5cts par feuille en noir et blanc et 20 ou 40cts par feuille en couleur. N’imprimez pas tout et n’importe quoi !

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :        

-         Comment avez-vous trouvé votre logement ?

UWS et l’ISTIA nous ont trouvé notre logement au sein de la résidence étudiante avant que nous partions pour l’Ecosse.

-         Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Simplicité car il n’y avait aucune démarche administrative à faire. L’avantage était aussi d’être mélangé avec tous les autres étudiants de l’université. C’est assez cher mais la résidence sera toute neuve pour vous à partir de 2013. Et c’est là que sont tous les étudiants internationaux.

3/ Le coût de la vie : Les supermarchés pour la nourriture sont peu chers. Il en est de même pour les bars/boites qui sont très accessibles.

En dehors de cela, le transport et le logement sont particulièrement chers.

Ne pas oublier la conversion pound/euros (1 pound = 1.20 euros)

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Pour aller à Glasgow : Train ou bus, sachant que le bus est un peu moins cher mais prend vraiment beaucoup de temps.

Sinon, tout le nécessaire est disponible sur Paisley pour vivre.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

A Paisley il n’y a pas vraiment de centre ville. Vous trouverez une petite place et un mini centre commercial à 10 min à pied du campus en guise de centre ville mais pas plus.

Plusieurs salles de sport sont installées à une dizaine de minutes du campus, dont le nouveau « leisure centre » qui comporte des équipements sympas comme salle de fitness, piscine, terrain basket/hand… Il faut un abonnement qui doit coûter environ 30 euros par mois mais ca vaut le coup.

Pour le reste, et pour visiter, il est beaucoup plus intéressant de se rendre à Glasgow qui est une ville étudiante avec beaucoup d’animations, un des plus grand cinéma d’Europe (cineworld), de nombreux clubs… ou même à Edinburgh, qui est une ville magnifique, un peu plus dans l’esprit médiéval.

N’hésitez pas à partir visiter le reste de l’Ecosse aussi (Fort William, Inverness, Abderdeen), voir les highlands si vous avez le temps. C’est vraiment magnifique et les gens sont sympas. Vous pourrez vous loger dans les « backpackers hostels » qui sont des auberges de jeunesse.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Au début, nous ne comprenions rien au cours. Il ne faut pas se décourager. UWS est une université ou le nombre d’internationaux dépasse le nombre de locaux. Les profs savent donc à quoi s’attendre. Ne pas hésiter à leur faire répéter ou à vous expliquer d’une autre manière.

En maximum un mois, vous devriez être capable de comprendre l’essentiel du cours. Aussi, on vous donnera souvent le support powerpoint du cours que vous pourrez alors re-travailler.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui. Je ne regrette pas du tout car nous avons eu l’occasion de voir et apprendre des choses que les étudiants qui sont restés à l’ISTIA n’ont pas du tout vu pendant leur scolarité.

C’était vraiment très intéressant.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Aucun problème par rapport à cela. L’ISTIA prépare très bien les étudiants.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La façon de travailler est totalement différente de celle de l’ISTIA. Nous avions seulement 12h de cours par semaine, répartis sur le mardi et le mercredi (ce qui était énorme selon les autres étudiants…).

Il y a en revanche une grosse attente en terme de travail réalisé à la maison contrairement à l’ISTIA ou il peut y avoir 40h de cours en semaine mais rien à faire à la maison. Il y a beaucoup plus de recherches à effectuer à la bibliothèque.

Une fois qu’une notion est abordée en classe, le professeur juge qu’elle est acquise. A vous donc de bosser en dehors des cours pour maitriser cette notion avant le prochain cours.

De même, les travaux en groupe sont très conséquents et s’étalent sur la totalité du semestre. Il est primordial de se mettre avec des étudiants bosseurs et qui seront patients avec vous, surtout si vous n’êtes pas à l’aise en anglais.

Encore une fois ne vous inquiétez pas, les autres étudiants vous aideront et les professeurs sont très accessibles pour des questions… Le niveau de difficulté des cours n’est pas très élevé non plus.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Non il me semble que les autres élèves à l’ISTIA ont vu des choses complétement différentes. C’est justement ce qui avait été intéressant car nous avons pu en parler dès notre retour en France et ce gap avait été vite comblé par le partage de nos connaissances.

Autres remarques ou suggestions :

Si vous êtes étudiant et que vous lisez ceci, arrêtez de vous poser des questions et foncez !!!

Glasgow est parfait pour s’amuser. Vous allez rencontrer plein d’étudiants internationaux et locaux, et vous faire plein d’amis.

Les cours fonctionnement de manière totalement différente. Aujourd’hui je plains mes camarades qui ne sont pas partis car ils ont vraiment raté quelque chose.

Czech Technical University - Prague - République Tchèque

S8 2017-2018 - GBS - Lucie Marquet

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Cours orienté santé/biologie, cours en anglais mais pays non anglophone, coût de la vie et du transport pour se rendre sur place, ville attractive, départ seule (préférable pour une vraie immersion selon moi)

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Très bien accueillie par l’Université et les réseaux étudiants
b/ restauration : bien, service correct mais culture du repas différente (pas de « pause déjeuner » prévue le midi), pas de RU à la faculté mais une cafétéria
c/ sports : Très bien, système similaire au SUAPS avec beaucoup de sports proposés à bas coût, occasion de rencontrer des étudiants locaux
d/ BU : non concernée

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : moyen, pas de postes informatiques disponibles sur la faculté, wifi non accessible partout, intranet de l’université très pratique
f/ autres : Faculté très excentrée (une heure de transport pour se rendre à la faculté depuis le centre de Prague) et répartie sur 3 campus mal desservis (parfois 20 min à pied pour changer de salle de cours) ; peu de contacts avec les étudiants locaux (pas d’étudiants locaux dans notre promotion) mais un club international très actif

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :
Logement privé car je ne voulais pas partager une chambre étudiante avec une ou deux autres personnes (ce qui est le cas dans les résidences étudiantes de la CTU). En colocation pour pratiquer mon anglais et faire des rencontres. Trouvé sur place en une semaine via groupes Facebook type « Accommodation in Prague » ou « Erasmus flats in Prague ». Caution à payer en cash immédiatement. Demande beaucoup de réactivité et problèmes de racisme (couleur de peau et pays d’origine du candidat)

3/ Le coût de la vie :

Logement peut être assez élevé selon la situation de l’appartement. Sorties, nourriture, transports : très bon marché.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Réseau de transports fantastique + carte de transports étudiante pour 5 mois à 50 euros, je recommande !!

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Campus très mal situé (ville de Kladno) à environ une heure du centre-ville de Prague. Le coût du transport s’en trouve doublé car il faut un abonnement pour Prague (50euros pour 5 mois) + payer les trajets quotidiennement (1,40 par jour). Kladno est une ville sans intérêt avec peu de commerces, tandis que Prague est une ville fabuleuse et très agréable à vivre

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Pratique quotidienne de l’anglais en cours, pas d’autres étudiants français en cours (un atout !). Pratique du français occasionnel selon les rencontres. Cours de tchèques donnant des crédits ECTS (je recommande) et permettant d’acquérir quelques bases pour communiquer. Le tchèque est une langue que j’ai trouvé difficile mais très intéressante !

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui mais le niveau est très inégal (étudiants d’un même cours venant de 1ère année jusqu’au master 2)

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Suffisant sauf pour un module intitulé « Health Technology Assessment », une approche totalement nouvelle (pour moi) du financement et de la rentabilité du système de santé

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Enseignants très accessibles, petites promotions. Très bien.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Non mais j’ai pu rattraper les cours non suivis de mon côté.

Autres remarques ou suggestions :
Une formidable expérience que je recommande à tous !

S7 2020-2021 - GBS - Amandine DANIAU

les avis d'autres étudiants vis à vis de Prague et sa vie quotidienne m'ont fortement plus, 

on me disait notamment que c'était une ville magnifique et pleine de vie. 

Par l'université, nous avons eu la reservation d'un dortoir universitaire (masarykova kolej), un dortoir qui a première vue ne donne pas plus

envie que cela pour y vivre. Cependant, c'est un dortoir avec essentiellement dess étrangers du monde entier (quoi de mieux pour apprendre de 

nouvelles cultures). Pour les salles informatiques, sport et réseau wifi, nous pouvions soit avoir cela par le biais de notre dortoir et donc proche de chez nous, 

soit par le biais de l'université et donc devoir se déplacer. Pour la plupart, les activités étaient très peu chere (sport... 30eur/semestre). Cependant pour la restauration

universitaire, nous avons testé un des RU (restaurant universitaire), celui-ci était chère et pas très bon. C'est pourquoi par la suite, nous avons cuisiné nous-même.

Nous avons pris un logement universitaire (dormitories). Nous avions peur de ne pas aimer le fait de dormir avec d'autre personnes. Cependant, c'est l'un des points les plus positifs de ce semestre. Le fait 

d'être en dortoir, nous a permis de rencontrer de nouvelles personnes tous les jours et de vivre dans une vrai communauté. 

le coût est plus faible que en France, à titre de comparaison, une semaine d'alimentation pour une personne est environ 40EUR, comparé à 60-70EUR en France. 

Cependant, si nous nous interessons au marque connu du grand public (nike, adidas, nestle, kinder) les prix ne fluctue pas vraiment entre ces deux pays. 

les transports : bus, métro, tramway, sont les transports les plus rapides à Prague et les plus économique. Une carte de transport illimité pour 3 mois étudiant, coute a peu près 17EUR. 

Ce qui est en quelques jours, très rentable. Les taxis sont peu coutent se qui permet de rentrer nuit et jour en sécurité et assez rapidement. 

la situation du campus est bonne, nous ne sommes pas éloigné du centre ville (10-15 min). Nous avons tout pour avoir une bonne qualité de vie, le campus est très grand et

conviviales, ce qui permet de rencontrer de nombreuses personnes et de découvrir de nombreuses cultures différentes.

en particulier l'anglais, à première vue, cela parait une compliqué. Cependant, une fois passé la première semaine, tout est simple, vous vous êtes mis en "mode" anglais, vous reflechissez plus en anglais

vous repondez facilement et avec fluidité. Tout simplement parce que le temps d'adaptation pour parler anglais est très rapide puisque vous partez avec un niveau déjà bon. Un conseil, pour vraiment avoir cette fluidité

ne pas hésiter à parler avec des étrangés, à demander des informations, à en donner, etc...

Pour les autres langues, j'ai pu apprendre des bases de russes et de tchèque, des langues pas si proche que ça mais surtout de nouveaux alphabets qui viennent bouleversé la manière d'apprendre.

les matières : czech, spanish, quality & reliability, operation research, marketing, business and team work. La plupart correspondait aux attentes. Le cours team work avait été choisi en urgence 

car un autre cours ne correspondait pas au niveau prérequis. Team work avait pour prérequis la gestion d'équipe (quality organisationnelle), donc cela nous paraissait plutôt simple comme choix.

Cependant, les prérequis avec été mis à jour, avec des attentes plus élevé en codage et en robotisation, une fois inscrit, nous avons pris sur nous et notre temps pour atteindre le niveau requis et validé le cours.

Pour les matières dont nous n'avons pas eu de problème et dont les prérequis étaient bien identifié et transmis par les professeurs de l'université d'accueil. Il n'y avait aucun soucis, et aucun besoin 

de complément de formation.

Si vous êtes organisé, la gestion du travail personnel n'est pas un problème. Les examens ou projets sont prévus à l'avance, et vous avez énormement de temps dans les semaines pour vous y préparer. La charge

de travaille académique (en classe) est vraiment plus légère, mais attention à ne pas se laisser guider sans rien faire. Une charge de travaille moins intense en cours, implique une charge personnel plus intense. 

Si vous avez la possibilité de faire un erasmus, ne perdez pas de temps et foncez, quelquesoit le pays de destination. L'Erasmus est une experience inoubliable, pleine de richesse, vous permettant 

d'améliorer votre langue, votre attitudes et d'apprendre énormement sur vous-même. L'Erasmus à Prague, vous offre la possibilité de visité une capitale et un pays pleine d'histoire et de beauté, mais aussi de vivre 

de jours comme de nuits avec de nouvelles personnes venu du monde entier. 

Brno University of Technology – République Tchèque [Modifier]

S6 2022-2023 SAGI NAVARRO Jérémie

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Je n’étais jamais allé en Europe centrale, et les matières disponibles à l’université de Brno m’ont semblé bien.

1.       Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Les conditions d’accueil sont bonnes, la personne chargée des relations internationales répond relativement vite. Il y a des cafétérias dans les bâtiments de la faculté et un restaurant universitaire ouvert le midi et le soir en semaine. Les salles de classe ne sont pas accessibles en dehors des heures de cours car l’ouverture de la porte d’un couloir n’est possible qu’en badgeant sa carte-étudiant, si on a un cours dans le couloir en question. Cependant, des postes informatiques sont accessibles dans la bibliothèque universitaire, il me semble. Le wifi fonctionne correctement. Je ne suis pas en mesure de donner des informations sur les sports.

2.      Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

Mon logement se trouvait dans une résidence universitaire juste à côté de la faculté. Il s’agit de chambres à partager avec un autre étudiant. Une fois faite l’inscription à l’université, l’attribution d’une chambre est très facile, il ne me semble pas qu’il y ait de sélections, c’est en tout cas beaucoup plus simple et économique que de chercher un logement étudiant par soi-même.

3.      Le coût de la vie

La vie est moins chère en Tchéquie qu’en France, surtout que le loyer en chambre universitaire est très attractif et les repas au restaurant universitaire sont également très peu chers. Les vrais restaurants sont également globalement moins chers.

4.     Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Le réseau de trams et de bus et très bien à Brno. Pour aller à la fac il n’y a que quelques centaines de mètres à faire à pied, pour aller dans le centre-ville, le trajet en tram dure environ un quart d’heure.

5.     Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Il y a une supérette à vingt mètres de l’entrée de la résidence étudiante et le restaurant universitaire se trouve vingt mètres plus loin. Cette partie là de la ville n’est pas très jolie, mais il n’est pas difficile de se rendre dans le centre, qui lui est beau. Brno a beau être la deuxième plus grande ville du pays, le centre n’est pas très grand. Hors du centre, le style soviétique n’est pas très élégant. Brno est sans doute plus intéressante pour son emplacement au centre de l’Europe, d’où il est facile d’aller visiter Vienne, Bratislava, Budapest, Cracovie et Prague,  que pour elle-même, bien qu’il y ait de beaux immeubles dans le centre et une jolie cathédrale (et un château).

6.     La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les jeunes parlent bien l’anglais (souvent mieux que moi), certains Tchèques plus âgés ne le parlent pas ou très peu, mais dans l’ensemble il est tout à fait possible de se débrouiller après un petit temps d’adaptation. Il est indiqué sur le site de l’université au moment de choisir ses matières en amont du semestre si les cours sont en anglais ou en tchèque. Cependant, un cours qui était censé être en anglais a été enseigné intégralement en tchèque, ce qui a rendu plus ardue sa validation. J’aurais dû essayer de refaire un nouveau contrat en remplaçant cette matière par autre chose.

7.      Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient-elles aux attentes ?

Certaines matières présentes dans mon premier contrat ont dû être changées car il y avait des conflits d’emploi du temps. Au début du semestre, nous avons deux semaines pour changer de matières et établir un contrat définitif. J’aurais dû remodifier mon contrat pour échanger les matières qui me paraissaient peu intéressantes après en avoir eu la présentation lors du premier cours, et la matière enseignée en tchèque.

—Computer programming : matière simple, accessible aux étudiants qui débutent en programmation mais qui peut aussi être intéressante quand on en a déjà fait car on y apprend à implémenter des interfaces graphiques en matlab.

—C++ : matière qui s’intègre assez bien à la suite du C du premier semestre à Polytech. Ma matière préférée.

—Network architecture : Pas trop difficile à valider. Peut être vu comme un approfondissement de la matière réseaux du premier semestre à Polytech.

—Virtual instrumentation : matière qui consiste à apprendre à utiliser le logiciel labview. Les cours étaient en tchèque contrairement à ce qui était annoncé sur le site de la faculté, donc il était difficile d’apprendre correctement.

—Industrial Automation : matière inintéressante car on n’y apprend pas grand-chose, et où l’on est livré à soi-même sans TP pour préparer le projet final.

—Tchèque : matière agréable et très facile à valider.

8.     Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La seule matière qui demande un gros pré-requis était C++, qui nécessite d’avoir fait du C, mais le premier semestre à Polytech y prépare très bien.

9.      La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Mon semestre à Brno ne m’a pas demandé une quantité de travail exorbitante, cependant il faut anticiper un peu la fin du semestre car quasiment toutes les matières incluent un projet final. J’ai eu un seul travail de groupe à faire au cours du semestre, qui ne nécessitait pas une organisation complexe. Par contre le lien avec les enseignants est inégal suivant la matière. En C++, l’enseignement était en différé et à distance car nous n’étions pas suffisamment à avoir choisi la matière pour qu’il y ait des séances en classe, mais le professeur répondait aux questions, par mail. En industrial automation le professeur nous laissait nous débrouiller tout seuls pendant tout le semestre. En virtual instrumentation le professeur faisait les cours en tchèque et laissait les étudiants étrangers faire les tp en autonomie, ce qui a rendu la matière difficile. Dans les autres matières tout allait bien.

10.   Remarques ou suggestions personnelles

Remarques : Non.

Suggestions : le plat traditionnel « svičkova » est bon, Olomouc est une jolie ville à visiter, Hluboka nad Vltavou est un village avec un très joli château.

Kaunas university of technology - Lituanie [Modifier]

S8 2017-2018 - MIS - Nina Hennouni

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Pour ma filière (MIS) c’était le seul partenariat possible étant donnée la création récente de celle-ci. De plus, la Lituanie est un pays balte, j’étais curieuse de pouvoir découvrir cette culture qui m’étais inconnue.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Les personnes responsables dans mon université d’accueil ont été super sympa et nous ont aidés autant de fois que nous le souhaitions. L’accueil a commencé par une semaine d’intégration où toutes les personnes de l’université dédiée aux Erasmus se sont présentées et nous ont tout expliqué. Nous sommes vraiment suivies et accompagné dès notre arrivée.

b/ restauration : Le campus universitaire est super grand (une des plus grandes universités de Lituanie) chaque département bénéficie d’une cantine aux prix très peu cher où la cuisine est faite maison. Il n’est pas nécessaire d’être étudiant pour y avoir accès et les horaires sont très amples donc accessibles quand nous le souhaitons.

c/ sports : Tous les étudiants bénéficient de la salle de sports de l’université ainsi que des sports collective gratuitement et quand nous le souhaitons. Tous les équipements sont neuf et des coachs sont dès l’ouverture jusqu’à la fermeture.

d/ BU : Chaque département bénéficie de bibliothèques qui sont spacieuses et tout équipée que soit pour le travail ais aussi pour se détendre tel que des canapés, jeux… Elles sont ouvertes du lundi au dimanche et du matin au soir, ce qui est super pratique.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Tout est en accès libre, mon université est hyper bien équipé il n’y a pas de problème à ce niveau-là.

f/ autres : Le bien-être des étudiants est important, il y a plein d’espace détente composé de pouf, prise électrique, table basse dans les halls, couloirs et autres espaces afin que tout le monde puisse travailler comme il le souhaite.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : J’ai vécu dans un appartement dans le centre-ville de Kaunas. J’étais en collocation avec deux Lituaniennes. Je souhaitais vivre dans le centre pour être plus proche de tout (magasins, supermarché…) étant donné que l’université est un peu excentrée. J’ai trouvé mon appartement toute seule sur un groupe de collocation lituanien, les loyers n’étant pas cher je privilégié l’appartement. Dès l’inscription si nous le souhaitons, nous pouvons avoir une chambre en dortoir, la solution que la majorité des Erasmus choisissent. Cependant, il est important de faire attention il y a une agence de logement qui propose des chambres en collocation pour les Erasmus et qui n’est pas fiable.

3/ Le coût de la vie : Le coût de la vie en Lituanie est vraiment bas si nous comparons avec la France, c’est un pays pauvre. Ce qui m’a permis d’avoir un bon niveau de vie et de faire des activités.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Je prenais la majorité de mon temps le bus quand j’allais à l’université (16€/3mois). Le réseau de transport en commun est hyper développé et il y a dès le matin jusqu’à tard le soir. Mes déplacements en ville se faisaient à pied, c’est une ville très sûre et tout est accessible facilement. De temps en temps nous prenions des taxis qui sont aussi un moyen de transport très sûre et très peu cher.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu : Habitant dans le centre-ville, mon université était à 15min porte à porte de chez moi en prenant le bus. Elle est super facile d’accès et à proximité d’un grand centre commercial.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés J’ai parlé anglais tout au long de mon Erasmus, à l’université et avec les autres Erasmus il n’y a pas eu de problème. A Kaunas beaucoup de change ne parle pas anglais contrairement à Vilnius, donc le langage des signes et corporels a fonctionné. Si réellement nous avons des difficultés, il y a toujours quelqu’un pour nous aider.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ? Pour certaines matières, je partais avec des a priori et finalement j’ai été surprise (dans le bon sens du terme). La pédagogie est totalement différente de celle utilisé en France, j’ai appris énormément de choses en peu de temps.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ? Je pense que les prérequis sont suffisants pour suivre ces matières, parfois du travail personnel approfondi est nécessaire mais comme pour type d’apprentissage. Les enseignants sont là pour nous aider en cas de difficultés.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ? Non, je n’ai eu aucun problème à ce niveau-là.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ? Je pense qu’il y a une bonne adéquation.

Autres remarques ou suggestions :

Peut-être que l’école peut être un peu moins stricte sur le choix des enseignements. Par exemple à notre semaine d’intégration, il nous a été fortement conseillé de choisir une langue comme enseignement : le lituanien pour que l’on puisse s’ouvrir et mieux s’adapter dans le pays dans lequel on vit et l’anglais afin que nous puissions progresser tout en pratiquant avec les autres Erasmus mais aussi être en classe avec des lituaniens. L’école n’a pas accepté le choix d’une langue dans mon Learning agreement, je pense que c’est dommage.

S6 2018-2019 - BEMS - Valentin Galvaing 

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Toujours présent si problèmes mais vaut mieux s’adresser aux professeurs

b/ restauration : Self sur le campus (pas essayé) 

c/ sports : Salle de sport ainsi que de nombreux sports gratuits avec la carte isic (carte étudiant international) 

d/ BU : Ouverte en même temps que les locaux de la fac avec beaucoup de livres pour chaque filière

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : pas d’accès aux salles informatiques hors cours, très bon réseau wifi sur tout le campus 

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) : 

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : Comme nous étions deux étudiants de la même classe et que nous nous entendons très bien nous avons opté pour la collocation. Nous sommes partis une semaine avant notre accueil à la fac afin de visiter de nombreux appartements. 

3/ Le coût de la vie : Logement, nourriture, loisirs, transport moins cher qu’en France 

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Tout se fait en bus avec -80% sur les abonnements pour les étudiants (environ 5€ le mois)

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu : Quelques bâtiments de la fac sont au centre-ville mais la majorité sur un campus légèrement en bordure de centre-ville 

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés : La première semaine l’accent des professeurs était compliqué mais on s’y fait rapidement 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières oui mais pour notre part le problème était des cours qui se chevauchent. 

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Dans l’ensemble oui, seulement une matière (Engineering systems of buildings), nous avons dû apprendre par nous même à nous servir d’Autocad qui n’est pas utilisé à l’ISTIA mais qui, visiblement, est utilisé depuis des années par tous les autres étudiants

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le travail est bien réparti sur le semestre et les professeurs sont de bon conseil

Universita Ta Malta - Malte [Modifier]

S8 2017-2018 - QIF Arnaud Aucherie

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :
Malte est un pays anglophone, proche de la France. Le programme correspondait à ce que je voulais étudier.

1/ Les conditions d'accueil :
a/ relations internationales :
J’ai eu une journée de présentation de l’université et des démarches administratives à effectuer sur place.
b/ restauration :
Le lieu de restauration a été brièvement présentée lors de la journée de présentation. Présentation brève mais suffisante.
c/ sports :
Des cours liés à la pratiques sportive ont été proposés lors de la journée de présentation.
d/ BU :
La BU nous a été rapidement présentée lors de la journée de présentation. Présence rapide mais complète.
e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :
Les postes informatiques se trouvaient dans la BU. La démarche à suivre pour se connecter aux réseaux a été présentée sur la lettre d’acceptation, envoyée par l’Université de Malte à mon domicile en France.
f/ autres :
Mon numéro de mobile n’était pas accepté par le logiciel de l’Université de Malte pour avoir accès à mon compte étudiant. J’ai donc fait appel au service informatique, où j’ai été positivement surpris de leur efficacité. Je problème a été résolu dans la journée.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :
 Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :
J’ai trouvé mon logement via le mail de l’Université de Malte envoyé après mon acceptation, dans lequel été indiqués, entre autres, deux types de logements en partenariats avec l’Université de Malte. Les conditions de logement dépendaient de l’option choisie. Personnellement, j’ai opté pour l’option la moins chère, qui me convenait parfaitement. Cette option consistait à vivre en collocation (10 personnes), ainsi qu’à partager sa chambre avec une autre personne.
3/ Le coût de la vie :
Le coût de la vie est similaire à celui Français. Toutefois, je dirais que les logements sont assez chers. Pour avoir un ordre d’idée, ma location mensuelle s’élevée à environ 350 euros/mois. Et il faut compter entre 450 et 500 euros pour la location d’une chambre seule.
4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :
Le déplacement en vélo est très dangereux, et reste dangereux pour les piétons, due au manque de passages piétons. Des bus sont à dispositions mais manque sérieusement de ponctualité et sont généralement plein. Cependant, une navette est à disposition entre la résidence universitaire et l’Université.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :
L’Université se trouve à 15 minutes de La Valette, proche de tout équipement de proximité.
6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés :
La langue utilisée est l’anglais. Quelques difficultés peuvent être présentes lors de l’utilisation du maltais, mais le problème se résout rapidement.
7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?
Les enseignements sélectionnés n’étaient plus disponibles à mon arrivée. Les matières qui sont restées disponibles ont correspondu à mes attentes.
8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?
Je n’ai pas eu de difficulté particulière.
9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?
La gestion du travail personnel ne m’a pas posé de problème particulier.
10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?
J’ai volontairement choisi des matières qui ne sont pas en liens avec la formation de l’ISTIA, afin d’acquérir de nouvelles connaissances sur le sujet visé.
Autres remarques ou suggestions :
J’ai eu quelques difficultés dans l’obtention des plannings des différents cours, où j’ai dû contacter à plusieurs reprises le personnel encadrant la formation.

S6 2018-2019 - QIF Steven Jossot

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :
Ce qui m’a motivé pour ce choix est que Malte est un pays anglophone, relativement proche de la France. Il y a également un grand nombre d’étudiants Erasmus.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales :
J’ai eu une journée de présentation de l’université où l’on nous explique les différentes démarches administratives à effectuer sur place et le déroulement du semestre.

b/ restauration :
Un lieu de restauration est présent au sein de l’université, ce dernier est présenté lors de la journée de présentation.

c/ sports :
Nous pouvons s’inscrire à différents club ou cours de sport présentés lors de la journée d’accueil. De plus, nous pouvons accéder à une salle de musculation et piscine juste à coté de l’Université pour 20€ par mois.  

d/ BU :
Nous avons accès à la BU qui se situe au sein du campus de l’Université.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :
Les postes informatiques se trouvent dans la BU ou au sein d’un bâtiment appelé IT. Pour nous connecter au réseau wifi de l’université nous devons suivre la démarche présentée dans la lettre d’acceptation.

f/ autres :
Une application mobile est disponible et permet d’avoir accès à de nombreuses informations sur l’Université de Malte (esims, map…).

2/ Le logement (universitaire ? collocation ? agences ? Etc.) :
 Comment avez-vous trouvé votre logement ? Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :
J’ai trouvé mon logement via un groupe Facebook « Français à Malte », j’étais en collocation proche de l’Université. J’ai opté pour cette solution bien que couteuse car les retours sur la résidence universitaire étaient globalement négatifs.

3/ Le coût de la vie :
Le coût de la vie est similaire à celui en France. Cependant les logements sont chers, je payais 580€/mois.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :
Les transports en commun est le moyen de transport le moins couteux et le réseau est assez étendu, mais il y a de nombreux retards sur les horaires. Autrement il y a plusieurs applications de taxi, c’est plus couteux que le bus mais beaucoup moins cher qu’en France.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :
L’Université se trouve à 15 minutes de La Valette, proche de tout équipement de proximité.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés :
La langue natale est la maltais mais l’ensemble des habitants parlent l’anglais. Il peut y avoir quelques difficultés de compréhension au début mais cela se résout très vite.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?
Les matières correspondaient à mes attentes mais sont cependant relativement éloignées de celle que je devais suivre pour ce semestre à Polytech Angers.

8/ Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?
Certaine matières se rapprochaient de ce que j’avais pu voir au sein de l’école mais globalement c’était de la découverte.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?
Je n’ai pas eu de problème gestion du travail particulière cependant, la période d’examen est assez étendue et demande une grosse charge de travail (plus d’un mois et demi, et beaucoup de par cœur).

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?
Je ne dirais pas qu’il y a une bonne adéquation des compétences acquises, pour la plupart des matières ce sont des connaissances que l’on a eu à l’école pour la base, mais le reste du cours c’est de la nouveauté. Cependant cela permet d’acquérir d’autres compétences non étudiées à l’école.

Autres remarques ou suggestions :
La période d’examens est longue et éprouvante car la méthode d’apprentissage est totalement différente de celle utilisé à l’école. Il faut également demander afin d’obtenir les examens des années précédentes.

S6 - 2019-2020 - SAGI Maxime Bruneau

Premières impressions et logement

                Tout d’abord, Malte est un très beau pays, il y a pas mal de beaux endroits à visiter à priori. Il y a toujours du soleil, mais souvent du vent. Il ne fait donc pas si chaud que ça pour l’instant. C’est très animé, ça a l’air plutôt agréable d’y vivre. Il y a d’ailleurs pleins d’étrangers qui viennent y travailler. Je pense que ce n’est pas très compliqué de s’y acclimater.
Avant de partir, j’aurais aimé y trouver un logement pour que ce soit plus rassurant et simple à l’arrivée. Pour mes recherches, j’utilisais principalement le Marketplace de Facebook et parfois d’autres sites, mais je pense qu’il y a moins d’annonces que sur Facebook.
Au final, le départ approchant et n’ayant toujours pas trouvé de logement, j’ai décidé de chercher sur place. J’avais réservé une chambre dans une auberge de jeunesse pour les premiers jours. Je ne regrette pas du tout d’avoir procédé comme cela et je le recommande pour plusieurs raisons.
La première et certainement la plus importante est que l’on peut voir le propriétaire physiquement. De ce fait, on ne peut pas se faire arnaquer, parce que sur Internet, il est souvent demandé de payer une caution pour réserver la chambre. Une caution en général aux alentours de 400 €. J’ai rencontré un étranger qui avait payé cette caution par Internet pour une chambre et le soit disant propriétaire n’a plus donné de Nouvelles. C’était une arnaque. Alors qu’une fois sur place, il n’ y pas ce risque.

Un autre avantage est qu’on visualise mieux la ville et les lieux. On voit la distance avec l’université ou le centre-ville, les moyens de transports, etc.
Pour le prix du logement, il varie beaucoup entre une collocation et un appartement tout seul. Pour être tout seul, il faut compter pas moins de 500€/mois, mais je n’ai pas trop regardé.
Pour une collocation ça depend beaucoup de la zone. Autour de l’université, la zone la plus touristique et prisée, il faut compter entre 400 € et 450 € pour avoir un logement “correct”. Sinon il est possible de prendre une chambre partagée et et ça revient à environ 300/350€/mois.
Pour l’endroit du logement, tout dépend de ce que l’on cherche ; proximité avec l’université ou proximité avec le centre-ville. Dans le deuxième cas, il faut prendre le bus pour aller en cours. Je pense que c’est mieux de pouvoir aller en cours à pied parce que les bus ne sont pas très fiables ici. Je recommande donc de chercher un logement une fois sur place même si c’est plus stressant. De plus, les habitants sont plutôt serviables et prêts à aider. Ça rend les débuts moins stressants.

Démarches à l’université et cours

Une rencontre a lieu lors d’une matinée où tout nous est expliqué. Avec les démarches à suivre, les dates et d’autres informations comme des clubs ou la présentation de l’ESN (les personnes qui organisent les soirées et événement Erasmsus). C’était plutôt clair. Bien qu’il y ai des choses un peu abstraites au début. Dans l’ensemble ça se passe bien, je m’attendais à ce que ce soit beaucoup plus compliqué. Les cours que j’ai choisis ont l’air plutôt intéressants au premier abord, les profs sont sympas, toujours prêts à aider. Le personnel de l’université a l’air plutôt agréable dans l’ensemble. Les démarches dans les grosses lignes consistent d’abord à vérifier son emploi du temps avec chaque matière pour s’assurer qu’il n’y ai pas de conflits, surtout quand on prend des cours de cycles différents. Ensuite, on change de matière si besoin. Je crois qu’on peut également changer de matières si certaines ne nous plaisent pas après une période d’essai de 2/3 semaines. 
Les emplois du temps en tant qu’Erasmus paraissent en général plutôt légers comparés à ceux de Polytech Angers. J’ai une quinzaine d’heures de cours en moyenne.

Vie et coût de la vie

Hormis le prix des logements un peu plus élevés qu’à Angers, la vie est environ aussi coûteuse qu’en France. La nourriture en supermarché est au même prix voire un peu plus cher que chez nous, mais rien de choquant. Cela dépend des produits. Peut-être que, plus éloigné de l’Université, c’est moins cher. Le budget nourriture doit donc être à peu près le même qu’en France. Par contre les sorties coûtent un peu moins cher, comme les restaurants et les bars.

Pour résumer, le budget mensuel est environ le même qu’à Angers.

S6 - 2021-2022 - QIF Amaury Ménagé

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :
Ce qui m’a motivé pour ce choix est que Malte est un pays anglophone, relativement proche de la France et le climat est très agréable (jamais moins de 15 degrés)

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales :
J’ai eu une journée de présentation de l’université où l’on nous explique les différentes démarches administratives à effectuer sur place et le déroulement du semestre. Il y a eu aussi la présentation des différentes associations, notamment ESN malta, l’association des étudiants Erasmus de malte.

b/ restauration :
Une cafétéria est présente au sein de l’université, cette dernière est présentée lors de la journée de présentation.

c/ sports :
Nous pouvons s’inscrire à différents club ou cours de sport présentés lors de la journée d’accueil. De plus, nous pouvons accéder à une salle de musculation et piscine juste à côté de l’Université pour 20€ par mois.  

d/ BU :
Nous avons accès à la BU qui se situe au sein du campus de l’Université. Elle est ouverte tous les jours, cependant les sacs à dos sont interdits à l’intérieur, il faut donc déposer son sac à l’entrée dans un casier et emporter à l’intérieur uniquement ce dont on a besoin.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :
Les postes informatiques se trouvent en libre accès dans la BU ou au sein du bâtiment engineering. Pour nous connecter au réseau wifi de l’université nous devons suivre la démarche présentée dans la lettre d’acceptation. L’université de Malte utilise, comme à Angers, le réseau wifi eduroam. On peut donc se connecter à la wifi quasiment partout dans l’université.

f/ autres :
Une application mobile est disponible et permet d’avoir accès à de nombreuses informations sur l’Université de Malte (esims, map…).

2/ Le logement (universitaire ? collocation ? agences ? Etc.) :
Il existe une résidence universitaire (campus hub) près de l’université, cependant les prix dans cette résidence sont assez élevés (500€/mois pour une chambre partagée et plus de 650€ pour une chambre individuelle). Il est possible de trouver des logements proches de l’université via des agences ou par le biais de groupes facebook comme « français à malte » (attention aux arnaques dans ce type de groupes). J’ai personnellement opté pour un logement en colocation sur Air BNB à 15 min à pieds de l’université et pour 550€ par mois.

3/ Le coût de la vie :
Le coût de la vie est à peu près similaire à celui à Angers. Cependant les logements sont plus chers, je payais 550€/mois.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :
Le bus est le moyen de transport le moins couteux et le réseau est assez étendu, il est possible d’aller quasiment partout sur l’ile. Cependant les horaires sont très approximatives, il peut y avoir de gros retards ou des bus qui ne passent carrément pas. Vers juin, les bus commencent à être de plus en plus pleins (car beaucoup de touristes), il est donc aussi possible que les chauffeurs ne s’arrêtent plus pour prendre de nouveaux passagers. Il faut donc être assez patient. Il est possible de prendre différentes cartes de bus suivant sa fréquence d’utilisation du réseau. Autrement il y a plusieurs applications de taxi, c’est plus couteux que le bus mais beaucoup moins cher qu’en France.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :
L’Université se trouve à 15 en bus minutes de La Valette (capitale et centre historique de malte), proche de tout équipement de proximité.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés :
La langue natale est la maltais mais l’ensemble des habitants parlent couramment l’anglais. Les cours se déroulent en Anglais. J’ai trouvé l’accent des Maltais assez simple à comprendre et même plus simple que l’accent britannique.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?
Les matières correspondaient à mes attentes mais sont cependant relativement éloignées de celle que je devais suivre pour ce semestre à Polytech Angers. Par exemple la matière Engineering materials se rapprochait beaucoup plus de la chimie que d’une matière utile en QIF.

8/ Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?
Certaine matières se rapprochaient de ce que j’avais pu voir au sein de l’école comme Quality Mangaement mais globalement c’était de la découverte.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?
Je n’ai pas eu de problème gestion du travail particulière cependant, la période d’examen est assez étendue et demande une grosse charge de travail (plus d’un mois et demi, et beaucoup de par cœur). Il y a aussi dans certaines matières, des rapports de recherche à rendre ce qui est assez éloigné de nos habitudes de rapports à rendre à Polytech Angers. A Polytech nos rapports sont plus des rapports de TP sur ce qu’on a fait durant un cours, les exercices qu’on a dû faire, les problèmes qu’on a rencontrés. A Malte, les rapports sont plus de la recherche. Il faut trouver des informations sur internet et essayer de les relier avec le sujet que l’on traite.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?
Je ne dirais pas qu’il y a une bonne adéquation des compétences acquises, pour la plupart des matières ce sont des connaissances que l’on a eu à l’école pour la base, mais le reste du cours c’est de la nouveauté. Cependant cela permet d’acquérir d’autres compétences non étudiées à l’école.

Autres remarques ou suggestions :
La période d’examens est longue et éprouvante car la méthode d’apprentissage est totalement différente de celle utilisée à l’école.

Appalachian State University, Boone NC USA
[Modifier]

S9 2016-2017 - SAGI - Nicolas Guitton

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Je voulais aller dans un pays où l’anglais était couramment parlé. Mon premier choix se portait plus vers un pays scandinave, mais l’on m’a plutôt proposé les Etats-Unis. L’idée de vivre un semestre dans ce pays dont on entend tant parler et où la culture est si diversifiée, m’a séduite et j’ai donc choisi pour ce semestre à l’étranger une université en Caroline du Nord disposant d’un partenariat avec l’Université d’Angers.

1/ Les conditions d'accueil :

 a/ relations internationales :

 Une semaine avant le démarrage des cours, tous les étudiants d’échange arrivant à ASU ont été convoqués pour une semaine d’intégration. Nous avons tout de suite été mis en relation avec les responsables des relations internationales ainsi qu’avec l’association étudiante (parmi laquelle certains étudiants sont même venus nous chercher à l’aéroport) qui s’occupe des étudiants internationaux (INTAPP). Cela m’a permis dès la première semaine de créer des liens avec d’autres étudiants internationaux et des américains.

 b/ restauration :

  A mon arrivée dans l’université, une carte étudiante m’a été remise. De par le partenariat avec l’université d’Angers, 1500$ était disponible sur la carte pour les repas. Cette carte permet de payer dans les restaurants universitaires ainsi qu’à différents distributeurs et petits magasins sur le campus.

c/ sports :

 La carte étudiante permet un accès gratuit à toutes les salles de sport. De nombreuses installations sont disponibles, de la salle de musculation, à la piscine, aux terrains de sports collectif, au mur d’escalade, tout le monde y trouve son compte. La pratique du sport est gratuite mais l’on peut également s’inscrire dans des clubs universitaires afin de pratiquer un sport en compétition contre d’autres universités. Cela demande cependant plus de dévouement.

d/ BU :

La bibliothèque m’a été présentée lors de la première semaine. Comme une BU classique on peut y louer livres, DVD ainsi que du matériel informatique. Elle est ouverte quasiment 24h/24, 7j/7. Différents étages séparent les zones silence et des salles sont disponibles pour des travaux de groupe.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :

La bibliothèque disponible de nombreux ordinateurs disponibles à tous (MAC et PC), et il est possible d’en louer. Des identifiants m’ont été fournis lors de la première semaine et permettent de se connecter sur sa session sur n’importe quel ordinateur. Le wifi est également disponible partout sur tout le campus.

f/ autres :

Lors des premières semaines sur le campus, notamment la première, de nombreuses visites et forum sont organisés afin de présenter aux nouveaux arrivants tout ce qui est mis à leur disposition sur le campus.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :        

-  Comment avez-vous trouvé votre logement ?

 Une chambre universitaire, située sur le campus, m’a été attribuée à mon arrivée.

Elle était partagée avec un américain et la salle de bain était partagée avec une autre chambre du même type. Les bâtiments étaient récents et logent en particulier les nouveaux arrivant de l’université.

  Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Les termes du partenariat avec l’université d’Angers incluent ce logement.

3/ Le coût de la vie :

 Sur le campus, les principaux achats sont en nourriture, ce qui est payé avec la carte étudiante. Un repas normal au restaurant universitaire va coûter entre 10 et 15$, ce qui peut amener les 1500$ à s’écouler un peu plus vite que prévu et certains ont dû payer en plus sur la fin du semestre.

En dehors du campus, la nourriture a un prix à peu près similaire à la France (fast food compris), avec un prix un peu plus élevé pour la viande en supermarché.

En voyageant dans d’autres villes plus grandes du pays, les prix vont cependant vite grimper.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

 La ville est parcourue par quelques lignes de bus gratuit. Ceci permettant d’aller notamment au Walmart (supermarché). Le soir sur le campus, il est possible d’appeler une navette gratuite qui vous ramène chez vous si vous êtes par exemple à la BU (le campus est grand et il y a facilement 10 min de marche dans un campus en montagne pour rentrer à sa chambre).

Sur le campus pendant la journée tout le monde est à pied.

J’ai pu voyager dans le pays, notamment après le semestre, et on remarque vite que l’avion est cher. Plus long mais beaucoup moins cher, de nombreux bus vont de villes en villes. Certains loueront une voiture, relativement cher mais abordable si partagée avec d’autres camarades. Un groupe Facebook propose aussi régulièrement des trajets vers les grandes villes environnantes.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

 La ville n’est pas très grande et est ce qu’on appelle une « College town ». C’est-à-dire que tout est orienté sur l’université et on comptera autant d’étudiants que d’habitants. Très accessible à pied on trouvera donc bars, restaurants et quelques magasins. Il faudra cependant aller plus loin pour trouver tous les fast food et grandes surfaces.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Mon niveau d’anglais étant correct avant de partir j’ai facilement pu m’intégrer et m’habituer à l’anglais tous les jours. Tout le monde à l’université est très indulgent avec les étrangers et les professeurs sont à l’écoute pour le moindre problème. Le premier mois est le plus difficile mais après cette période je pense que la plupart des étudiants d’échange sont habitués et se débrouillent suffisamment bien.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Lors du choix des matières, il est possible de contacter le professeur qui s’occupera du cours, où également de demander conseil près de l’ISTIA. Je savais donc à peu près à quoi m’attendre et je n’ai pas eu de mauvaises surprises quant au contenu des matières choisies.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

 Après avoir choisi les matières que je voulais étudier, j’ai dû les valider auprès de mon responsable à l’ISTIA (M. Fasquel). Il y a également aux Etats-Unis un processus où les professeurs vérifient que les étudiants disposent des connaissances nécessaires pour prendre part au cours. J’ai fourni mes bulletins scolaires et ai donc été accepté dans des classes où j’avais les connaissances nécessaires pour suivre. J’ai été refusé dans une classe pour prétexte que je n’avais pas les connaissances de base suffisantes mais heureusement on peut changer de classes lors des premières semaines.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Les enseignants sont très disponibles et fournissent dès le début du semestre un guide de leur cours en incluant leurs heures de disponibilité en dehors des cours. Les travaux que j’avais à réaliser étaient en général de taille raisonnable et le temps fourni était suffisant. Les classes de niveau Graduate demandent cependant beaucoup plsu de travail que celles en Undergraduate.

Pour obtenir les 30 ECTS nécessaires pour valider un semestre, j’ai dû faire en sorte d’avoir 15 crédits américains lors du choix des matières, ce qui correspond à 15 heures par semaine. Il reste donc beaucoup de temps libre pour travailler.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

 Je vais manquer de certaines compétences notamment techniques que je n’ai pas acquises à l’étranger, mais j’en dispose d’autres. Le semestre étant plus court (août à décembre), il reste toujours du temps pour l’auto apprentissage si nécessaire avant le stage.

Autres remarques ou suggestions :

 Je recommande vraiment le semestre à l’étranger, où que ce soit. L’expérience vécue est unique et on en retire que des bons points. Si cela n’avait pas été ma dernière année en tant qu’étudiant, j’aurais certainement adorer participer à l’accueil d’étudiants étrangers, voir même repartir.

Je pense qu’il serait possible de proposer aux étudiants de l’ISTIA de partir pendant le semestre de printemps, tout est organisé de la même façon à ASU et des étudiants viennent pour n’importe quel semestre, voir un an (voir même 4). La contrainte des documents officiels à fournir pour obtenir le visa et les différentes démarches administratives peuvent prendre jusqu’à 6 mois mais je pense qu’il est quand même possible de proposer l’échange au deuxième semestre de quatrième année. A mon avis, plus d’étudiants seraient motivés pour cette période étant donné que la cinquième année comprend une nouvelle spécialité. A voir avec la concordance des compétences à acquérir et la condition politique actuelle des Etats-Unis, en plein bouleversement.

2012-2013 - AGI Jordan Hamoignon

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Découverte des Etats-Unis, amélioration de l’anglais, expérience à l’international

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Très bonnes, de nombreuses personnes étaient là pour répondre à mes questions lorsque j’en avais. De nombreux mails sont envoyés pour guider les étudiants qui arrivent aux USA.

b/ restauration : Le réfectoire était très proche de la chambre universitaire, ce qui était très pratique. Cependant manger sainement était difficile et cher.

c/ sports : Très bonnes conditions. De nombreux dispositifs avaient été mis en place afin de permettre la pratique d’activités sportives.

d/ BU : Accès facile à divers ouvrages

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : De nombreux dispositifs étaient présent pendant un très long moment de la journée. Globalement elles étaient accessible dés qu’on le souhaitait (même tard le soir)

2/

2/ 2/Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Je n’ai rien eu à faire pour le logement, tout a été organisé par l’université d’accueil. Il s’agissait d’une chambre universitaire à partager avec une autre personne.

• Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : Vie dans le campus

• Comment avez-vous trouvé votre logement ? Je n’ai rien eu à faire pour le logement, tout a été organisé par l’université d’accueil. Il s’agissait d’une chambre universitaire à partager avec une autre personne.

• Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : Vie dans le campus

3/ 3/Le coût de la vie : raisonnable, équivalent à celui en France (excepté les repas au self qui étaient bien plus cher)

4/ 4/Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Bus, cependant la grande majorité des déplacements se faisaient à pied (tout était à proximité)

5/ 5/Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu : Tout est à proximité du campus

6/ 6/La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés :

Adaptation plutôt facile, la seule difficulté était de prendre la parole devant une classe entière de locaux.

7/ 7/Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ? Plus ou moins, certaines matières étaient conformes au cursus, certaines étaient manquantes, d’autres étaient en plus.

8/ 8/Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ? Oui, pas de difficulté à suivre les cours.

9/ 9/La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ? Non, cependant il est important d’êtres très autonome. La quantité de travail personnel est bien plus importante qu’en France.

1010/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ? Plus ou moins, des compétences importantes étaient manquantes (programmation objet en AGI)

Hochschule Osnabrück - Allemagne [Modifier]

S8  2015-2016 - QSF - Marine Pelletier

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

L’Allemagne, la formation correspondant bien à la formation QSF

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Très bon accueil du bureau RI de Hochschule, nous avons recu des mails, nous informant des évènements de la rentrée prévus pour les étudiants étrangers, de plus des offres de tickets pour des séminaires.

b/ restauration :La Mensa (=la cantine) était bonne, beaucoup de choix et un peu moin chère qu’en France

c/ sports : Accès très facile au sport, et gratuit ! Inscription sur internet.

d/ BU : BU très grande, moderne et riche en documents, aussi en français et en anglais.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : Acces règlement par sa carte étudiante dans toutes les salles info, il ne faut pas l’oublier, l’ouverture se fait avec cette carte magnétique. Beaucoup de salles inofs, PC performants, Wifi très bons partout dans le campus !

f/ autres : Juste difficulté à se procurer son emploi du temps. Il faut en effet s’inscrire nous même dans les cours de notre programme sur le portail de l’université, ce qui permet d’afficher l’emploi du temps par suite.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :    

 Comment avez-vous trouvé votre logement ?

  Grâce au Housing service de l’université, j’ai directement reçu un mail à ce sujet après l’inscription à Hochschule. Mais il ne fallait pas tarder à faire son dossier pour le logement car les places sont limitées. La  caution est à payer dès le début, 400€. J’étais logée dans un appartement en collocation avec 3 autres filles (mais les collocations peuvent être mixtes aussi), je n’avais pas choisis. Le logement était proche du centre ville c’était tres bien, car attention il y a deux grandes cités u plus aux abords de la ville.

  Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :Pas le choix. Le Housing service nous placent soit dans des collocations ou cité u.

3/ Le coût de la vie :Moins chère qu’en France au niveau des logements, de la nourriture, de l’alcool. Pour le reste c’est similaire à la France.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés : Le bus est gratuit avec la carte étudiante. Il faut juste la montrer au conducteur lorsque l’on monte à bord. Mais je me suis acheter un vélo après quelques semaines, car ce moyen de transport est utilisé par tous les étudiants, plus écologique et plus rapide que le bus. Il faut guetter les marchés aux puces pour acheter un vélo d’occasion, sinon les vélos en magasins sont chers.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :Le campus Westerberg où j’étais n’est pas de le centre-ville, mais pas très loin : 15 min en bus ou vélo. Il est assez grand. Et il y a quelques magasins à côté.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les cours étaient en anglais. Cela ne me posait pas de problème. Par contre dans la vie courante, mieux vaut parler un peu allemands, car il est vrai que les étudiants parlent pratiquement tous anglais, mais en ce qui concerne les commerçants, ce n’est pas le cas.

Par exemple, attention pour votre « caretaker » (= responsable de la résidence, appartement), il ne parle pas forcément anglais, n’hésitez pas à demander de l’aide à votre buddy (voir fin du questionnaire).

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui, il y en a certaines que j’ai découvertes mais cela était très intéressant !

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Non ca allait.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

 Professeur Hoffmann est venu me voir à Angers avant mon semestre à Osnabrück, j’ai trouvé cela très agréable et rassurant. Beaucoup de travaux de groupe durant le semestre, mais nous sommes déjà habitués à l’Istia.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Peut-être que le niveau à l’ISTIA est plus élevé. Mais les méthodes sont différentes en ce qui concerne les cours de communication par exemple. En général, il y a une bonne adéquation.

Autres remarques ou suggestions :

Mise en place d’un système de buddy, pour chaque étudiant étranger. C’est un étudiant de l’université qui prendra contact avec vous avant votre arrivée pour vous aider à vous installer, ou répondre à vos questions.

S9 2016-2017 - QIF - Aline Chenier

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Après le stage au Canada j’ai voulu expérimenter une seconde fois un voyage à l’étranger, je voulais améliorer mon Anglais mais aussi apprendre quelques bases d’Allemand.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales : Tous les étudiants sont très bien accompagnés dès le début

b/ restauration : facile d’accès, dans le même ordre de prix qu’en France, un peu plus de choix

c/ sports : facile d’accès, un grand nombre de sport sont gratuits pour les étudiants

d/ BU : facile d’accès, très pratique

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc : très facile aussi, la première semaine nous avions tous les codes pour accéder, le wifi fonctionne sur Eduroam, normalement le téléphone portable et le pc se connectent automatiquement.

2/ 2/Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :

• Comment avez-vous trouvé votre logement ?

Je connaissais un ami Allemand qui a cherché pour moi, je me suis retrouvée dans une colocation avec une autre Allemande qui était une de ses amies. C’était très bien.

• Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement : Je voulais vivre avec des Allemands pour expérimenter la vie locale et rencontrer des étudiants Allemands en plus de tous les étrangers.

3/ 3/ Le coût de la vie : Le coût de la vie est légèrement moins important qu’en France.

4/ 4/Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Le vélo reste le transport le plus pratique, des vélos sont à vendre toute l’année par les étudiants. Le bus est gratuit pour les étudiants.

5/ 5/Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

Le campus est légèrement excentré de la ville mais comme la ville est petite cela reste correct. Le campus est complet et très pratique.

6/ 6/La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les Allemands sont tous très bon en Anglais, par conséquent il n’a pas été difficile de communiquer avec eux car je ne parlais pas un mot d’Allemand en arrivant.

7/ 7/Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui

8/ 8/Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Je n’ai eu aucun souci pour suivre les cours en Allemagne.

9/ 9/La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Aucun souci

1010/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Je pense que oui.

Autres remarques ou suggestions :

L’Université propose un mois de cours d’Allemand intensif avant le début du semestre il aurait été intéressant d’y participer sachant qu’en France le semestre à l’ISTIA avait déjà commencé. De plus une grande partie des Erasmus se rencontrent pendant ce cours intensif.

Scuola Superiore Sant’Anna -Pise - Italie [Modifier]

S9 2014-2015 - IDI - Hélène Merhand

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Ma principale volonté était de réaliser un séjour à l’étranger pour pratiquer l’anglais et l’espagnol.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales :

         L’accueil de l’université de Pise a été très chaleureux et disponible en cas de besoin. C’est d’ailleurs grâce aux relations internationales que j’ai pu trouver un hébergement. Ils avaient d’ailleurs réalisé une visite avant ma venue.

b/ restauration :

         Comme pour Florent, l’université donne aux étudiants Erasmus un certain montant pour le RU, celui-ci est suffisant pour manger tous les midis sans avoir à avancer le moindre frais.

c/ sports :

         Je n’ai pas eu l’occasion de faire du sport avec la Scuola, seulement avec des amis extérieurs.

d/ BU :

         La BU est relativement petite et bondée, mais celle-ci est ouverte jusqu’à tard dans la nuit. Cela peut se relever pratique pour les étudiants tardifs.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :

         L’accès aux salles d’études et informatiques est bien. La Scuola donne aussi une carte pour réaliser des impressions et photocopies de feuilles.

f/ autres :

         Pour une info supplémentaire, les salles de cours possèdent une vue sur la Tour de Pise.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :        

 Comment avez-vous trouvé votre logement ?

Comme précisé précédemment, j’ai trouvé le logement directement grâce à la Scuola. Le loyer m’a paru relativement élevé puisqu’il était à 370€.

Je pense qu’en colocation, on peut trouver des logements moins chers. Notamment au nord de Pise, en dehors des remparts.

  Ce qui a motivé votre choix pour ce type de logement :

Le logement était neuf, tout compris, confortable et dans le centre !

3/ Le coût de la vie :

     Le logement est ce qui m’a paru le plus cher. Hormis cela, le supermarché, les bars, les glaces ou encore les restaurants ne sont vraiment pas chers. Cela se confirme lorsque tu descends plus au Sud de l’Italie (si jamais tu souhaites voyager, les pizzas peuvent être à 7€ en moyenne).

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Le train est beaucoup réellement moins cher qu’en France. Attention cependant aux grèves qui sont systématiquement le vendredi ; mais aussi aux retards de train en cas de correspondances.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

     Pise a l’avantage d’être une ville à taille humaine, je n’ai jamais eu l’occasion de prendre un bus (seulement pour aller à Ikea mais les bus sont gratuits) ou encore moins un taxi. En habitant le centre, la fac comme la gare sont très faciles d’accès.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

     Le fait d’avoir des cours dans une autre langue est très enrichissant et complémentaire au cours d’anglais de l’Istia. Je m’étais d’ailleurs fait la remarque que c’était dommage que l’Istia n’en propose pas.

     Bien entendu, ce n’est pas toujours facile. Comme il s’agit d’un domaine finance avant tout, quand le rythme est rapide, la langue peut parfois être handicapante. Que cela soit pour la formulation d’une phrase ou parfois posé une question.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

     Malheureusement, une fois sur place, j’ai eu vraiment peur de ne pas pouvoir valider toutes les matières définies dans le contrat d’études. Comme il s’agit d’un système où les étudiants choisissent leur matière individuellement, il s’était avéré qu’une matière ne possédait pas suffisamment d’élèves pour l’assurer.

     Néanmoins, la Scuola a été compréhensive puisque j’ai pu réaliser des dissertations pour valider la matière « Sustainable Management ».

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

              Dans l’ensemble, les matières sont abordables. Pour ce qui est de « economics of innovation », il s’agit essentiellement de cultures générales où il faut apprendre le cours (très très dense).

              Pour le premier module de finance, cela ressemble beaucoup à de la compta. En revanche, le second module est LA matière qui nécessiterait des pré-requis puisqu’il s’agit de Finance niveau master 2. Ce qui signifie qu’un étudiant d’ingénieur aura des lacunes, et le rythme est très rapide… Je pense qu’il faut avoir un intérêt en finance pour suivre cette matière (parfois les journées peuvent atteindre huit heures de finance).

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

              Le rythme est très doux au début, et puis, il s’accélère très vite. Le conseil que je peux donner est de réaliser un travail régulier. Contrairement à l’Istia, certaines matières requièrent un apprentissage au « par cœur » et il faut savoir restituer dates, personnages,… Ce qui demande un très gros travail !

              En revanche, les professeurs sont très disponibles et proposent des créneaux pour poser des questions.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

         J’ai trouvé les matières beaucoup trop orientées finance. Même si j’avais pu le lire dans le learning agreement au préalable, je pense que je ne m’attendais pas du tout à ce que cela soit aussi dense.

Autres remarques ou suggestions :

         Je pense qu’avec le temps, l’Istia sera rodé dans les échanges Erasmus mais il est vrai que j’ai été particulièrement déçue dont la façon s’est terminé le semestre.

         Le principal conseil que je pourrais donner est de trouver le nombre de matières suffisantes à valider les crédits nécessaires à un semestre.

         Pour ma part, j’en ai validé seulement 24 (sur 30) à Pise, dans l’optique de compléter le semestre par un enseignement plus technique. Malheureusement, toutes les matières que j’ai été censée suivre (mécatronique, projet collaboratif …) ont été données durant les quelques mois où j’étais à la Scuola donc quand je suis rentrée à Angers en Janvier, j’ai vraiment eu l’angoisse que je ne pourrais pas valider les matières manquantes. Parallèlement, je devais encore passer une matière italienne, à Angers.

         Au final, j’ai pu les valider, mais je n’ai quasiment reçu aucun enseignement et eu l’impression d’avoir un manque de soutien venant de ma formation Innovation.

Universidad de Valparaíso - Valparaíso - Chili [Modifier]

S6 2018-2019 - QIF - Pierre Judais

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : Je voulais parler espagnol et découvrir l'Amérique Latine.

1/ Les conditions d'accueil :

a/ relations internationales :

       Bon accueil des étudiants internationaux, j'ai pu modifier mon learning agreement en arrivant car j'avais des problèmes d'horaires.

b/ restauration :

      Possibilité de restauration assez nombreuse proche de l'université.

c/ sports :

         Possibilité de suivre des cours de l'université.

d/ BU :

         Je ne suis jamais aller a la BU mais il y a une bibliothèque tout près de l'école.

e/ accès aux salles informatiques, aux réseaux, wifi, etc :

         Wifi dans toute l'école, ordinateur en libre service à la BU possiblité d'imprimer

f/ autres :

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? Etc.) :        

 Comment avez-vous trouvé votre logement ?

J'ai trouvé une grande collocation grâce à des étudiants partis en stage avant moi. Il y a quelques maison de ce type (grande maison environ 15 étudiants internationaux), il existe également un site type leboncoin pour trouver un logement (CompartoDepto)

3/ Le coût de la vie :

  Coût de la vie un peu moins cher qu'en France mais pas tant que ça ! Logement environ 350 euros, nourriture un peu moins chère qu'en France.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

Petit bus locaux (Micro) difficile à comprendre mais très efficaces. Car pour plus grandes distances (gares routières)

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu 

 Les différentes spécialités de l'université sont réparties dans la ville. Celle d’ingénierie industriel est proche du centre. 

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Peu poser problème au début (accent et vocabulaire assez particulier) mais je me suis habitué assez rapidement. Etre en collocation avec des étudiants hispanophone est un plus. 

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

     Nous n'avions pas eu beaucoup d'informations sur les matières avant de réaliser le contrat d'étude. J'ai du le refaire en arrivant car certaines matières ne correspondait pas et étaient sur les même horaires.

Les matières finales correspondait bien aux matière de Polytech Angers, niveau un peu plus faible.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

              Les matières que j'ai choisies correspondait avaient été abordé au cours de ma formation, pas de difficultés particulière.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

              Beaucoup de travaux en groupe, les enseignants sont toujours disponible pour répondre à des questions.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

         Les matières suivent les matières de l'école avec un angle différent. Quelques matières a récupérer en rentrant mais pas très dérangeant 

Autres remarques ou suggestions :

         Semestre d'étude très enrichissant. Valparaíso est une ville superbe et complètement dépaysante, beaucoup d'étudiants internationaux. 

Les cours sont intéressants et le volume horaire est raisonnable ce qui permet de profiter de l'environnement;

Université de Torun (campus de Bydgoszcz) - Pologne [Modifier]

S6 2019-2020 - GBS - Piotr Sarapuk

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

1.      Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)
a) Relations internationales: Notre responsable sur le campus était souvent disponible, son bureau étant aux horaires de la journée de travail en Pologne. Une visite des hôpitaux ou nous allions avoir cours et une rencontre entre les étudiants Erasmus arrivant au second semestre ont été organisées. 
b) Restauration: Pas de restaurants universitaires mais des cafétérias destinées aux étudiants et personnel dans les hôpitaux. Manger était également possible dans les centres commerciaux ou il y avait beaucoup de choix parmi différentes chaînes de restauration, ou encore parmi les nombreux restaurants de la ville. 
c) Je n'ai pas eu l'occasion d'aller a la bibliothèque universitaire à Bydgoszcz. 
d) Quelques problèmes de réseau wifi au début, qui ont été résolus.
e) Beaucoup de salles de sport. Des équipements sportifs en extérieurs (gratuits) sont également disponibles à différents endroits.

2.      Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)
Dans un premier temps, j'étais en logement universitaire (résidence étudiante numéro 3). Le logement était assez petit; nous étions à deux personnes dans la chambre avec salle de bain partagée, et cuisine partagée avec deux autres personnes. Chaque cuisine était équipée de plaques, d'un micro-ondes, et d'une machine à laver. Il y avait également un ascenseur. En ce qui concerne les courses, il y avait un Lidl de l'autre côté de la rue, et un Leclerc un peu plus loin. Cet appartement aura suffi avant l'arrivée de la covid19, car nous ne passions pas beaucoup de temps dedans, donc vivre à deux dans la même pièce ne posait pas de problèmes. Par la suite, avec le confinement, nous avons décidé de changer d'appartement pour avoir chacun une chambre. Ainsi, dans un second temps, nous avons déménagé (toujours en colocation) dans un plus grand appartement de 70 mètres carrés avec chacun une chambre séparée. Le coût aura été d'environ 250 euros par mois pour cet appartement contre 150 euros pour la résidence étudiante. 

3.      Le coût de la vie
Le coût de la vie est bien plus bas qu'en France, d'environ 3 fois pour la majorité des choses. 

4.      Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés
Il y avait un réseau de bus et de trams efficace dans la ville, avec un coût d'environ 35 centimes le billet de bus au tarif étudiant. Je recommande également le taxi, quant les bus ne roulent plus ou pour les déplacements a plusieurs (la plupart de nos courses en taxi nous auront seulement coûté entre 3 et 5 euros).

5.      Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu
Le campus consistait en 3 hôpitaux ou nous devions avoir cours. Ils sont tous trois plus ou moins proches du centre ville et accessibles par transports en commun. L'intérêt principal du lieu était de pouvoir observer et rencontrer des patients et prendre connaissance des équipements utilisés en hôpital dans le cadre de maladies liées à la diététique.  

6.      La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés
Etant Polonais, la pratique de celui-ci au jour le jour ne m'aura pas posé de problèmes, tandis qu'en cours nous parlions anglais (les intervenants prenant le temps d'expliquer les termes que nous ne comprenions pas). Pour ce qui est du travail en distanciel, les cours mis à notre disposition et les exercices à rendre étaient également en anglais. 

7.      Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?
Oui, ces matières correspondaient à mes attentes. 

8.      Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?
Chaque matière ou presque aura eu un cours d'introduction, où l'enseignant s'est assuré de fournir les pré-requis nécessaires à la suite de son cours. Une certaine quantité de ces éléments avait déjà été abordé à l'école.

9.      La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?
Non, il n'y a pas eu de problème à ce niveau.

10.   Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?
Nous n'avons pas réellement abordé de notions de contrôle qualité par exemple, les cours étant plus focalisés sur l'acquisition de connaissances dans le domaine de la diététique. 

S6 2019-2020 - GBS - Adam Semon

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination : 

1.      Les conditions d'accueil 

a)      Relations internationales : Bien, horaires resserrés, bonne intégration et bonne présentation du campus.

b)      Restauration : Pas de restaurant universitaire mais il y a des cafétérias dans les hôpitaux où déjeunent les étudiants qui proposent de bons services.

c)      BU : Il n’y a pas de bibliothèques dédiées aux étudiants sur le campus de Bydgoszcz.

d)      Accès aux salles informatiques et au réseau wifi : Salle informatique proche des résidences étudiantes avec un matériel correct.

e)      Sports : Pas accessible avec le Covid mais beaucoup de salle de sport disponible dont une universitaire.

2.      Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J’ai postulé sur le site de l’université pour avoir un logement universitaire en colocation. Ensuite avec le coronavirus j’ai déménagé dans un appartement plus grand avec chambre séparée et salon, toujours en colocation.

3.      Le coût de la vie

Beaucoup moins cher qu’en France, environ 4 fois moins.

4.      Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Le bus pour aller en cours et pour rentrer des cours, mieux vaut préconiser le taxi le soir dans certains quartiers car il n’y a plus de bus.

5.      Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Il y a 3 lieux d’enseignements (hôpitaux), 2 d’entre eux sont proches des résidences étudiantes et du centre-ville et l’autre est assez éloigné dans le nord de la ville. Il y a des commerces un peu partout et il y a le plus grand parc de Pologne à proximité.

6.      La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les gens dans les commerces ne savent pas forcément très bien parler la langue et ne font pas tous l’effort de parler anglais. Cependant tous les intervenants parlent très bien anglais.

7.      Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui les matières étaient intéressantes même si pour la plupart elles ont été dispensées à distance.

8.      Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Oui, il n'y a pas besoin d'un complément de formation pour aborder ce semestre.

9.      La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Je ne suis pas vraiment en capacité de pouvoir répondre à la question sachant que j’ai suivi la quasi-intégralité des cours à distance.

10.   Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Il n’y a pas d’enseignement portant sur la qualité ou sur le management, cependant si vous voulez vous diriger vers l’agroalimentaire ou la diététique cela peut être une expérience très enrichissante.

11.   Remarques ou suggestions personnelles

C’est un pays magnifique, il y a beaucoup de choses à visiter. L’aventure erasmus est enrichissante sur le plan humain et le volume horaire des cours est propice aux voyages et aux rencontres ainsi qu’à l’amélioration du niveau d’anglais.

S6 2022-2023 - GBS - Anaïs BAGOT

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

A l’origine, je voulais faire un Erasmus en Croatie à Zagreb, qui a été annulé par l’université partenaire pour cette année. La seule destination restante en Erasmus était la Pologne. Je ne connaissais pas grand-chose sur ce pays et j’étais convaincue et je le suis toujours qu’un Erasmus est une expérience de partage et de découverte du monde incroyable, donc j’ai décidé de partir même si je n’ai pas pu choisir la destination.

1.      Les conditions d'accueil 

a)      Relations internationales : Les relations internationales n’étaient malheureusement pas très présentes. Il n'y a aucune intégration à Bydgoszcz, une présentation de la ville et de l'université en distanciel, aucun effort n'a été fait pour mettre les Erasmus en contact. Les informations transmises sont vraiment le stricte nécessaire et il manque une chaleur humaine, une intégration quand on arrive dans une nouvelle université à l’étranger. Il faut tout faire par soi-même. Le service international reste à disposition malgré tout pour répondre aux questions par mail.

b)      Restauration : Il n’y a pas de restaurants universitaires, et je n'ai pas eu l'occasion d'aller dans les cafétérias des hôpitaux, où les cours ont lieu, car je n'avais quasiment jamais cours en présentiel.

c)      BU : Il y a une BU au sein d'un des hôpitaux, mais je n'ai pas eu l'occasion d'y aller non plus car je l'ai découverte 2 semaines avant de partir, elle ne nous avait pas été présenté.

d)      Accès aux salles informatiques et au réseau wifi : Je n'ai pas connaissance de salles informatiques. J'avais le réseau wifi au dortoir universitaire.

e)      Sports : Il y avait une salle de sport au dortoir, mis à part ça j'ai essayé de m'engager avec l'université mais il n'y avait rien de mis en place pour les Erasmus malheureusement.

2.      Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J'ai choisi de loger dans un dortoir universitaire pour pouvoir rencontrer des gens directement et si jamais cela ne me convenait pas j'aurais eu la possibilité de chercher un autre logement sur place. J'étais dans le troisième dortoir le plus éloigné de la ville (50min par tram et bus) à Fordon. Fordon était anciennement une autre ville donc vraiment éloigné par contre il y a tous les commerces nécessaires. Ce n'est pas forcément le plus pratique pour aller en ville mais on s'y habitue. J'ai postulé lors de l'inscription avec l'université pour y avoir accès. Je ne regrette pas mon choix, car étant la seule étudiante en nutrition si je n'étais pas dans le dortoir je n'aurais jamais rencontré personne. Dans ce dortoir, il s’agit d’un appartement avec cuisine, avec four, micro-ondes, plaques de cuisson et salle de bain partagés par 7 personnes, même si on était seulement 4 tout au long de mon séjour.

Le logement n’était pas incroyable, un peu modeste mais pour quelques mois c’est largement suffisant. Au sein du dortoir il y avait une salle de tennis de table, une salle télé avec billard, et une salle de sport. Le plus important est la possibilité d’être entre Erasmus c’est ce qu’il y a de plus précieux. On était deux par chambre et j’en suis très contente ça permet de nouer une belle amitié et d’avoir de la compagnie.

C’était également très peu cher, 80 euros par mois.

3.      Le coût de la vie

Le coût de la vie est vraiment moins cher qu'en France et c'est génial. Pour 5 euros au restaurant on peut avoir un plat, les transports sont vraiment peu chers 30 centimes le ticket, 30 euros la carte pour 3 mois de transport en communs, les trains sont incroyables : avec 7 euros on peut traverser toute la Pologne. De même pour sortir cela revient à beaucoup moins cher qu’en France. La Pologne est aussi un pays qui aide beaucoup les étudiants il y a donc des tarifs réduits partout.

4.      Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Les transports en commun sont vraiment top à Bydgoszcz, il y en a tout le temps, partout où j’allais. Même en habitant aussi loin du centre je pouvais toujours prendre un bus de nuit entre minuit et 5h du matin donc vraiment aucun problème. Les taxis aussi sont vraiment peu chers donc très pratiques.

5.      Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Je ne parlerais pas de campus car il n’y en a pas à proprement parlé, nous avons cours dans des hôpitaux situés à proximité du centre ville 15min en tram. Le vrai campus universitaire est localisé à Torun, dans une autre ville à 45min de train. L’université de Bydgoszcz a été rachetée par celle de Torun, ce qui fait que les organisations qui étaient propres à Bydgoszcz ont été supprimées puisqu’elles sont déjà présentes à Torun. Néanmoins, les étudiants de Bydgoszcz ne sont pas vraiment inclus dans la vie universitaire de Torun, ce qui explique le manque d’intégration par exemple.

6.      La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

J’ai été ravie d’être la seule française pour parler anglais tous les jours pendant 4 mois c’était vraiment une superbe expérience pour progresser. La population ne parle pas très bien anglais dans les commerces ou les trains par exemple, par contre les jeunes et les professeurs parlent anglais de manière fluide.

7.      Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Pas vraiment. Les cours semblaient très intéressants sur le papier mais en réalité les professeurs m’envoyaient pour la plupart seulement des diaporamas. J’étais la seule étudiante en nutrition donc ce n’est pas l’idéal pour avoir des cours car les professeurs n’ont pas vraiment l’envie de me faire cours en tête à tête. J’ai eu deux cours magistraux de 1H30 en 4 mois. Sinon c’était en distanciel avec des diaporamas. Malheureusement, 60% des diaporamas portaient sur des notions déjà vues en cycle préparatoire, il y avait en plus beaucoup de répétition entre les matières.  Les matières étaient très intéressantes mais je pense qu'il aurait fallu creuser plus loin, pour vraiment avoir de nouvelles connaissances. Au niveau des examens, il s’agissait de projets comme répondre à des questions, rédiger un résumé d’articles ou faire des présentations sur le sujet. 

8.      Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Pas besoin de complément de formation.

9.      La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Il faut être capable de travailler seul quasiment tout le temps, d'être autonome et d’organiser son propre rythme car niveau cours j’étais très seule.

pense pas.

10.   Remarques ou suggestions personnelles

Je pense que tel quel l’échange n’est pas l’idéal. D’autres pays avec une vraie organisation Erasmus seraient sûrement plus propices pour étudier. La partie officielle laisse vraiment à désirer. Néanmoins je pense que n’importe quelle expérience Erasmus est incroyable et vaut le coup. Avoir des connaissances théoriques est une chose, mais vivre vraiment, grandir humainement est une réelle chance. L’opportunité de rencontrer d’autres étudiants, de voir un nouveau système, d’avoir du temps pour voyager, découvrir des cultures, des villes est une occasion inouïe dans une vie. C’est pour moi une des meilleures expériences de ma vie et malgré tout ce qui n’allait pas j’ai appris à m’adapter et à accepter que cela fait parti de l’expérience. Cela ne m’a pas empêché de profiter. Ce qui a fait que ce séjour était incroyable c’est les gens qu’on rencontre sur notre chemin, les amitiés qu’on noue, les choses qu’on apprend sur la vie, les moments qu’on partage car quand on a du temps on peut vraiment faire des choses qui nous font vibrer. La Pologne est également un excellent pays, très beau et très riche culturellement. Il y a beaucoup de choses à visiter et la localisation du pays permet de voyager facilement à moindre coût.

Pour améliorer cet échange je pense qu’il est nécessaire d’être plusieurs étudiants dans la même filière pour avoir des cours rigoureux et intéressants pour les professeurs comme pour nous.

Universidad de La Plata - Argentina [Modifier]

S6 2019-2020 - SAGI - Emma Lhermitte

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J'ai choisi cette université car les cours proposés correspondaient à ma fillières et surtout parce que j'avais envie de découvrir un pays avec une culture différente de la notre, idéalement en Amérique Latine.

                 1. Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres..

La Plata étant une petite ville, tout est accessible à pieds, je n'ai donc pas eu l'occasion de prendre le bus, mais j'ai pu prendre le train pour rejoindre Buenos Aires (~1e pour 1h de trajet). Pour pouvoir prendre les "collectivos" (bus, trains...), il faut se rendre en kiosques (que l'on trouve à tous les coins de rue), acheter une carte de transport et ajouter de l'argent dessus.

Remarques ou suggestions personnelles

University of Oulu - Finland [Modifier]

S6 2021-2022 - SAGI - Florian Moussé

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination

Les conditions d'accueil

Le logement

Le coût de la vie

Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Remarques ou suggestions personnelles

S6 2021-2022 - SAGI - Tanguy Moriceau

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Initialement intéressé par Uppsala Universitet en Suède, je n'ai pas pu demander à faire mon semestre d'études là-bas, faute d'un accord valide entre cette université et l'Université d'Angers. Je me suis donc tout naturellement tourné vers les pays limitrophes : la Norvège et la Finlande.  Pour des raisons pratiques, j'ai préféré rester dans un pays européen et c'est ainsi que j'ai choisi de demander à partir en Finlande.

          Il y a deux BU à Oulu, une pour chaque campus. La BU de Linnanmaa est plus importante en termes de places.

         Je n'y ai pas été souvent, mais des postes informatiques ainsi que des imprimantes sont à votre disposition.

         Des imprimantes peuvent être trouvées assez facilement dans les couloirs du campus de Linnanmaa, en libre-service.

         Dans la grande majorité des cas, en tant qu'étudiant du campus science, vous n'aurez pas besoin d'emprunter des livres à la BU.

        Je n'ai pas vu de salles informatiques sur les deux campus. Comme dit plus haut, des postes informatiques sont accessibles dans les BU.

        De plus, vous pouvez réserver des salles pour travailler seul ou à plusieurs, sur l'application mobile Cella. Dans la grande majorité de ces salles réservables se trouvent des ordinateurs.

        Le débit du réseau Wifi de l'Université est très bon. On y accède facilement avec ses identifiants universitaires, en passant par le réseau eduroam (comme à Angers).

        L'Université d'Oulu dispose d'un "pass sport". Avec celui-ci, vous pouvez pratiquer une grande quantité de sports différents, en libre-accès près du campus de Linnanmaa.

        Le prix du "pass sport" est d'environ 22 euros pour un semestre.

        Kummi.

        Au début du semestre vous recevrez le numéro de téléphone d'un étudiant finlandais. Celui-ci vous aidera dans vos démarches (obtenir un permis de résidence, obtenir un numéro national d'identification, ouvrir un compte bancaire...) et vous fera visiter le campus de Linnanmaa.  Si vous avez de la chance, vous tomberez sur un étudiant finlandais qui aura réellement envie d'en apprendre plus sur vous, de discuter, de vous montrer la ville d'Oulu... Sinon, l'étudiant se contentera de faire le strict minimum pour vous : vous faire visiter le campus de Linnanmaa, répondre à quelques questions et vous donner les clés de votre résidence PSOAS (si vous décidez de demander un appartement auprès de cet organisme étroitement lié à l'Université d'Oulu).  N'ayez pas trop d'espoir, ces étudiants finlandais sont payés par l'Université pour vous accueillir...

Le logement :

Le coût de la vie : 

Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés :

          La ville d'Oulu dispose d'un très bon réseau de bus. Celui-ci est largement développé et peut vous emmener assez loin. Son seul inconvénient est le prix du ticket (de 1.50 euros pour un déplacement en ville, puis 3.30 euros et plus, jusqu'à 10.10 euros pour un voyage d'une à deux heures).  À part le réseau de bus, la ville d'Oulu dispose d'un excellent tracé de pistes cyclables que vous pouvez utiliser facilement (moyen de transport préféré des finlandais) et qui parcourt toute la ville.

La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

          Les matières que j'ai étudiées correspondaient globalement à mes attentes.

Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Remarques ou suggestions personnelles :

          Ce semestre d'études à l'étranger a été pour moi une expérience formidable. Mis à part le fait d'avoir acquis de nouvelles compétences, j'ai aussi grandement amélioré ma maîtrise de l'anglais et rencontré différentes personnes de différents horizons. Les semestres à l'étranger sont aussi de vrais échanges de connaissances et de cultures, que vous n'oublierez pas.

          Durant ce semestre, j'ai aussi eu l'occasion de partir en voyage avec d'autres étudiants étrangers de mon immeuble. Nous sommes allés deux fois en Laponie (Rovaniemi), une fois à Helsinki et avons même été en Estonie, ainsi qu'en Suède.

          La Finlande est un très beau pays et son environnement calme et naturel m'a énormément plu. Je ne peux que vous conseiller de faire de même et de partir en semestre d'études à l'étranger !

          En réalité, que vous partiez en Finlande ou ailleurs importe peu. Ce qui importe réellement, c'est de profiter de cette expérience pour vous enrichir culturellement et pour tisser des liens avec d'autres personnes.  Alors faites ce qu'il vous plaît et profitez de votre séjour !

          N'hésitez pas à me joindre par mail (tmoriceau@etud.univ-angers.fr) si vous avez une quelconque question en rapport avec mon semestre d'études, je serai ravi de vous aider !

S6 2020-2021 - SAGI - Jonathan Mabit

Le logement:

Le coût de la vie: 

Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés:

La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Remarques ou suggestions personnelles:

  S6 2021-2022 - SAGI Pierre Portron

Politécnico de Leiria- Portugal [Modifier]

2. Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J'ai réalisé une colocation avec 3 autres élèves de Polytech Angers. La colocation était pratique, car elle nous permettait de nous rendre ensemble à l'école et de s'entraider. C'est le moyen de logement le moins cher et le plus utiliser par les Erasmus de la ville.

3. Le coût de la vie

Le coût de la vie est en général moins cher qu'en France surtout les services comme le coiffeur ou les restaurants. Le prix des courses en supermarchés est un peu plus faible qu'en France, mais cela est moins net.

4. Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

La ville n'est pas très bien desservie en bus à tel point que je ne l'ai jamais utilisé. Il était plus rapide de se rendre à l'école à pied qu'en bus malgré les 35 min de marche. L’école loue également des vélos électriques, mais je n’en ai pas utilisé. Notre logement se trouvait dans le centre de Leiria ce qui nous permettait de se rendre partout à pied. Un de mes colocataires possédait une voiture ce qui facilitait certains trajets.

5. Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Le campus est à environ 20 min à pied du centre-ville. Notre logement étant proche du centre-ville, cela nous permettait de s'y rendre à pied. Un centre commercial se situe près du campus, idéal pour faire ses courses après les cours.

6. La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Les cours ont été intégralement en portugais, même les polycopiés, contrairement à ce qui était promis. Cela m'a confronté à des problèmes de compréhension des cours que j'ai dû essayer de traduire en anglais. Cela m'a handicapé dans mes révisions et des polycopiés préparés en anglais auraient été nécessaires. Un professeur a quant à lui réaliser ses cours en anglais spécialement pour moi, ce fut seul. Un autre m'a conseillé de lire un livre à la BU quand j'ai demandé de l'aide. Malgré ça, je n'ai pas vraiment progressé en portugais. Mon anglais a été sollicité en grande partie lors de mes conversations avec les autres élèves étrangers. Je considère avoir beaucoup progressé, surtout à l'oral. J'ai trouvé les professeurs peu à l'écoute.

7. Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Oui, dans l'ensemble, cela correspond, j'ai eu des cours orientés sur le management et la qualité comme attendue.

8. Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Une des matières de management, m'a paru assez compliquée, j'avais l'impression de manquer de base. J'ai pu changer facilement de matière à l'aide du responsable RI. Sinon le niveau demander en Mechanical Engineering (ma filière) est dans l'ensemble celui de Polytech, même si, à mon avis, certains cours nécessite un peu plus d'accompagnement en anglais.

9. La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

Le travail personnel était assez conséquent. Je n'ai pas forcément eu de soucis dans la remise des travaux. Le projet industriel, c'est plutôt mal passé, j'ai eu des professeurs peu présents et peu à l'écoute. Je n'ai donc pas eu d'aide pour le réaliser ce qui a rajouter une charge de travail importante. J'ai eu beaucoup plus de travail personnel qu'à Angers, à mon avis dû au manque d'aide de mes professeurs en général.

10. Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les matières de managements m'ont parues plus poussée qu'à Polytech et les matières de Qualité était dans la continuité de ce que j'avais vu au premier semestre.

11. Remarques ou suggestions personnelles

J'encourage les élèves de Polytech à réaliser un semestre à l'étranger, c'est une expérience extrêmement enrichissante humainement, j'en garderais de très bon souvenir. J'ai fait de superbes connaissances et je me suis fait des amis que je reverrais bientôt.
Cependant, je ne conseille pas aux élèves de QIF de le réaliser à Leiria, j'étais le seul élève Erasmus en Mechanical Engineering et le premier que les professeurs ont eu dans leur carrière. J'ai eu l'impression que rien n'était organisé pour moi dans cette filière.  Les élèves de BEMS sont eu bien mieux pris en charge et le semestre est donc très intéressant à Leiria si vous êtes en BEMS.
N'hésitez pas à m'en parler si vous projetez de faire un semestre à Leiria!

Politechnika Czestochowa - Pologne [Modifier]

S6 2021-2022 - QIF - Nobel Jean

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

J’avais envie d’être le seul français pour vraiment travailler mon anglais et pour me permettre d’apprendre le plus de choses possibles. Les matières correspondaient avec ce que je voulais. La ville n’est pas trop petite sans non plus être une métropole.

1 - Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Le bureau Erasmus était très disponible et tous les professeurs étaient à l’écoute et pouvaient nous aider en cas de problème.

Il n’y a pas de RU, des salles de repos avec des distributeurs mais rien de plus. Mais les horaires laissent le temps de rentrer chez soit pour se préparer quelque chose et prendre le temps de manger tranquillement.

Je n’ai pas utilisé la BU mais il y a possibilité de le faire.

Toutes les salles sont fermées à clés s’il n’y a pas de cours dedans, c’est dommage.

Le réseau Wifi est le même qu’à l’Université d’Angers.

Je n’ai pas fait attention aux démarches pour le sport.

2 - Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

J’étais dans une chambre partagée dans un logement universitaire. Le logement était proposé lors que je me suis inscrit pour ce semestre. Le loyer est vraiment raisonnable (340 Zloty, environ 75€). On peut atteindre tous les bâtiments de l’université en moins de 5 minutes à pied. Et pour un semestre, malgré le fait d’avoir à partager sa chambre, c’est largement vivable.

En fait, c’est grâce à ce type de logement que tu peux faire des rencontres. Beaucoup d’étudiants Erasmus étaient avec moi, on était toute la journée ensemble, c’est plus facile pour créer des liens.
Je recommande vraiment.

3 - Le coût de la vie

La Pologne n’est pas dans la zone Euro. Leur monnaie est moins puissante que la nôtre et le niveau de vie moyen est plus faible qu’en France.

Donc le coup de la vie est moins élevé. Cela permet de voyager et de découvrir plus de choses.

4 -Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

La ville n’est vraiment pas immense. Le plus simple reste de tout faire à pied. Mais sinon il y a une ligne de tramway très bien placée. Des vélos en libre accès à côté de l’université. Et un service de taxi (Bolt) qui n’est vraiment pas cher.

En tant qu’étudiant en Pologne, tous les billets de train sont à -50%.

5 - Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Le campus est à environ 20 minutes du centre-ville à pied.

C’est un campus assez grand avec des bâtiments un peu partout mais très bien organisé. Il y a plusieurs supermarchés à côté. Tout est très accessible.

6 - La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Je pense que 95% des Erasmus à Czestochowa étaient Turcs. Donc assez peu de diversité. Les Turcs parlent le plus souvent Turque entrent eux, mais très rapidement quand j’étais avec eux, ils parlaient tous Anglais et la communication entre nous était très bonne.

Les professeurs ont des niveaux d’anglais assez hétérogènes mais en règle générale sont très compréhensibles.

Par contre le niveau d’anglais des Polonais en général est vraiment faible.

7 - Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Complètement. Je suis parti sur un semestre assez axé sur la qualité. Je n’ai pas été déçu. Les cours sont très bien organisés. La pratique est plus importante que la partie théorique. Ça change de la France…

8 - Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Pas de problèmes au niveau de pré-requis, la plupart des choses avaient déjà été abordées à Polytech mais certaines matières assez techniques demande de la concentration et du travail notamment au début du semestre.

9 - La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

On m’avait dit que l’Erasmus serait comme des vacances mais je n’ai pas eu cette sensation. Certes c’était un rythme universitaire donc tous les examens étaient à la fin du semestre. Mais il y avait des dossiers, des rapports et des travaux de groupes à rendre tout au long du semestre.

Le travail personnel doit donc être sérieux si l’on veut être tranquille à la fin du semestre.

10 - Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Oui et non. La partie informatique à été un peu laissée de côté. Pour le reste, je dirai que ça correspond plutôt bien au semestre qui nous es proposé à Polytech.

11 - Remarques ou suggestions personnelles

J’ai clairement fais le meilleur choix. J’ai appris vraiment énormément de choses en 5 mois. Que ce soit sur moi-même ou sur les autres.

L’ambiance est incroyable, les conditions de travail et de vie sont vraiment bonnes.

C’est l’occasion de voyager, de découvrir, de partager des moments uniques, de communiquer, de se découvrir, de se mettre en danger, et au final de ressortir de tout cela grandi.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas : jean.nobel@etud.univ-angers.fr

Technische Universität Berlin - Allemagne [Modifier]

S6 2021-2022 - SAGI - Gregory Simone

Ce qui a motivé mon choix pour cette destination:
A la base je voulais une université hors Europe mais le covid a restreint les choix, du coup j'ai choisi une université en Allemagne car c'est un pays que j'apprécie. Mes professeurs m'ont de plus dit du bien de cette université.

1- Les conditions d'accueil

Une réunion de pré-rentrée sur Zoom (pendant que j'étais dans l'avion) et une journée de découverte du campus pour les étudiants étrangers ont eu lieu.
Durant la journée de découverte, le bureau relations internationales nous a ouvertement dit "si vous avez un problème, des questions, ne nous contactez pas". L'administration est légèrement problématique (par exemple, lorsque j'ai demandé où je pouvais récupérer ma carte d'étudiant, on m'a répondu que je pouvais venir la chercher. Sans me dire où.). Il vaut mieux contacter les professeurs ou les secrétariats des matières concernées. TU Berlin a d'ailleurs un site équivalent à Moodle sur lequel on trouve des forums par matière.

Pour la restauration, TU Berlin propose plusieurs cantines (appelées Mensa en allemand) qui sont peu onéreuses. Sinon autour de l'université on trouve beaucoup de restaurants.

Il y a une BU a disposition mais je ne m'en suis pas servi, par contre je n'ai pas vu de réelles salles informatiques, les étudiants avaient (presque) tous leurs propres ordinateurs.

Pour le sport, TU Berlin propose un large choix (en collaboration avec une autre université), basket, natation, arts martiaux... même des sports moins habituels.

2- Le logement

L'université propose des logements, certains sont loins, certains sont sales (d'après leur description). Cependant, en Allemagne, les collocations sont très courantes, c'est ce que j'ai fait.
Le site habituel pour trouver des collocations en Allemagne est WG-Gesucht . Depuis ce site j'ai été renvoyé sur un autre où j'ai trouvé une collocation.

3-Le coût de la vie

Le coût de la vie est relativement le même qu'en France. L'Allemagne a l'avantage d'avoir beaucoup de supermarchés "discount" (comme Aldi, Kaufland...) mais on fait les courses plus souvent qu'en France.
Un avantage de TU Berlin est que la carte d'étudiant fait office de titre de transport (on paye évidemment les frais pour l'abonnement à l'inscription).


4-Les transports en commun

Le réseau de transport en commun de Berlin est vraiment efficace. Les S-Bahn (tramway mais plus rapide quand même) et U-Bahn (métro) sont toujours à l'heure. On a un U-Bahn toutes les 5 à 10 minutes et il est très simple de voyager d'un bout à l'autre de Berlin, inutile de louer une voiture, même pour le trajet de l'aéroport à votre location. 

Par contre, si vous n'avez pas la carte d'étudiant de TU Berlin (ou un titre de transport qui permet de voyager partout), il faut faire attention car les voies de S-Bahn/U-Bahn se divisent en 3 zones (A, B et C) selon la distance au centre de la ville.

5- Situation du campus

Le campus se trouve dans le quartier de Charlottenburg, assez au centre de la ville (proche du Tiergarten).
Une station de S-Bahn et une de U-Bahn se trouvent à 5 minutes à pied de l'école. Par contre, TU Berlin compte de nombreux cursus différents, donc de nombreux bâtiments. Il ne s'agit pas réellement d'un campus fermé, mais les bâtiments sont étalés sur plusieurs rues.
Il y a beaucoup de restaurants à proximité.

6- La pratique d'une autre langue

La plupart de mes cours étaient en anglais, mais certains en allemand. Heureusement beaucoup de termes en informatique sont tout de même en anglais.
Les allemands n'ont aucun problème avec l'anglais, si vous demandez quelque chose à quelqu'un ou commandez au restaurant en anglais, on vous répondra en anglais. C'est donc plus ou moins vous qui décidez si vous voulez parler allemand ou anglais.

7- Les matières définies dans le contrat d'étude correspondent-elles aux attentes ?

En résumé, oui.
J'ai cependant eu des problèmes au départ. A TU Berlin, être inscrit ne suffit pas, il existe deux sites (nommés Moses et ISIS) sur lequel les étudiants doivent s'inscrire manuellement aux cours (un par un) et aux examens. Certains cours que j'avais choisi n'étaient plus disponibles, ou pour un en particulier, étant donné que trop d'étudiants demandaient le cours, un tirage au sort a été effectué et on m'y a donc refusé l'accès. 
J'ai dû modifier mon learning agreement après le début du semestre, mais finalement les cours correspondaient toujours.

8- Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'ecole ?

J'ai eu beaucoup de cours théoriques. Ayant fait prépa, j'ai plus retrouvé des maths de prépa que de pratique de 3A.
Sinon j'ai eu à utiliser Unity, abordé au S6 à Polytech et divers langages de programmation, certains déjà vus, d'autres non.

9- La gestion du travail personnel pose-t-elle problème ?

Pour ce semestre, à cause du covid (supposément) la quasi-totalité des cours se faisaient par pdf.
Les professeurs mettaient le pdf du cours, une vidéo d'eux lisant le pdf et quelques compléments sur le site ISIS (équivalent de Moodle).
Seuls les TD étaient en présentiel (sauf pour un cours où les CM l'étaient aussi).

Cela peut être problématique car les cours sont longs (les pdf font souvent entre 40 et 60 pages) et il faut être organisé car de nouveaux cours arrivent chaque jour (c'est logique mais quand on a juste des pdf et qu'on reste à la maison pour bosser dessus, on peut vite être débordé).
Certains cours demandent de travailler en groupe, pour des DM ou pour des projets, et tous les devoirs sont remis sur ISIS.

10- Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?
Je pense que oui, mes cours Computer Graphics et Machine Intelligence anticipent peut être un peu sur le programme des semestres à venir mais dans l'ensemble tout est correct.

11- Remarques ou suggestions personnelles
-Les allemands n'ont pas réellement le concept de politesse quand ils ne connaissent pas une personne (jamais je n'ai entendu un allemand dire merci, bonjour ou au revoir à une caissière, et une seule fois j'en ai vu un tenir la porte, même si il y a quelqu'un juste derrière, il ne le font pas).

-Les allemands fument beaucoup plus que les français, en marchant dans la rue je croise un fumeur toutes les 5 minutes (si c'est pas plus)
-A un croisement, les allemands ne jurent que par le feu, si le feu piéton est vert, ils traversent sans regarder et sinon le piéton a toujours priorité (une fois un allemand en voiture m'a mal regardé parce que je l'ai laissé passer).
-Ce n'est pas un mythe, un allemand qui parle a toujours l'air énervé, même si il ne l'est pas.
-Pour la Technische Universität Berlin (ou Technische Unmöglichkeit comme disent certains étudiants), les professeurs sont très bons, l'administration moins.
-Berlin est une super ville pour sortir, que ce soit pour des sites/bâtiments historiques, pour sortir le soir avec des amis ect...

Université Politehnica - Bucarest [Modifier]

S6 2021-2022 - SAGI – Mathis VAUGEOIS

Ce qui a motivé mon choix pour cette destination : 

Je n’avais jamais voyagé auparavant dans les pays de l’Europe de l’Est et la Roumanie à attirer mon attention lors du choix de pays notamment par les langues parlées mais aussi par sa vie étudiante animée. 

1/ Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...)

a/ Relations internationales : 

Les relations internationales entre moi et UPB se sont faites majoritairement par mail même sur place. Cela a produit quelque malentendu notamment du au covid et la fin des cours en distanciel dans l’université. Le bureau était quand même ouvert et parle Anglais et Français mais ils incitaient les étudiants à les contacter par mail. Ils sont cependant à l’écoute et m’ont aidé à résoudre certains problèmes sur place. 

b/ Restauration : 

Pour manger le midi, il a des cafétérias (espèces seulement) et des distributeurs. Sinon il y a un magasin à l’entrée du campus vendant des sandwichs et des parts de pizza. Le dortoir est situé à coté de 2 superettes et de restaurants (dominos par exemple).

c/ BU : 

La BU est accessible seulement avec une autorisation d’un professeur. (Je n’ai pas eu l’occasion de la visiter). 

d/ Accès aux salles informatiques 

Il existe des salles équipées d’ordinateur (accessible librement si elles sont ouvertes). 

c/ Sports : 

Pour la pratique sportive, l’école propose des cours de sports varié avec leur propre gymnase qui rapporte des ECTS. En dehors de l’école, il y a une salle de musculation proche du campus et un lac pour se promener et allez courir.

d/ Réseau WiFi 

Le réseau Wifi ne couvre pas toute l’université et n’ai pas de grande qualité. Certaines salles ont leur propre réseau avec leur propre mot de passe.

2/ Le logement (universitaire ? collocation ? agences ? Etc.) :

L’université propose un appartement dans le dortoir P19 (dortoir Erasmus). Celui est très précaire et peu recommandable : Pas de cuisine (personnel comme commune), trop petit pour 2 personnes, cafard et nuisible, …. J’ai personnellement gardé l’appartement universitaire mais je l’ai vite regretté avec les problèmes de connexion et d’eau chaude. Mais cet appartement est doté d’une connexion Ethernet, d’un frigidaire et il est proche de l’université (5 min à pied).

Je recommande de chercher un appartement en colocation dans le centre de Bucarest (pas cher et facile a trouvé en début de semestre) ou dans les alentours du quartier de l’université. Certain étudiant ont aussi pris des Airbnb pour le semestre. Pour donner une échelle de prix le logement universitaire est entre 100 et 150 euros par mois et les autres varie mais la moyenne tourne autour de 200 et 350 euros par mois.

3/ Le coût de la vie 

Tout est moins cher de façon générale que ce soit pour la nourriture au logement en passant par les transports (train et bus), vous pouvez réclamer votre carte étudiante pour obtenir des réductions pour les déplacements.

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Pour se déplacer en ville, vous pouvez prendre les bus et le RER qui couvre quasiment toute la ville (je le recommande notamment si vous loger loin de l’université). Des trottinettes électriques sont situées un peu partout en ville et facile a loué (comme les Pony à Angers). Les Uber peuvent parfois être aussi une bonne alternative, ils sont moins cher que les taxis et plutôt rapide (meilleur moyen pour se déplacer entre l’aéroport et la ville avec le bus).

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu :

L’université est divisée en plusieurs campus tous proche les uns des autres. Le campus principal est situé à l’ouest du centre-ville a à peu près 30min à pied. Dans le campus principal, il n’y a pas grands choses à part les bâtiments des différentes facultés mais le campus Régie est situé juste à coté (campus composé essentiellement de dortoir, avec le P19 dont je parlais plus tôt).

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

La langue principale en Roumanie est le roumain mais ils parlent aussi l’anglais et le français. Avec celle-ci, on peut se débrouiller pour communiquer avec quasiment tout le monde. Parfois on peut tomber sur quelqu’un qui parle que roumain mais cela est plutôt rare (surtout dans les campus). Les cours sont distribuées de base en roumain mais avec la faculté FILS, on a accès au cours des autres facultés en anglais (parfois en français, ou en allemand). J’ai personnellement eu tous mes cours en anglais et suivi sans trop de peine le rythme des classes.

7/ Les matières définies dans le contrat d'études correspondent-elles aux attentes ?

Les matières que j’avais défini dans mon contrat d’étude ont changé dès la première semaine de cours. Avec les stages, la 3ème année gagne plus d’ECTS que des Erasmus. J’ai donc dû prendre des cours de d’autres année pour combler le manque et respecté au mieux les cours proposés par Polytech Angers au 6^ème semestre. Mais une fois l’emploi du temps en main, j’ai dû effectuer quelque modification pour rendre mon semestre possible. Heureusement, UPB laisse à l’étudiant étranger 2-3 semaines pour effectuer les changement (1 seule fois cependant).

Puis la fin des cours en distanciel est arrivée et les emplois de temps on encore bouger. Heureusement cela ne m’a pas trop impacté car les étudiant Erasmus ont le droit de changer de classe à tout moment pour suivre les cours. Et par chance, en bidouillant l’emplois du temps j’ai pu tomber sur des créneaux ou tous s’emboitaient (certains étudiants Erasmus n’ont pas eu cette chance et ont due tout rechanger dans leur contrat d’étude).

8/ Les prérequis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Comme dit au point juste au-dessus, la plupart des cours correspondait avec leur équivalent à Polytech mais certain ne correspondait en rien. J’ai par exemple suivi un cours d’intelligence artificiel qui n’était pas au programme de 3^ème année a Polytech. Cependant, les prérequis pour certains cours (avec équivalent à Polytech ou non) ont été parfois insuffisant (Aucune pratique de Java et peu de pratique de Javascript). Heureusement, les professeurs tiennent pour la plupart en compte plus la progression de l’élève (surtout s’il est un étudiant étranger) au lieu de son niveau par rapport à la classe. J’ai aussi eu droit à l’inverse avec un cours de seconde année ou j’ai été impressionné par la facilité de celui-ci comparer à son équivalent à Polytech.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

La gestion du travail est différente mais similaire. Les cours sont composés de cours magistraux (en amphi ou non) et de travaux dirigés. Les travaux dirigés sont, pour ma part, tous notés et compte sur un pourcentage de la note finale. La participation est aussi souvent notée durant les CM. Il faut donc participer régulièrement pour assurer une bonne note. Cependant, la note finale est surtout dépendante des projets et de l’évaluation finale (50-100% de la note selon les matières) et pour la plupart demande beaucoup de travail. Les projets sont a faire en dehors des cours et peuvent prendre beaucoup de temps (maquette a faire, composant a acheter, recherche a menée, …). Il faut aussi prendre cela en considération car la plupart des deadlines tombe au même moment.

Le corps enseignant est facile à contacter par mail ou Teams et porte volontiers assistance en cas de problèmes ou pour poser des questions. Il y a des travaux de groupe selon les cours et ceux-ci se porte en générale bien, les élèves sont ouverts et à l’écoute.

10/ Y a-t-il une bonne adéquation entre les compétences acquises à l'étranger et celles qui sont au programme de l'école dans le même semestre ?

Les compétences acquises à l’étranger on soit été en adéquation avec le programme, soit ils ont appuyer le programme en approfondissant plus loin certain domaine.

11/Autres remarques ou suggestions :

Je recommande vivement ce semestre à l’étranger ! C’est un peu dépaysant au début mais l’ambiance et super. N’oublier pas de visiter aussi pendant les temps libre (Brasov est superbe au printemps).

Université du Québec à Trois-Rivères - UQTR - CANADA [Modifier]

S6 2021-2022 - QIF - LODA Victor

Ce qui a motivé votre choix pour cette destination :

Aller au Canada avait toujours été un rêve pour moi, j’ai saisi l’opportunité d’un semestre à l’étranger pour le réaliser. L’université à Trois-Rivières me convenait parfaitement car situé dans la région Francophone du Canada, le Québec.

1/Les conditions d'accueil (relations internationales, restauration, BU, accès aux salles informatiques, au réseau wifi, sports, autres...

Pour venir étudier au Canada, il te faut un passeport, une l'autorisation pour rentrer sur le territoire Canadien (l’AVE pour un voyage de moins de 6 mois au Québec ou un Visa pour un voyage de plus de 6 mois, il te faudra également un visa si tu comptes travailler là-bas, il manque énormément de main-d’œuvre), et la RAMQ (la sécurité sociale du Québec obligatoire, papier à faire remplir en France par la sécurité sociale, par Polytech Angers et au Canada) sinon tu dois payer leur assurance à 300$.

N’oublie pas de faire la demande d'aide régionale Envoleo/ AMI.

Le campus Universitaire de Trois-Rivières est complet tu y trouveras des salles informatiques, une bibliothèque universitaire, un complexe sportif avec piscine, un bar, un restaurant universitaire, … Et tu auras accès partout à Internet via Eduroam comme à Polytech Angers.

2/ Le logement (universitaire ?, collocation ?, agences ? etc.), comment avez-vous trouvé votre logement, motivation pour le type de logement choisi)

Les logements c'est un peu la guerre et beaucoup d'entre nous, on eut une place au dernier moment. L’université propose 3 résidences universitaires :

Le gîte, les résidences universitaires, et les résidences UQTR. Les 3 sont bien placés à côté de l'université et sont très abordables financièrement. Personnellement j’étais au Résidence de l’UQTR. Tu peux également trouver un appartement sur les groupes Facebook de l'université. Il y a pas mal d'offres, tu peux demander des gens te répondent.

Je voulais une colocation car je partais seul et j’ai eu la chance de l’avoir. Une colocation de 4 personnes. J'en suis très content car j'ai eu de la chance d’être avec 3 Québécois.

3/Le coût de la vie

Le coût de la vie est globalement le même qu'en France. Avec 2 extrêmes : le prix d'un logement est beaucoup, beaucoup moins cher (je paye 380$/266 euro TOUT compris, eau, chauffage, électricité et internet). Et le prix de la nourriture est excessivement cher (je me retrouvais à payer 100$ par semaine régulièrement)

4/ Les transports en commun, les modes de déplacement recommandés

Au Canada, surtout à Trois-Rivières ce n’est pas simple d’être piétons. Tout le monde a une voiture et c’est quasi obligatoire. Heureusement, Trois-Rivières a un service de transport en commun minimaliste mais efficace. Et pour voyager, on utilisait Turo, une application de location de voiture de particulier à particulier, c'est vraiment abordable mais il faut un conducteur de 23 ans.

5/ Situation du campus (distance par rapport au centre-ville, équipements de proximité, etc.) et l'intérêt du lieu

Le campus est situé à 30 min à pied du centre-ville et possède tous les équipements nécessaires, bibliothèque universitaire, gymnase et même un bar ou se retrouve tous les étudiants.

6/ La pratique d'une autre langue (en cours, dans la vie courante, etc.) : problèmes, difficultés

Dans la région du Québec tous les cours sont dispensés en Français avec interdictions d’utiliser quelconque anglicisme. Cependant, tous les Québécois étant bilingues, certaines vidéos et textes utilisés en cours sont en Anglais.

7/ Quelles étaient les matières définies dans le contrat d’études et correspondaient-elles aux attentes ?

Pour les cours, j’ai choisi des matières de divers niveaux, et j’ai été agréablement surpris. Elles étaient très intéressantes et ce que j’ai appris me sera utile plus tard.

8/ Les pré-requis pour suivre ces matières sont-ils suffisamment abordés à l'école ou demandent-ils un complément de formation ?

Les prérequis sont suffisants, je retrouvais beaucoup de base apprise à Polytech.

9/ La gestion du travail personnel pose-t-elle problème (rencontre avec les enseignants, travail de groupe, remise de dossiers, etc.) ?

A l’université, les cours requièrent une certaine autonomie mais rien d’insurmontable. Il y a beaucoup de travaux de groupe, et la notation est en contrôle continu.

10/ Remarques ou suggestions personnelles

Des petites suggestions personnelles :

* Prendre un billet d’avion aller-retour, ça coute moins cher

* Allez rapidement sur le groupe Facebook Etudiant en mobilité pour se faire un bon groupe de pote

* Prendre le forfait Free à 20€ par mois

* Pour l’hiver : sous pull, une bonne paire de bottes et de bons gants

* Choisis bien tes cours, toutes les informations sont données (Niveau, horaire,…)

Voilà, si tu as des questions n’hésite pas à me contacter (Victor LODA sur Facebook ou @victor.ld_ sur insta)